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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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“Mon chien, c’est toute ma vie !” L’animal, un allié pour les personnes à la rue

Article de Clara Degiovanni

Paru dans la revue Philosophie magazine, n° 178, avril 2024, pp. 40-44.

Mots clés : Lien social-Précarité, SDF, Animal, Hébergement, CHRS, Accompagnement social, Lien social, Association Gamelles Pleines

Appui vital, fidélité indéfectible, liens d’une profondeur insoupçonnée… Le chien occupe une place centrale dans la vie des sans-abri. Nous sommes allés à leur rencontre lors d’une opération de l’association Gamelles pleines, qui vient en aide aux animaux des personnes en situation de grande précarité.

La place accordée aux enfants dans l'espace public

Article de Marie Paule Le Gat

Paru dans la revue Métiers de la petite enfance, n° 318, juin 2023, pp. 9-20.

Mots clés : Petite enfance-Périnatalité, Jeune enfant, Milieu urbain, Bien-être, Projet pédagogique, Etablissement d'accueil du jeune enfant, Médiathèque, Art, Culture, Travail d'équipe, Parentalité, Livre pour enfant, Éveil, Lien social, Micro-crèche, Assistant maternel, Psychologie du développement, Socialisation, Milieu naturel, Animal

Les professionnels connaissent l'importance d'offrir aux enfants des possibilités de découvertes et d'expérimentations au sein d'environnements riches et variés, mais aussi leur besoin de repères, de régularité pour se construire en toute confiance. […] Réfléchir à la place du tout-petit dans son environnement, la rendre visible en occupant l'espace public par ces sorties qui participent à son développement citoyen, ceci engage notre responsabilité à tous, et particulièrement celle des professionnels de la petite enfance

Communication et Alzheimer

Article de Alexandra Marquet, Louis Ploton, Philippe Giafferi, et al.

Paru dans la revue ASH Alzheimer, hors-série n° 26, mars 2023, pp. 3-41.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Communication, Communication non-verbale, Personne âgée, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Mémoire, Parole, Aidant familial, Aide à domicile, EHPAD, Équipe soignante, Apathie, Aphasie, Cognition, Lien social, Activité, Outil, Animal, Art-thérapie, Musique, Orthophonie, Psychomotricité, Regard, Toucher, Soin, Langue des signes

Au-delà des mots. Echanger malgré tout.
SE DIRE BONJOUR. Discuter du dernier dîner partagé avec des amis. Se regarder et savoir exactement ce à quoi l’autre pense. Autant de moments de complicité dont sont exclus les personnes souffrant de troubles cognitifs de type Alzheimer et leur entourage. Progressivement les mots vont manquer ou perdre de leur sens. Les incompréhensions vont se multiplier. Puis suivront le découragement et l’agacement. La mise à l’écart est-elle pour autant irréversible ? Lorsque la mémoire puis la communication sont affectées, comment se parler et se comprendre ? Est-ce seulement possible ? Ces questions se posent au quotidien pour les premiers concernés par la maladie, pour leurs familles, leurs amis, mais pas seulement. Les professionnels du domicile ou ceux travaillant en établissement sont confrontés aux mêmes difficultés de communication. Demeurer un interlocuteur jusqu’au bout. Etre reconnu comme une personne à part entière, malgré la maladie et ses conséquences cognitives. C’est bien là l’essentiel. Le plus difficile aussi. N’oublions pas que pour communiquer, il faut être deux. Encore faut-il se donner la peine de vouloir échanger, avoir les moyens de le faire, prendre le temps d’observer et d’adapter son langage.
PARLER AUTREMENT. Des études (méconnues) publiées à la fin des années 60 révélaient que les mots ne représentent que 7 % de la communication. Seulement 7 %. Le reste s’appuie sur les mimiques, les gestes, le ton de la voix… Alors pourquoi le non-verbal est si peu ou si mal utilisé sachant que la communication paraverbale reste préservée longtemps chez les personnes souffrant de maladies neurodégénératives ?
Sur le terrain, le bon sens est le premier allié : regarder son interlocuteur dans les yeux, lui faire face, parler d’une voix posée sans bruit parasite, employer des phrases courtes et simples, éviter les questions trop longues. Rassurer la personne avec des techniques éprouvées comme la validation, l’indiçage, la reconnaissance de l’autre. Dans ce numéro, les professionnels partagent leurs techniques : pictogrammes, smileys, carnet de communication, recours au toucher, au soin relationnel, à la langue des signes adaptés, au signé bébé, aux animaux, à l’art-thérapie, à la musique, aux nouvelles technologies : les solutions ne manquent pas. Reste à sensibiliser le plus grand nombre avec l’ambition de limiter les risques d’incompréhension du quotidien, faute d’une méconnaissance de la maladie. Quand le dialogue est proscrit, il reste la bienveillance, le regard, le toucher. Le fait d’accepter aussi de ne pas tout comprendre de l’autre.
DES ACCOMPAGNEMENTS A AMELIORER. A domicile, les auxiliaires de vie sont en première ligne. Et pour que l’accompagnement au repas, à la toilette, au coucher se passe sans refus de soin ni trouble du comportement, rien n’est inné : l’intervention doit être acceptée par la personne en perte d’autonomie, et son consentement doit être pris en considération. L’éthique du quotidien ne doit pas être sous-estimée pour entendre la voix d’une personne qui ne parle plus. Pourtant, des questions se posent face aux carences actuelles : pourquoi les interventions à domicile des psychomotriciens libéraux, spécialistes du langage du corps, ne sont-elles pas prises en charge ? Pourquoi les séances d’orthophonie en Ehpad sont-elles rares alors que plus personne ne s’étonne de la présence quotidienne de kiné ? Pourquoi les aidants à domicile comme en établissement ne sont-ils pas davantage sensibilisés à l’éducation thérapeutique ? En somme pourquoi ne devrait-on pas tout tenter pour garder ce lien ténu mais si précieux, essentiel à une communication jusqu’au bout de la vie ?

