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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Clinique de l’adulte

Article de Magali Chatagnat, Annie Reuff Benard, Claire Ferrarese, et al.

Paru dans la revue Thérapie psychomotrice et recherches, n° 188, septembre-décembre 2022, pp. 4-86.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychomotricité, Pratique professionnelle, Thérapie corporelle, Psychiatrie, Psychologie clinique, Étude de cas

Dossier composé de 7 articles :
- Reprendre corps pour reprendre vie. Le chemin de Mme B. en relaxation psychothérapique
- Le tai chi chuan à l’épreuve de l’anorexie. Les rythmes, les formes et les sens
- Sexualité, hypnose et psychomotricité. Quelques pistes de réflexions autour d’une clinique adulte en libéral
- Psychomotricité et psychiatrie adulte. L’étayage du corps en soutien du psychisme
- Un ancrage au fil de l’eau. Accompagnement psychomoteur en balnéothérapie pour un équilibre psychocorporel
- Un pas vers soi, un pas vers l’autre. Corps en mouvement : un atelier où la danse thérapie et la psychomotricité se rencontrent
- La psychomotricité, une clé importante dans la prise en soin d’un syndrome de désadaptation psychomotrice

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Echos de la violence

Article de Nicolas Chambon, Gwenn Le Goff, Laetitia Schweitzer, et al.

Paru dans la revue Rhizome, n° 80-81, juillet 2021, pp. 2-39.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Violence, Violence conjugale, Santé mentale, Psychiatrie, Maltraitance, Usager, Accès aux droits, Détention, Immigration, Traumatisme, Résilience, Théorie, Pratique professionnelle

Ce numéro de Rhizome illustre différentes formes de violence, qu’elles soient physiques, symboliques, politiques, ou psychologiques et identifie ses échos sur celles et ceux qui y sont exposés. La connaissance contemporaine sur le traumatisme réactualise en effet la considération portée aux usages et aux vécus de violence. La lecture de ce numéro invite à résister à la violence, tout en considérant ses causes et ses conséquences psychiques et sociales : soit en comprendre la teneur, pour ne jamais l’envisager comme une finalité.

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Les habitats collectifs et accompagnés en santé mentale à l’épreuve de la pandémie de Covid-19 : entre protection vis-à-vis du virus et soutien à l’autonomie

Article de Maïna Le Helley, Noémie Rapegno, Cécile Rosenfelder

Paru dans la revue Revue française des affaires sociales, n° 2, avril-juin 2021, pp. 57-75.

Mots clés : Santé-Santé publique, Santé mentale-Souffrance psychique, Épidémie, Habitat collectif, Psychiatrie, Maintien du lien, Prévention sanitaire, Pratique professionnelle, Autonomie, Isolement, Établissement social et médicosocial, Travailleur social, Liberté, Droits des usagers, Crise

Cet article propose de donner à voir la gestion de crise de Covid-19 dans quatre habitats collectifs et accompagnés en santé mentale. Il repose sur l’analyse d’entretiens réguliers réalisés avec des professionnels de ces lieux de vie, de mars 2020 à juin 2020. Les habitats ont suivi les directives destinées aux établissements médico-sociaux, cherchant un cadre de référence pour protéger les locataires du virus. Pendant le confinement, les accompagnements habituellement proposés dans ces habitats (et qui sont majoritairement pensés pour favoriser l’autonomie dans la vie quotidienne) ont été réduits et recentrés sur le maintien du lien avec les locataires et sur des actions de prévention. Le déconfinement a été placé sous le signe de la prudence et s’est effectué de manière progressive. Les professionnels, confrontés à de nouvelles épreuves et à de nouveaux dilemmes pour concilier les principes de protection et d’autonomie, ont dû redéfinir leurs pratiques.

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Les psychologues dans les institutions aujourd'hui

Article de Anne Sylvie Grégoire, Nadège Guidou, Nathalie Schmitt, et al.

