Rechercher un article, un ouvrage, une thèse

PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 1 à 10 sur un total de 26

Votre recherche : *

Une famille sidérée par la démence

Article de Elise Rebaud, Julie Forestier, Kévin Philippe

Paru dans la revue Santé mentale, n° 261, octobre 2021, pp. 40-46.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Accompagnement, Étude de cas, Contre-transfert, Thérapie, Démence sénile, Famille, Maintien à domicile, Personne âgée

Ce que la démence donne à vivre aux proches aidants

Article de Christine Louchard Chardon

Paru dans la revue Santé mentale, n° 261, octobre 2021, pp. 24-31.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, TIERCE PERSONNE, Aidant familial, Démence sénile, Famille, Personne âgée, Dépendance, Accompagnement

La place des familles : de l'intégration à la reconnaissance

Article de Alexandra Marquet, Laurence Hardy, Philippe Giafferi, et al.

Paru dans la revue ASH Etablissements, hors-série n° 10, octobre 2021, pp. 3-41.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Famille, Rôle, Établissement social et médicosocial, EHPAD, Reconnaissance, Intégration, Relation triangulaire, Aidant familial, Usager, Équipe soignante, Accompagnement, Communication, Habilitation, ESAT, Projet individualisé, Épidémie, Confiance, Personne âgée, Personne handicapée, Maladie d'Alzheimer

RECONNAISSANCE. Trouver sa place. Conserver un rôle auprès de son proche institutionnalisé, le tout dans un moment de souffrance, où l’aidant se sent fébrile. Mais aussi coupable de ne plus avoir la force de s’occuper quotidiennement de son parent vieillissant ou de son enfant en situation de handicap et de choisir/subir une institutionnalisation. Pendant longtemps, les familles ont été mises de côté, parfois niées ou à peine informées par les équipes dont la priorité était d’accompagner des personnes vulnérables. Progressivement, les textes législatifs et les pratiques ont évolué. La loi du 2 janvier 2002 a marqué un tournant avec la naissance du projet personnalisé, le fameux PAP, et la constitution des conseils de vie sociale. Ces outils ont favorisé une meilleure reconnaissance des proches aidants ce qui a permis l’indispensable partage des informations nécessaires à la continuité des soins.
INCOMPREHENSIONS. Malgré ces avancées notables, de nombreuses familles peinent toujours à trouver leur place. A l’affût du moindre signe de maltraitance, elles surveillent plutôt qu’elles ne veillent sur leurs parents, ce qui provoque souvent des réactions teintées d’agacement chez les soignants. Si les deux parties sont au départ bien intentionnées, elles continuent de creuser le schisme qui les sépare à force d’absence d’échanges et de communication.
EVOLUTION DES PRATIQUES. Si la prise de conscience est lente, elle semble tout de même engagée. En Ehpad ou en foyer pour personnes en situation de handicap, le travail partenarial, synonyme d’une meilleure qualité de vie pour les personnes vulnérables, leurs familles et par voie de conséquence pour les professionnels, s’impose. Dans le secteur du handicap et de l’enfance, les équipes éducatives choisissent de mettre en avant la relation avec les parents. Depuis quelques années, un nouveau métier a émergé : les coordonnateurs de projet qui facilitent le lien. Si la priorité reste l’envie et les besoins des usagers, les professionnels écoutent désormais la parole des proches. Épaulées, les familles bénéficient d’informations délivrées pour mieux comprendre la maladie de leur proche, des cafés des aidants sont organisés afin de leur offrir un espace de parole et, plus récemment, certains établissements leur ont ouvert les portes : possibilité d’accompagner son proche pour la toilette, de manger avec lui, etc. A ce moment précis, le Covid s’est invité dans les structures qui ont dû fermer leur établissement. Restés à l’extérieur, les proches ont souffert, comme les résidents et les soignants. La crise sanitaire est finalement venue accélérer ce besoin de changement : engager et systématiser de nouvelles pratiques pour que les familles soient des partenaires à part entière.

« Considérer les résidents comme des adultes »

Article de Maxime Ricard, Jack Messy

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3186, 27 novembre 2020, p. 14.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Reconnaissance, Adulte, Participation, Thérapie, Relation soignant-soigné, Famille, Accompagnement, Formation professionnelle, Ressources humaines

Dans son livre, Jack Messy, psychanalyste spécialisé en gérontologie, propose un projet original de fonctionnement d’un Ehpad basé sur une relation d’aide inspirée de la psychothérapie institutionnelle. Un concept qui repose sur le fait que le soin n’est pas seulement médical.

