PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Esprit, n° 466, juillet-août 2020, pp. 135-139.
Mots clés : Action sociale : histoire et perspectives, Travail social, Usager, Action sociale, Droits des usagers, Coopération, Intégration
Coopérer avec les personnes accueillies à la conception, à la mise en œuvre et l’évaluation de l’action sociale permet une meilleure inclusion sociale de ces personnes. Mais une organisation bureaucratique et une culture caritative s’y opposent.
Paru dans la revue Empan, n° 115, septembre 2019, pp. 26-32.
Mots clés : Action sociale : cadre institutionnel et juridique, Travail social : Établissements, Usager, Évaluation, Management, Législation, Action sociale, Établissement social et médicosocial, Protection juridique, Accompagnement, Travail social, Haute autorité de santé, Formation
L’intense production législative des vingt dernières années dans l’action sociale, destinée à mieux protéger et accompagner les personnes en difficulté, a généré un système de sur-organisation administrative et managériale de la forme des institutions au détriment des finalités, une déstabilisation des cadres, un appareil de formation centré sur l’acquisition d’éléments standardisés et de postures professionnelles préétablies et un accès incertain aux droits pour les usagers. L’ensemble produit un florilège sémantique de la modernité et occulte les dimensions politiques et cliniques.
Paru dans la revue Sciences & Actions Sociales, n° 7, mai 2017, 11 p..
Mots clés : Action sociale : histoire et perspectives, Travail social, Action sociale, Institution, Désinstitutionnalisation, Usager, Histoire sociale, Recherche en sciences sociales
Depuis déjà quelques années, l'action sociale se désinstitutionnalise au point de pénétrer le domicile et d'organiser de nouvelles modalités de prises en charge. Le but ultime étant de mieux répondre aux logiques de proximité et de décentralisation qu'imposent les territoires, mais aussi, de répondre à l'émergence des demandes d'aides des populations et individus en difficultés sociales, handicapées ou âgées. Cette désinstitutionnalisation modifie les organisations, fragmente les collectifs de travail et donne un nouveau rôle à l'usager. C'est à ces altérations que l'article est consacré
Paru dans la revue Espace social (la revue proposée par le CNAEMO), n° 48, décembre 2013, pp. 2-57.
Mots clés : Décentralisation, Département, Protection de l'enfance, ASE, Intérêt de l'enfant, État, Travail social, Action sociale, Usager, Convention collective, Politique sociale, Protection sociale, Territoire, Association, Jeune majeur, Vie associative, AEMO, AEAD, QUESTIAUX (NICOLE)
Il semble opportun de revisiter la question du travail en équipe dans le contexte actuel caractérisé par un moins disant financier et un regain d'individualisme performant. Ces deux éléments typiques du néolibéralisme déstructurent la dimension collective, dissolvent les liens sociaux et mettent à mal la solidarité. Ils impactent le travail social dans ses modalités d'organisation comme dans ses finalités et l'AEMO/AED n'échappe pas au processus enclenché, lequel risque d'aller crescendo et durablement sauf si des résistances conjurent cette dérive de la société postindustrielle [présentation de l'éditeur] document à télécharger sur : http://www.cnaemo.com/media/partage/pdf/numero_mars_2014_espace_social.pdf