Article de Patrick Lechaux
Paru dans la revue La Revue française de service social, n° 290, septembre 2023, pp. 36-43.
Mots clés : Travail social : Métiers, Formation, Assistant de service social, Université, Diplôme, Approche historique, Organisme de formation, Coopération, Cadre de l'intervention sociale, Professionnalisation
Cet article met la focale sur les années 1970 qui initient le débat public, toujours actuel, autour de la question de la reconnaissance des diplômes du travail social par l'université sur fond d'ouverture de l'offre de formation de celle-ci au secteur social. Obtention de la licence par équivalence, à dispositif de formation quasiment inchangé, ou bien fabrication d'un nouveau cursus intégré hybridant formation universitaire et formation professionnalisante ? Quels chemins emprunter ?
Article de Sophie Devineau
Paru dans la revue Empan, n° 109, mars 2018, pp. 130-136.
Mots clés : Travail social : Métiers, Assistant maternel, Vulnérabilité, Genre, Formation, Éducation, Parcours professionnel, Emploi précaire, Reconnaissance, Professionnalisation, Isolement, Risque professionnel
La vulnérabilité des assistantes maternelles constitue un frein au développement professionnel. Parmi les obstacles, on relève le statut social, la configuration de l’espace de travail dans la sphère domestique, la solitude autant que les petits arrangements familiaux. Des conditions d’un travail précaire qui renforcent les assignations de genre faites aux femmes peu diplômées, mariées et ayant des enfants, dont le foyer est installé en zone périurbaine et à la campagne. De surcroît, l’invisibilisation des actes éducatifs contribue au défaut de reconnaissance de l’activité.
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Article de Florence Fondeville, Bruno Ranchin
Paru dans la revue Empan, n° 109, mars 2018, pp. 54-60.
Mots clés : Travail social : Métiers, Professionnalisation, Coordonnateur, Coordination, Transversalité, Innovation, Formation, Action sociale, Expérience
La fonction de coordination apparaît prise dans des injonctions fortes qui conduisent les coordonnateurs à évoluer dans des espaces multiples.
Dans ce contexte, nous défendons la nécessité de considérer la coordination comme une courroie de transmission entre les professionnels, les activités, les projets ; comme une fonction transversale. Nous proposons de penser la formation des coordonnateurs à partir du prisme du réel de l’activité (du travail en train de se faire) et du collectif comme espace d’innovation et de transformation possible.
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