PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Article de Madeleine Collombier, Catherine Poissonnier
Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 349, août-septembre 2021, pp. 28-37.
Mots clés : Santé-Santé publique, Enfance-Famille, Puéricultrice, Maternité, Nourrisson, Consultation médicale, Autonomie, Auxiliaire de puériculture, Éducation à la santé, Bébé secoué, Soutien à la parentalité, Allaitement, Pédiatrie, Sage-femme
Le passage de la situation d’attente et de projections théoriques au face-à-face avec l’enfant au moment de la naissance, nécessite un accompagnement pour réussir, en peu de temps, la transmission d’informations et de savoir-faire aux parents. Un échange avec une infirmière puéricultrice, exerçant depuis plusieurs années dans un service de maternité en région parisienne, apporte un éclairage sur la spécificité de son rôle pour une prise en soins de qualité du nouveau-né.
Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 306, Avril 2017, pp. 11-27.
Mots clés : Santé-Santé publique, Enfance-Famille, Consultation, Coordination, Éthique, Hospitalisation à domicile, Innovation, Pédiatrie, {Pratique médicale}, Prise en charge, Puéricultrice, Urgence, Soutien à la parentalité
L’hospitalisation à domicile en pédiatrie, un cadre de soins spécifique ; La reconnaissance de l’exercice libéral, une préoccupation majeure des puéricultrices ; La place de l’infirmière puéricultrice dans la prise en soins en ville ; Les maisons de santé, une opportunité d’exercice coordonné ; Accompagner la parentalité, une activité d’infirmière puéricultrice en micro-entreprise.
La rééducation de l'enfant après un AVC est différente de celle de l'adulte. En effet, celui-ci est en cours de croissance, de maturation cérébrale et de développement psychomoteur...
Article de Gaëlle Gousse, Stéphanie Chabrier, Manoëlle Kossorotoff
Paru dans la revue Soins Pédiatrie Puériculture, vol. 38, n° 295, mars-avril 2017, pp. 14-16.
Mots clés : Santé-Santé publique, Enfance-Famille, Diagnostic, Prise en charge, Pédiatrie, Maladie cardiovasculaire
La survenue soudaine d'un déficit neurologique focal, parfois transitoire et fluctuant, doit faire évoquer un accident cardiovasculaire (AVC), y compris chez l'enfant. L'examen à privilégier est l'imagerie par résonance magnétique avec angiographie par résonance magnétique en urgence.
Paru dans la revue Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence, vol. 64, n° 5, septembre 2016, pp. 331-336.
Mots clés : Santé-Santé publique, Enfance-Famille, Enfant, Fin de vie, Accompagnement de fin de vie, Famille, Pédiatrie, Maladie, Soins palliatifs
L’auteur présente un panorama de l’évolution des réflexions et des pratiques au sein des unités de réanimation pédiatrique à la fois par rapport aux limitations et arrêts des traitements (LAT) et à la place des parents dans ces décisions. Les recommandations professionnelles et les exigences légales y ont très vraisemblablement contribué, mais il convient de ne pas sous-estimer l’importance de la réflexion éthique menée par de nombreuses équipes soignantes de réanimation pédiatrique et néonatale, qui ont su s’enrichir de la contribution de parents, de pédopsychiatres et de professionnels de soins palliatifs. Partant de l’idée que cette décision était trop lourde pour les familles, et qu’il fallait leur éviter d’y être associé pour les protéger, on en est aujourd’hui à l’information et au recueil de l’assentiment ou de la non-opposition des parents de l’enfant malade vis-à-vis d’une LAT. C’est une exigence morale et légale non contestée, même si la législation française a statué que la décision de LAT revenait in fine au médecin. L’attitude recommandée envers les parents s’écarte de toute approche systématique pour privilégier une approche personnalisée, leur laissant le libre choix de leur niveau d’implication vis-à-vis de la décision de l’équipe soignante. Cela se traduit aussi par la présence possible des parents auprès de leur enfant, le respect d’un délai « suffisamment long » (de l’ordre de 24 à 48 heures) entre le moment où l’équipe soignante décide collégialement, avec l’accord des parents, de ne pas poursuivre un traitement, et le moment de son arrêt effectif. Cette attitude suppose une grande cohésion d’équipe où infirmiers et médecins sont ensemble auprès des familles et des enfants, ce qui nécessite aussi que les équipes confrontées à des décisions aussi difficiles puissent être aidées.