A Nantes, La Rivière accueille des femmes sans abri

Article de Eléonore de Vaumas

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3271, 26 août 2022, pp. 27-29.

Mots clés : Lien social-Précarité, SDF, Hébergement, Femme, Animal, Colocation, Lien social, Amitié, Autonomie, Accompagnement, Règle, Respect, Nantes

A Nantes, comme ailleurs en France, le sans-abrisme touche aussi les femmes. Pour les accueillir et les protéger, l’association G-xiste a ouvert en mars 2020 un foyer où elles peuvent venir accompagnées de leurs animaux. Une colocation hybride tenue à bout de bras par deux éducateurs engagés.

Quand un lapin arrive au pays des tout-petits...

Article de Virginie Zecchel, Laetitia Afonso

Paru dans la revue Le journal des professionnels de l'enfance - Pratiques, n° 127, mars-avril-mai 2021, pp. 30-33.

Mots clés : Enfance-Famille, Affectivité, Animal, Bien-être, Comportement, Crèche, Développement, Développement cognitif, Enfant, Équipe, Estime de soi, Expérience pédagogique, Jeune enfant, Lien social, Motricité, Projet éducatif, Psychologie du développement, Relation, Respect, Responsabilité, Séparation, Travail d'équipe

Microcrèche et Ehpad : il n’y a qu’un pas…

Article de Gaëlle Grisier

Paru dans la revue Métiers de la petite enfance, n° 289, janvier 2021, pp. 31-32.

Mots clés : Enfance-Famille, Micro-crèche, EHPAD, Jeune enfant, Personne âgée, Intergénérationnel, Jeu, Animal, Échange, Lien social

Veiller à instaurer un lien entre les jeunes enfants et les résidents d’un établissement d’hébergement pour personnes âgées, tel a été le souhait qui a émergé au sein de l’équipe d’une microcrèche bretonne. Ce projet intergénérationnel a pu se concrétiser et a permis d’aboutir à un constat : les échanges entre les enfants et les personnes âgées ont un impact positif sur tous.

La médiation animale

Article de Virginie Champion, Jacques Draussin, Claudine Colozzi, Serge Tisseron

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH - cahier 2 – les numéros juridiques, n° 3175, 11 septembre 2020, 121 p..

