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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Musicothérapie réceptive et anorexie mentale. Évaluation du dispositif DéPi-AM de détente psychomusicale dans l’accompagnement d’adolescentes hospitalisées

Article de Stéphane Scotto Di Rinaldi, Catarina Silva, David Da Fonseca, et al.

Paru dans la revue Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence, vol. 72, n° 2, mars 2024, pp. 51-58.

Mots clés : Anorexie, Hospitalisation, Adolescent, Musicothérapie, Musique, Évaluation, Dispositif, Anxiété, Relaxation

Cette étude pilote évalue les effets de la musicothérapie sur l’anxiété et la dysmorphophobie, en unité de soin juste avant un moment institutionnel anxiogène, celui de la pesée.

Mise en place, déroulement et évaluation des INM dans le cadre du projet "Bien vieillir"

Article de Anne Julie Vaillant Ciszewicz, Cassandra Quin, Olivier Guérin, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 164, novembre-décembre 2023, pp. 13-23.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Personne âgée, Santé, Gériatrie, Médecine alternative, Gérontologie, Maladie d'Alzheimer, Démence sénile, Maintien à domicile, Trouble du comportement, Suivi médical, Institution, EHPAD, Évaluation, Méthode, Recherche, Outil, Approche clinique, Mémoire, Stimulation, Thérapie, Analyse comparative, Sens, Attention, Communication, Art-thérapie, Étude de cas, Atelier, Émotion, Attachement, Hôpital, Nice

Les interventions non médicamenteuses (INM) sont recommandées en première intention en gérontologie pour répondre aux symptômes psychologiques et comportementaux de la démence. Cet article illustre les INM mises en place, leur déroulement et leur méthode d’évaluation dans le cadre du projet “Bien vieillir” du centre hospitalier universitaire de Nice.

Interventions non médicamenteuses

Article de Tristan Cudennec, Véronique Guichardet, Laura Lantermino, Bérengère Maeker Poquetet al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 164, novembre-décembre 2023, pp. 9-35.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Personne âgée, Santé, Gériatrie, Médecine alternative, Médicament, Traitement médical, Lecture, Stimulation, Mémoire, Trouble du comportement, Prise en charge, Approche cognitive, Recherche, Évaluation, Analyse comparative, Art-thérapie, Aidant, Suivi médical

Souvent légitime, le médicament est avant tout une chance, y compris pour la personne âgée. Son premier déterminant dans cette population est la polypathologie. Mais la polymédication va favoriser le risque d’iatrogénie et renforcer la possibilité de survenue d’effets indésirables et de mauvaise observance thérapeutique. En gériatrie, la prescription médicamenteuse doit respecter certaines règles : le médicament utilisé doit avoir démontré son efficacité, et il convient de ne pas utiliser de médicaments dont les risques sont plus importants que les bénéfices attendus. Cependant, il existe de très nombreuses alternatives non médicamenteuses permettant d’optimiser le soin auprès de personnes âgées, notamment lorsqu’il existe des troubles neurocognitifs.
En 2011, la Haute Autorité de santé a proposé un rapport traitant du développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées. Ce dernier abordait plusieurs problématiques limitant le développement de telles pratiques : un mode de financement des soins peu incitatif, des médecins et des patients mal informés sur ces thérapeutiques et sur leurs modalités de recours, ainsi qu’un manque d’adhésion à leurs recommandations ou encore un impact des inégalités socio-économiques sur le suivi de ces thérapeutiques.
Aujourd’hui, les interventions non médicamenteuses, qu’il s’agisse de prévention ou de stratégies non pharmacologiques d’optimisation du soin, sont devenues des modalités reconnues dans la prise en charge des patients, notamment lorsqu’il existe des troubles neurocognitifs et des troubles du comportement associés. Ils seront adaptés aux capacités de communication de la personne, ainsi qu’à son état émotionnel. Ils font désormais partie intégrante du parcours de soins !

Etude des liens entre diabète de type 2 et critères gériatriques

Article de Abrar Ahmad Zulfiqar, Ibrahima Amadou Dembélé, Amadou Nouroudine, Emmanuel Andrès

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 163, septembre-octobre 2023, pp. 43-45.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Médicament, Traitement médical, Prescription médicale, Santé, Soin, Prise en charge, Pathologie, Gériatrie, Diabète, Vulnérabilité, Recherche, Étude de cas, Évaluation, Épidémie, Statistiques, Analyse multivariée, Méthodologie

Le diabète de type 2 chez le sujet âgé reste une préoccupation majeure pour l’ensemble des professionnels de santé, étant elle-même considérée comme une réelle “pandémie” mondiale. Sa prévalence est élevée et continuera à s’accroître dans les années à venir, devenant prégnante chez le sujet âgé et très âgé. Nous proposons une synthèse générale sur les travaux se focalisant sur les liens entre diabète de type 2 et les critères gériatriques.

