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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Le groupe d’entraide mutuelle « Bon Pied Bon Œil »

Article de Marion Maurel

Paru dans la revue Empan, n° 117, mars 2020, pp. 94-97.

Mots clés : GEM, Handicap psychique, Accueil collectif de mineurs, Approche historique, Projet individualisé, Inclusion, Provence Alpes Côte d'Azur

C’est à partir d’échanges avec Françoise Galinon, psychiatre psychanalyste, fondatrice de l’association « Bon Pied Bon Œil » que j’ai pu écrire cet article qui retrace l’histoire de ce gem afin d’éclairer ce que je peux y proposer en tant que vacataire. J’interviens une fois par mois sur l’atelier « aide aux projets ». Cet atelier est ouvert à tout membre qui souhaite envisager un projet d’insertion (le projet doit être entendu comme toute proposition dans le champ social).

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Et si l’accès aux loisirs des enfants en situation de handicap enclenchait un cercle vertueux ? Oui assurément, mais sous conditions

Article de Laurie Centelles

Paru dans la revue Empan, n° 117, mars 2020, pp. 87-93.

Mots clés : Enfant handicapé, Loisir, Accueil de loisirs, Accueil collectif de mineurs, Égalité des chances, Projet de vie, Inclusion, Provence Alpes Côte d'Azur

L’accès aux loisirs en France est une réalité pour seulement 0,28 % des enfants en situation de handicap. Pourtant, jouer apporte à l’enfant tant en qualité de vie, en autonomie qu’en émulation entre pairs et ce, réciproquement. L’objet de notre témoignage est d’abord d’interroger le bien-fondé de tiers-lieux comme celui du Kaléidoscope, structure de loisirs atypique, pour des enfants « exclus » de loisirs traditionnels et ensuite d’étudier les ressources, les formations et les partenariats qui aideraient à construire collectivement des passerelles vers des accueils collectifs de mineurs. Si des initiatives existent, elles restent parfois anecdotiques, bricolées et pour le moins peu pérennes. Nous défendons ainsi que le projet de vie d’un enfant vivant une situation de handicap s’inscrit avant tout dans des volontés politiques suivies de décloisonnements budgétaires « santé-éducation-inclusion ».

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