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Animal, Médiation éducative, Soin, Pratique éducative, Équithérapie, Ferme pédagogique, Formation professionnelle, Projet éducatif, Enfant, Personne handicapée, Personne âgée, Prison, Hôpital psychiatrique, Lien social, Évaluation, Recherche sociale, La Chabraque, Dôle, Aveyron, Alpes de Haute Provence, Paris, Etats Unis d'Amérique, Italie, Allemagne, Autriche

La médiation animale est désormais reconnue par de nombreux travailleurs sociaux pour ses bienfaits. Les personnes qui se trouvent en situation de fragilité physique, psychique ou sociale éprouvent souvent des difficultés à communiquer avec autrui mais se sentent plus souvent en confiance avec un animal. "L'écoute" de l'animal apaise quand prendre soin de lui est socialement reconnu et valorisé. Réalisé en partenariat avec la fondation Adrienne et Pierre Sommer, ce numéro juridique des ASH recense les obligations et les bonnes pratiques des professionnels qui interviennent dans les secteurs du social et du médico-social avec des animaux. Il vous propose aussi un retour en arrière pour revenir sur la naissance de ce type de médiation. Il offre enfin des pistes de réflexion sur les enjeux futurs quant à la qualité des formations, des qualifications et des certifications.

« Un multirécidiviste les mains dans la terre, ce n’est plus le même jeune »

Article de Flora Peille, Hocine Hadjab

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3171-3172, 31 juillet 2020, p. 13.

Mots clés : Travail-Emploi, Lien social-Précarité, Jardinage, Travail, Jeune, Relation, Animal, Toucher, Socialisation, Lien social, Insertion professionnelle, LOIRET

Hocine Hadjab, directeur de service au centre éducatif fermé (CEF) de La Chapelle-Saint-Mesmin (Loiret), recense de nombreux avantages au jardinage et à l’éco-pâturage mis en place pour les jeunes placés âgés de 13 à 16 ans ainsi que pour leurs éducateurs.

L'attachement, un lien vital

Article de Marc Olano, Héloïse Junier, Romina Rinaldi, et al.

Paru dans la revue Sciences humaines, n° 314, mai 2019, pp. 34-61.

Mots clés : Lien social-Précarité, Attachement, Famille, Affectivité, Biologie, Adolescent, Personne âgée, Animal, Lien social, Amitié

Aimer et être aimé, un besoin fondamental ? C’est ce que prône la théorie de l’attachement, qui hisse les relations humaines au sommet des besoins de l’enfant. Dans son développement, le petit enfant a besoin de se référer à une figure parentale qui représente un havre de paix. En fonction des relations établies avec cette figure de référence, il va construire un modèle d’attachement qui guidera ses interactions avec les autres tout au long de sa vie.
Après avoir longtemps été controversée en France, la théorie de l’attachement témoigne aujourd’hui d’un regain d’intérêt dans nombre de secteurs : neurosciences, protection de l’enfance, soins aux personnes âgées, psychologie de la personnalité, psychologie sociale… Elle semble fédérer un large éventail de théoriciens d’horizons parfois très divers....

Les animaux en institution

Article de Alexandra Marquet, Anne Chervet, Stefane Hedont Hartmann, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 21, avril-juin 2016, pp. 9-18.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Personne âgée, Animal, Établissement pour personnes âgées, EHPAD, État dépressif, Thérapie, Mémoire, Maladie d'Alzheimer, Médiation, Lien social, Zoothérapie

Depuis quelques années, certains établissements autorisent les résidents à conserver leur animal de compagnie lors de leur entrée dans l'institution ; d'autres privilégient un animal de mascotte et des structures font appel ponctuellement à des animaux venant de l'extérieur pour des activités conduites par des experts en lien avec les animateurs. L'EHPAD, qui souhaite mettre en place ce type de thérapie, doit bien réfléchir en équipe à ce projet qui est un véritable engagement, car l'animal est un être vivant dont il faudra toujours s'occuper. Du côté des bienfaits, ils ne sont plus à démontrer tant aux niveaux social, affectif que cognitif. L'animal familier est un facilitateur de lien social pour des personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer. Il favorise le souvenir d'expériences passées, souvent liées d'ailleurs aux animaux. On parle alors de réminiscence.