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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Tendresse, traumatisme, culpabilité

Article de Françoise Peille

Paru dans la revue Empan, n° 123, septembre 2021, pp. 136-142.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Abus sexuel, Traumatisme, Besoin, Enfant, Souffrance psychique, Violence, Écoute, Affectivité, Sexualité

Les abus sexuels sont toujours une grande souffrance psychique pour les victimes, plus spécifiquement les enfants. Violence et sexualité sont toujours liées même quand les abus sont opérés sans violence comme pour la plupart chez des enfants. Les adultes doivent savoir écouter les enfants en fonction de leur développement psychosexuel et de leurs besoins, en se souvenant qu’ils ont été eux-mêmes des enfants. Dans les abus, la tendresse nécessaire peut se transformer en un traumatisme et faire des ravages dans le développement affectif et sexuel de leur vie d’adulte.

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Les enfants et la guerre

Article de Brigitte Moïse Durand, Marie Rose Moro, Manon Pignot, et al.

Paru dans la revue L'Autre, vol. 21, n° 2, avril-juin 2020, pp. 141-176.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Enfant, Traumatisme, Souffrance, Mort, Violence, Adaptation, Résilience, Réparation, Victime, Reconnaissance

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Soigner le traumatisme ?

Article de Nicolas Chambon

Paru dans la revue Rhizome, n° 69-70, décembre 2018, pp. 1-39.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Souffrance psychique, Soin, Traumatisme, Immigré, Enfant, Violence, Agression

Violences, attentats, catastrophes, tortures, viols, maltraitances... Ces événements qui suscitent l’effroi peuvent avoir des conséquences psychiques graves sur le plus long terme. Peut-on soigner le traumatisme ? Si nous posons la question, c’est parce que la réponse ne va pas de soi. Ce numéro de Rhizome présente un double intérêt au regard de la ligne éditoriale de la revue. D’une part, l’appréhension du traumatisme paraît être à l’articulation entre un événement et/ou un contexte social et une « empreinte » psychique. La souffrance psychosociale d’hier serait le traumatisme d’aujourd’hui. D’autre part, il existe une prévalence des psychotraumatismes plus élevée pour les personnes ayant l’expérience de la précarité et/ou de la migration. Que recouvre alors le « traumatisme » dans une perspective clinique ? La terminologie s’inscrit aujourd’hui dans le langage commun, suscitant de fortes attentes pour que les dispositifs de santé mentale prennent en charge les personnes exposées à des événements traumatiques.

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