PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Article de Anne Julie Vaillant Ciszewicz, Cassandra Quin, Olivier Guérin, et al.
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 164, novembre-décembre 2023, pp. 13-23.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Personne âgée, Santé, Gériatrie, Médecine alternative, Gérontologie, Maladie d'Alzheimer, Démence sénile, Maintien à domicile, Trouble du comportement, Suivi médical, Institution, EHPAD, Évaluation, Méthode, Recherche, Outil, Approche clinique, Mémoire, Stimulation, Thérapie, Analyse comparative, Sens, Attention, Communication, Art-thérapie, Étude de cas, Atelier, Émotion, Attachement, Hôpital, Nice
Les interventions non médicamenteuses (INM) sont recommandées en première intention en gérontologie pour répondre aux symptômes psychologiques et comportementaux de la démence. Cet article illustre les INM mises en place, leur déroulement et leur méthode d’évaluation dans le cadre du projet “Bien vieillir” du centre hospitalier universitaire de Nice.
Article de France Mourey, Célia Ruffino, Patrick Manckoundia
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 158, novembre-décembre 2022, pp. 35-38.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Déficience cognitive, Maladie d'Alzheimer, Sport, Thérapie, Rééducation, Motricité, Recherche, Observation, Prise en charge, Dépistage, Innovation, Technologie numérique, Savoir
Une meilleure connaissance des troubles neurocognitifs majeurs et de l’apprentissage moteur permet de proposer une rééducation motrice (RM) adaptée aux sujets souffrant d’une maladie d’Alzheimer. Des données neuroscientifiques récentes sur les fonctions et la cognition motrices permettent d’envisager la construction de programmes d’activité physique et de RM, dont la relation dose-réponse, le contenu et les consignes sont des facteurs déterminants. D’autres études sont nécessaires pour conforter l’efficacité des méthodes utilisées.
Article de Eléa Gaillard, Cyprien Arlaud, Olivier Guérin, et al.
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 151, septembre-octobre 2021, pp. 39-44.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Anxiété, Déficience cognitive, Démence sénile, EHPAD, Émotion, Étude de cas, Expérimentation, Gériatrie, Maladie d'Alzheimer, Méthodologie, Personne âgée, Relaxation, Thérapie, Trouble du comportement, Vieillissement
Les interventions non médicamenteuses (INM) sont recommandées en première intention en gérontologie pour répondre à un trouble du comportement. L’étude pilote Théra Berce du centre hospitalier universitaire de Nice (Alpes-Maritimes) vise à déterminer si l’INM correspondant au bercement en fauteuil confort permet une réduction des troubles du comportement perturbateur chez les personnes présentant des troubles neurocognitifs. Bénéfices et limites.
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 148, mars-avril 2021, pp. 15-19.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Aide technique, Déficience cognitive, Démence sénile, Dépistage, Diagnostic, Écriture, Étude de cas, Évaluation, Personne âgée, Maladie d'Alzheimer, Maladie neurologique, Méthodologie, Motricité, Recherche, Rééducation, Technologie de l'information et de la communication, Technologie numérique, Thérapie, Trouble du langage, Vieillissement
Ces dix dernières années, les nouvelles technologies sont de plus en plus utilisées, non seulement dans l’élaboration de programmes thérapeutiques et rééducatifs de patients atteints de pathologies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer, mais également dans le diagnostic de ces pathologies, à partir du traitement du signal. Une revue de littérature illustre cet intérêt croissant au sein de la communauté scientifique pour ces nouvelles technologies.
Le photolangage est une méthode de communication utilisée notamment par les psychologues et les formateurs pour délier les langues. Les animateurs peuvent se servir de cet outil pour réunir les résidents autour d'une activité à la fois ludique et cognitive. Cet outil thérapeutique, qui demande peu de moyens et un minimum de préparation, constitue un bon moyen d'évoquer des souvenirs et de s'ouvrir au lien social.
Article de Laëtitia Buisson, Véronique Mangin D'ouince, Camille Tedo, et al.
