PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue L'Observatoire, n° 107, juillet 2021, pp. 46-47.
Mots clés : Enfance-Famille, Famille monoparentale, Précarité, Isolement, Enfant, Accueil, Animation, Prise en charge, BELGIQUE, LIEGE
Le nombre de familles monoparentales ne cesse d'augmenter dans notre pays. Ces familles ont toutes des risques plus accrus de précarité, d'épuisement ou d'isolement. Afin d'essayer de pallier cette réalité et pour permettre aux enfants de passer des moments d'activités qualitatifs ainsi qu’aux parents de souffler, le projet "Bulles de répit" va voir le jour en plein centre de Liège. Le but ? créer un espace dédié à ces familles monoparentales avec une prise en charge personnalisée.
Article de Josiane Coruzzi, Emmanuelle Mélan, Patrizia Romito, et al.
Paru dans la revue L'Observatoire, tome 101, octobre-décembre 2019, pp. 5-88.
Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Violence, Violence conjugale, Victime, Séparation, Enfant, Père, Justice, Criminalité, BELGIQUE
En Belgique, au moins 100 femmes ont été tuées par leur (ex-)compagnon depuis 2017. Ces féminicides, qui aujourd'hui font l'objet d'une forte médiatisation, sont la partie la plus visible d'une problématique sociétale de grande ampleur. En effet, des dizaines de milliers de femmes sont chaque années victimes de coups, de viols, de menaces, de harcèlement, d'humiliations et d'autres formes de violence de la part de leur (ex-)partenaires.
Pour traiter cette thématique, l'Observatoire est parti d'un colloque international organisé par Solidarité femmes en ocvtobre 2019. Axé sur le violences conjugales post-séparation, celui-ci voulait attirer l'attention sur le fait que la fin du couple ne met pas nécessairement un terme à la violence et peut même l'exacerber; nombre de féminicides sont d'ailleurs perpétrés après la séparation.
Dans ce dossier, vous retrouverez les analyses de plusieurs des intervenants de ce colloque. Démontrant le continuum des violences conjugales au-delà de la séparation, ceux-ci expliquent les stratégies mises en place par les auteurs pour garder leur emprise sur leur ex-partenaires, la manière dont ils utilisent à cette fin leur droit de parent et instrumentalisent leurs enfants; enfin, ils pointent les idéologies, les valeurs, voire les mythes, tel celui du syndrome d'aliénation parnetale, qui persistent et continuent à inlfuer sur les représentations de nombres d'acteurs gravitent autour de ces situations : services psychosiciaux, justice, police,...
" En France, le statut du psychologue à l'hôpital est assez récent. Défini par la loi n°91-478 de 1991 portant réforme hospitalière du code de santé publique, il ne recouvre pas la fonction de psychologue de liaison contrairement à la Belgique. Au service de néphrologie-dialyse et unité de psychologie de l'hôpital universitaire des enfants de Bruxelles, l'exercice de la psychologie de liaison est quotidien. En voici un témoignage."