Les psychotropes chez les personnes âgées

Article de Philippe Thomas

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 163, septembre-octobre 2023, pp. 27-29.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Médicament, Traitement médical, Prescription médicale, Santé, Soin, Prise en charge, Pathologie, Psychotrope, Consommation médicale, Risque, Évaluation, Besoin, Suivi médical

La consommation de psychotropes chez les personnes âgées est fréquente et peut être problématique en raison des risques associés à leur utilisation inappropriée et à leurs effets indésirables. Il est essentiel d’adopter une approche prudente et individualisée dans la prescription de psychotropes, en évaluant régulièrement leur efficacité et en considérant d’autres approches non médicamenteuses lorsque cela est possible. La collaboration entre les professionnels de la santé et les patients peut contribuer à une utilisation plus appropriée de ces médicaments chez les personnes âgées.

Les bonnes pratiques médicamenteuses en cas d'épilepsie de la personne âgée

Article de Vincent Dauny, Alix Minaud, Marc Verny

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 163, septembre-octobre 2023, pp. 19-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Médicament, Traitement médical, Prescription médicale, Santé, Soin, Prise en charge, Pathologie, Épilepsie, Diagnostic, Évaluation, Risque, Mortalité, Vulnérabilité, Gériatrie, Suivi médical

L’épilepsie est une maladie fréquente chez la personne âgée. La démarche diagnostique doit être précise et systématique. L’instauration d’un traitement doit être évaluée en fonction du risque épileptique et des comorbidités. Plusieurs traitements existent mais il n’y a aucune solution miracle. La surveillance du patient épileptique et de la tolérance des traitements doit être régulière. L’efficacité des traitements proposés est bonne en règle générale.

Le bon usage des anticoagulants oraux chez le patient âgé

Article de Eric Pautas

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 163, septembre-octobre 2023, pp. 8-12.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Médicament, Traitement médical, Prescription médicale, Santé, Soin, Prise en charge, Pathologie, Analyse comparative, Évaluation, Risque

Les anticoagulants oraux directs (AOD) tendent à supplanter les antivitamines K (AVK) dans leurs indications communes, dominées chez les patients âgés par la fibrillation atriale et la maladie thromboembolique veineuse. Il reste malgré tout nécessaire de savoir utiliser au mieux les AVK pour lesquels il reste des indications. Il est aussi important de ne pas considérer que les AOD pourraient être prescrits sans risque en méconnaissant certaines particularités de leur maniement, notamment chez les patients les plus fragiles du fait de leurs comorbidités et de leur polymédication.

Apport de l'activité physique sur la motivation des patients atteints de troubles cognitifs mineurs à majeurs

Article de Cindy Menez, Alexandra Konig, Guillaume Sacco, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 162, juillet-août 2023, pp. 18-23.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Gériatrie, Déficience cognitive, Cognition, Diagnostic, Évaluation, Activité physique, Sport, Sport adapté, Maladie d'Alzheimer, Autonomie, Recherche, Étude de cas, Analyse comparative, Méthode, Expérimentation, Bien-être, Estime de soi, Apathie, Motivation, Outil, Évolution, Indicateur démographique

La maladie d’Alzheimer (MA) s’accompagne d’une réflexion sur la perte d’autonomie, engendrée par les troubles cognitifs et sa prise en charge. Dans ce cadre, l’activité physique adaptée a démontré des bénéfices sur la qualité de vie générale des personnes atteintes par la maladie. Notre étude évalue, sur treize patients présentant une maladie neurodégénérative de type MA ou syndrome apparenté, l’impact de l’activité physique sur l’estime de soi et la motivation des patients réalisant en groupe des exercices pendant douze semaines, à raison d’une séance d’une heure par semaine.

Evaluation et atteintes des fonctions cognitives

Article de Hélène Levassort, Marion Levassort, Agathe Raynaud Simon, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 162, juillet-août 2023, pp. 8-17.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Gériatrie, Déficience cognitive, Cognition, Diagnostic, Évaluation, Psychologie, Cerveau, Neurologie, Définition, Approche cognitive, Outil, Mémoire, Amnésie, Trouble du langage, Langage, Aphasie, Agnosie, Perception, Test, Apraxie, Maladie d'Alzheimer, Analyse comparative

Les fonctions cognitives permettent de recevoir, sélectionner, stocker, transformer, élaborer et récupérer les informations que nous recevons de l’extérieur. Celles-ci sont commandées par différentes structures cérébrales qui interagissent entre elles, permettant d’être en contact et de comprendre le monde qui nous entoure. Au cours du vieillissement ou de la survenue de maladies neurocognitives, ces fonctions peuvent être atteintes de façon plus ou moins importante, donnant ainsi lieu à une variété considérable de profils d’atteintes neurocognitives. Lorsqu’un patient semble présenter des troubles neurocognitifs, une évaluation neuropsychologique approfondie peut aider à caractériser précisément cette atteinte avant de guider la prise en charge thérapeutique. Elle contribue fortement au diagnostic étiologique du trouble.

Les fonctions cognitives

Article de Christina Rogan, Tristan Cudennec, Hélène Levassort, Cindy Menezet al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 162, juillet-août 2023, pp. 7-26.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Gériatrie, Déficience cognitive, Cognition, Diagnostic, Évaluation, Maladie d'Alzheimer, Approche cognitive, Analyse comparative, Relation soignant-soigné, Psychopathologie, Suicide, Risque