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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Santé mentale des jeunes : état d'urgence

Article de Naïri Nahapétian

Paru dans la revue Alternatives économiques, n° 435, juin 2023, pp. 38-41.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Jeune, Jeune en difficulté, Souffrance psychique, État dépressif, Psychiatrie infantile, CMPP, Prise en charge, CMP, Enfant en difficulté, COVID-19

La crise sanitaire a affecté la santé mentale des enfants, adolescents et jeunes adultes de manière durable. Pourtant, leur prise en charge souffre toujours d'un manque criant de moyens

Santé mentale des jeunes : état d'urgence

Article de Naïri Nahapétian

Paru dans la revue Alternatives économiques, n° 435, juin 2023, pp. 38-41.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Souffrance psychique, Jeune en difficulté, État dépressif, Psychiatrie infantile, CMPP, CMP, Prise en charge, Jeune, Confinement

La crise sanitaire a affecté la santé mentale des enfants, adolescents et jeunes adultes de manière durable. Pourtant, leur prise en charge souffre toujours d'un manque criant de moyens.

Alzheimer Jeunes : mieux connaître pour mieux accompagner

Article de Alexandra Marquet, Adeline Rollin, Bruno Dubois, et al.

Paru dans la revue ASH Alzheimer, hors-série n° 8, août 2021, pp. 3-41.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Jeune, Symptôme, Diagnostic, Éthique, Témoignage, Soutien psychologique, Habitat collectif, EHPAD, Souffrance psychique, Aidant familial, Repos, Accompagnement, Adaptation, Prise en charge, Pluridisciplinarité, Lien social, Handicap, Génétique, Exclusion sociale, Trisomie, Stéréotype

ERRANCE ET DOUBLE PEINE. Lorsque la mémoire flanche, les aînés pensent immédiatement et avec angoisse à la maladie d'Alzheimer. Pour les plus jeunes, cette maladie neurodégénérative n'est pas un sujet d'inquiétude, dans l'immédiat en tout cas. Réalité mal connue, elle touche pourtant plus de 55 000 personnes de moins de 65 ans, soit près de 6 % de la totalité des malades. Chez eux, les difficultés à trouver des mots ou les troubles du langage sont les premiers symptômes. Le réflexe consiste à attribuer ces troubles à un burn-out ou à une dépression. Souvent, le médecin généraliste renvoie vers un accompagnement psychologique. C'est seulement après une longue errance qu'un neurologue finit par poser le diagnostic... et un pronostic qui laissent place à la souffrance. C'est la double peine pour des personnes encore en activité professionnelle, ayant parfois des enfants en bas âge. Pour les proches, c'est une réelle mise à l'épreuve avec un quotidien totalement bouleversé.
APRES LE DIAGNOSTIC, LE DESERT ? En France, des efforts ont été engagés autour du pronostic précoce... Face à des manifestations cliniques atypiques et aux sévérités des troubles, une prise en charge spécifique doit être déployée. Vers qui se tourner ? Sachant que ce public est freiné par des barrières d'âge en Ehpad, en particulier quand le maintien à domicile devient impossible. Face à une pathologie qui progresse très vite, il est nécessaire d'être bien entouré à domicile comme en institution. En France, ce n'est qu'en 2015 que le premier établissement dédié a ouvert ses portes, à Cesson, en Seine-et-Marne. Il s'agit d'une structure portée par une association spécialisée dans le handicap. Pour cette pathologie qui touche un public jeune, les professionnels à la frontière entre le handicap et la gérontologie ne sont pas de trop pour faire face à la sévérité des symptômes. Face à l'inéquation entre cette forme de pathologie et un encadrement inadapté, les expérimentations se sont développées. Elles démontrent toute l'importance de l'accompagnement médico-social et non médicamenteux. (...)
QUAND UN MOT BLESSE. A l'heure où la société affiche un âgisme assumé et où les préjugés autour de la maladie d'Alzheimer ne sont plus à démontrer, certaines voix s'élèvent pour que les experts et professionnels de terrain changent de discours et cessent d'employer le terme de "démence" qui renvoie à la vieillesse et à la déchéance. Pour les malades jeunes, ce mot stigmatisant blesse. Ce n'est pas qu'une question de vocabulaire, mais de dignité pour les personnes atteintes de troubles cognitifs et leurs proches, qui veulent continuer à vivre le plus normalement possible, sans être montrés du doigt.

Prévenir le suicide : connaissances et interventions

Article de Sandrine Broussouloux, Enguerrand du Roscoät, Guillaume Walter, et al.

Paru dans la revue La Santé en action, n° 450, décembre 2019, pp. 4-37.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Suicide, Accompagnement, Souffrance psychique, Prévention, Écoute, Prise en charge, Responsabilité, Profession médicale, Jeune

Il existe des interventions efficaces pour prévenir le suicide, cela a été démontré par la littérature scientifique. Ce constat a amené les pouvoirs publics et les intervenants dans le champ de la santé publique à intégrer cette démarche de prévention qui a fait ses preuves. Ce dossier analyse ces interventions probantes au travers de programmes concrets. Une trentaine d'experts et d'intervenants de terrain y ont contribué.

Autour du suicide

Article de Robert Bastien, Monique Besse, François Chobeaux, Marianne B. Fugèreet al.

Paru dans la revue Vie sociale et traitements VST, n° 137, 1er trimestre 2018, pp. 14-66.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Suicide, Passage à l'acte, Souffrance psychique, Travail, Conditions de travail, Jeune, Retraite, Relation d'aide, Prise en charge, Guyane

Le passage à l’acte, l’imminence de la mort et le retour à la vie sont trois séquences auxquelles les professionnels peuvent être confrontés. Ce genre de drame questionne les valeurs de tous et de toutes et pose de nombreuses questions. Y a-t-il des signes annonciateurs qui ont échappés ? Comment aurait-il fallu agir ? Comment nos représentations de la nature de l’acte commis influencent-elles notre action ? Y aurait-il des précautions particulières à prendre avec ces patients ? Où et comment accueillir ceux qui se relèvent d’une tentative de suicide ? Faut-il une prise en charge spécifique d’ordre psychiatrique? Et quelle place pour les familles et les proches du patient ?

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