PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3253, 1 avril 2022, pp. 20-23.
Mots clés : Ecole-Enseignement, Quartier prioritaire, Territoire, Inégalité, Apprentissage, Mixité sociale, Éducation, Citoyenneté, Activité, Lien social, Échange, Politique de la ville, Jeune en difficulté, Scolarité
Pour lutter contre les inégalités sociales, deux collèges situés dans des quartiers sensibles toulousains ont été fermés. Depuis 2017, tous les matins, les élèves sont acheminés en bus dans des établissements du centre-ville. L’association Bas d’immeuble les soutient dans cet apprentissage de la mixité sociale. Pas si simple.
Article de Xavier Perrin, Ghislaine Rodriguez, Laurent Bernardi
Paru dans la revue Vers l'Education Nouvelle, n° 584, janvier-mars 2022, pp. 32-34.
Mots clés : Ecole-Enseignement, Enfant, Éducation, Politique de la ville, École, Animation, Partenariat, Projet éducatif, Famille, Accompagnement, Vie associative, Activité culturelle, Citoyenneté, Innovation sociale, Nantes, Saint Nazaire
Dans la sphère éducative, les concours renvoient le plus souvent à des épreuves classantes et individuelles. Il en existe pourtant un autre type en plein essor, destiné à des groupes d'élèves voire des classes entières, qui présentent un véritable intérêt pédagogique trop souvent négligé...
Le Liban, pays de dix-huit communautés religieuses officiellement reconnues par l’État, a subi, à partir de 1975, une terrible et sanglante guerre civile qui a duré une quinzaine d’années. Ces communautés religieuses s’entre-déchirent jusqu’à présent pour créer un Liban à leur image. La liberté de l’enseignement approuvée par la constitution permet à chaque communauté religieuse d’avoir ses propres institutions scolaires et son propre projet d’éducation. De ce fait, l’éducation à la citoyenneté impose des épreuves à tous les Libanais ainsi qu’aux différentes écoles. En effet, le Libanais appartient d’abord à sa communauté religieuse, puis à sa famille politique et enfin au Liban. Comment peut-on donc arrêter un programme pour éduquer les nouvelles générations à une citoyenneté nationale et non communautaire ?