La qualité et la quantité de vie en oncogériatrie

Article de Rachida Qabbal, Amélie Aregui, Stéphane Culine, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 139, septembre-octobre 2019, pp. 19-21.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Bien-être, Cancer, Care, Communication, Diagnostic, EHPAD, Espérance de vie, Évaluation, Famille, Gériatrie, Maladie, Personne âgée, Qualité de la vie, Relation soignant-soigné, Soin, Traitement médical, Vieillissement

Associer qualité et quantité de vie est l’un des défis de l’oncogériatrie. Il repose sur un diagnostic le plus précoce possible et une évaluation complète du patient dans sa dimension médicale, psychologique et sociale. Cette évaluation a pour but de prendre en charge le patient dans sa globalité, de recueillir son opinion et de définir un traitement adapté. Une fois ce dernier établi, la mise en place d’un suivi pour la prise en charge des comorbidités et des symptômes, ainsi que l’instauration d’aides si nécessaire permettent d’améliorer la qualité de vie.

« Faire en sorte que la fin de vie soit réussie »

Article de David Prochasson, Pascal Champvert

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3087, 07 décembre 2018, p. 25.

Mots clés : Santé-Santé publique, Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Fin de vie, Peur, EHPAD, Accompagnement de fin de vie, Ressources humaines, Accompagnement, Famille, Soutien psychologique

Le président de l’Association nationale des directeurs au service des personnes âgées (AD-PA) estime que l’accompagnement à la fin de vie souffre des mêmes maux que l’accompagnement des personnes âgées : le manque de personnel.

Quand l'aide à domicile se met au vert

Article de Pascale Weill

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 50, mai-juillet 2018, pp. 25-26.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Aide à domicile, Développement durable, Écologie, Environnement, Famille, Innovation, Lien social, Personne âgée, Territoire, Dépendance, UNA (Union nationale de l'aide des soins et des services aux domiciles)

Le pôle Innovation-Développement de l'UNA vise à contribuer à la transformation du secteur du domicile en déployant les solutions innovantes, mais aussi en créant de nouvelles réponses à l'intention des personnes et familles accompagnées. Constitué d'une cinquantaine de structures, le fonctionnement de ce pôle porte collégialement une volonté de dynamisme et de collaboration constructive, pour capitaliser les innovations des territoires et déployer des dispositifs nouveaux, sociétalement impactant.

L'EHPAD de demain : des technologies nouvelles au service des personnes âgées et des soignants

Article de Véronique Huart

Paru dans la revue Les Cahiers de l'Actif, n° 498-499, novembre-décembre 2017, pp. 161-182.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Accompagnement, EHPAD, Technologie numérique, Personne âgée, Vieillissement, Dépendance, Handicap, Qualité de la vie, Vie quotidienne, Éthique, Fugue, Accident, Autonomie, Usager, Famille, Équipe soignante, Besoin, Robot, Gard

Lors d'une investigation terrain auprès de trois établissements gardois et d'une enquête, j'ai tenté de définir les contours du domaine des gérontechnoloies : leur essor, les besoins des usagers en EHPAD, l'organisation du secteur, la nécessité d'une démarche éthique et des recommandations de bonne utilisation.

Les fêtes calendaires : quelle importance dans l'accompagnement ?

Article de Charline Vinet

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 25, avril-juin 2017, pp. 25-26.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Établissement pour personnes âgées, EHPAD, Fête, Accompagnement, Personne âgée, Vieillissement, Lien social, Temps, Rythme, Projet d'établissement, Animation, Équipe pluridisciplinaire, Famille, Convivialité, Bénévolat, Pratique professionnelle, ANESM (Agence nationale de l'évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux)

Les recommandations des bonnes pratiques professionnelles de l'Anesm (volet 3) identifient les fêtes calendaires et traditionnelles comme des supports indispensables à la vie sociale du résident en lui offrant ainsi la possibilité de maintenir ou de renouer ses relations sociales antérieures et d'en créer d'autres, tant au sein de l'établissement qu'à l'extérieur. L'organisation de ces temps forts repose sur un choix de critères précis, résultant des besoins des résidents, sachant que 80 % d'entre eux souffrent désormais de troubles cognitifs en Ehpad.