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 143, mai-juin 2020, pp. 19-21.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Adaptation, Atelier, Déficience cognitive, Équipe pluridisciplinaire, Équipe soignante, Ergothérapeute, Hospitalisation, Kinésithérapie, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Pratique professionnelle, Prise en charge, Psychomotricien, Rééducation, Robot, Soin, Thérapie, Trouble du comportement, Vieillissement, Ile de France
Les thérapies non médicamenteuses font partie intégrante de la prise en soins des patients hospitalisés au sein des unités cognitivo-comportementales. À ce titre, les rééducateurs intervenant dans l’unité de l’hôpital Corentin-Celton (AP-HP, 92) participent au projet de soins individualisé de réadaptation et de rééducation du patient en réalisant de nombreux ateliers individuels et collectifs en cothérapie.
Article de Alexandra Marquet, Nadia Graradji, Judith Mollard Palacios, et al.
Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 36, janvier-mars 2020, pp. 10-22.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, EHPAD, Activité, Adaptation, Animateur, Atelier, Cognition, Diplôme, Lien social, Thérapie
Les ateliers en EHPAD sont souvent la vitrine de l'établissement alors qu'à domicile c'est plus souvent le grand absent, le parent pauvre. Derrière ce terme "fourre-tout" se cachent des ateliers dits thérapeutiques mais aussi des animations favorisant le lien social. Encore faut-il que l'accompagnement soit adapté aux besoins et aux envies du résident ou de l'usager, sans oublier de prendre en compte les différentes pathologies avec leurs conséquences. C'est bien là le nœud du problème, sachant que l'atteinte cognitive est fortement hétérogène chez une personne souffrant de la maladie d'Alzheimer. Repli sur soi, apathie, agitation, déambulation, troubles du comportement (ou de la réaction), absence de langage, autant de réalités que l'animateur ou le soignant devra prendre en considération. Les spécialistes sont d'ailleurs unanimes : les activités, qu'elles soient thérapeutiques ou non, doivent toujours être encadrées par des professionnels expérimentés et formés. Les lieux de rencontre, mais aussi la périodicité, rien ne doit être laissé au hasard. La meilleure des volontés ne suffit pas, sinon les effets peuvent être totalement contre-productifs...et l'échec assuré. (...) (Présentation de l'éditeur)
Article de Anne Julie Vaillant Ciszewicz, André Quaderi, Philippe Robert, et al.
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 140, novembre-décembre 2019, 36-40.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Déficience cognitive, Démence sénile, EHPAD, Émotion, Innovation, Maladie d'Alzheimer, Mémoire, Personne âgée, Psychothérapie, Recherche clinique, Thérapie, Trouble du comportement, Vieillissement
Les troubles du comportement en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes sont particulièrement fréquents chez les résidents atteints de maladies d’Alzheimer et apparentées. Un des troubles du comportement les plus perturbateurs est l’agitation verbale. Évoquons ici l’utilisation de techniques issues de la thérapie Eye Movement Desensitization and Reprocessing en gérontologie, ses applications et ses perspectives de recherche.
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 140, novembre-décembre 2019, 29-31.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Agressivité, Démence sénile, EHPAD, Émotion, Équipe pluridisciplinaire, Gériatrie, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Pluridisciplinarité, Prise en charge, Psychothérapie, Thérapie, Trouble du comportement, Vieillissement
La prise en charge de l’agressivité et de l’agitation chez les personnes âgées démentes peut être envisagée sous l’angle de certaines modalités. Certaines thérapeutiques, en particulier l’usage des neuroleptiques, doivent être évitées. Il faut insister sur la nécessité de mettre des limites aux traitements non pharmacologiques.
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 140, novembre-décembre 2019, 27-28.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Art-thérapie, Atelier, Déficience cognitive, Démence sénile, EHPAD, Lien social, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Pratique professionnelle, Relation, Relation soignant-soigné, Thérapie, Trouble du comportement, Vieillissement
Lorsque les troubles cognitifs des aînés sont importants, il reste pour les soignants la possibilité de l’empathie, du calme relationnel, du temps à donner afin qu’ils accèdent à leur mémoire et fuient cette terrible sensation de ne plus savoir. Entrer dans un espace fermé qui leur est dédié signifie vouloir créer un contact avec des personnes perdues dans les méandres d’une histoire qu’elles ne reconnaissent plus comme étant la leur. Retour d’expérience d’un atelier d’art-thérapie avec des aînés fragilisés au plan cognitif, coupés de tous repères.