Paru dans la revue Connexions, vol. 1, n° 113, janvier-juin 2020, pp. 47-186.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychologie, Profession, Pratique professionnelle, Psychiatrie, Santé mentale, Conditions de travail, Violence, Identité professionnelle, EHPAD, Hôpital, École, Institution, Formation, Écrit professionnel, Travail d'équipe

Depuis la création du titre de psychologue en 1985, une conjonction de facteurs scientifiques, politiques et culturels a transformé le métacadre des institutions. Le modèle gestionnaire qui s’est imposé à tous les secteurs vient bouleverser l’organisation et le sens du travail des psychologues. Quatre points méritent ici d’être interrogés :

Comment la vie psychique peut-elle être prise en compte lorsque l’appréciation de la souffrance psychique se trouve en tenailles entre des exigences d’adaptabilité et une conception objectivante ?
En quoi de nouvelles attentes institutionnelles remettent-elles en question les valeurs de la profession, quand l’exigence d’évaluation et de transparence amène les psychologues à devenir des « techniciens » ?
Quels rapports aux groupes et à l’institution sont à repenser, si les organisations demandent aux psychologues d’aider leurs propres équipes ou de participer au développement de la coopération entre les différents pôles de la vie institutionnelle ?
Enfin, quels enjeux pèsent sur la formation, alors que la validité scientifique des théories du psychisme et la pertinence clinique des méthodes de traitement sont remises en cause ?
C’est à travers toutes ces questions que ce numéro de Connexions explore la profession de psychologue aujourd’hui.

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Cohénsion sociale et santé mentale

Article de Jacques Marescaux

Paru dans la revue Pratiques en santé mentale, n° 1, février 2017, pp. 3-89.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Lien social, Citoyenneté, Solidarité, Handicap psychique, Pratique professionnelle, Précarité, Psychiatrie, Démocratie participative, Accompagnement

S’agit-il d’un simple glissement sémantique ou n’est-ce pas le signe d’un délitement du lien social ? La cohésion sociale signe-t-elle la fin de l’état providence, remettant en chantier ses modalités d’action devant la montée des logiques de privatisation du risque ? La cohésion sociale serait-elle seulement le parent pauvre de la solidarité née de la volonté collective des citoyens ? Ne serait-elle pas aussi l’occasion de nouveaux débats sur l’implication citoyenne où l’on retrouve les valeurs qui nourrissent nos pratiques ? Quelle peut-être dans ces débats la place des plus fragiles, celles et ceux qui sont malades et/ou en situation de handicap psychique ? Quels liens pouvons-nous construire pour renforcer cette cohésion ? Que pouvons-nous changer dans nos pratiques pluriprofessionnelles ou nos rencontres singulières, pour créer ces liens au quotidien, avec ceux que nous appelons patients ou usagers ? L’enjeu n’est-il que participatif ou doit-il concerner pleinement la représentativité des usagers citoyens ?

Autant de questions que les journées de Santé mentale France ont travaillées lors des journées annuelles qui se sont déroulées à Rennes en septembre 2016. À partir de tous les lieux, dans la cité ou dans les services de santé mentale, qui proposent de « petites fabriques de liens » les participants ont essayé de repérer et de promouvoir tout ce qui peut être facilitateur de cette cohésion sociale.

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Une histoire d'héritage...

Article de Alain Bozza, Henri Santiago Sanz, Jean Luc Marchal, et al.

Paru dans la revue Vie sociale et traitements VST, n° 129, janvier-mars 2016, pp. 14-81.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, HISTOIRE, Travail social, Psychiatrie, Santé, Transmission, Pratique professionnelle, Formation, Approche clinique, Précarité, Infirmier psychiatrique, Usager, Parole, Inspection du travail

Le travail social et la psychiatrie sont riches de leur passé, de pratiques forgées par des générations de professionnels-militants. Les tendances gestionnaires et normatives d’aujourd’hui viennent les mettre en cause. « Résister » afin de les préserver est devenu central pour de nouveaux professionnels, et pour ceux de la vieille garde qui défendent toujours ce qu'ils ont contribué à inventer. Les nouvelles pratiques (action humanitaire collective, psychiatrie de rue, Groupes d'entraide mutuelle, maraudes de rue, SAMU social, "logement d'abord"...) qui se développent s'inscrivent-elles dans ces filiations ? En quoi sont-elles différentes ? Sur quelles références théoriques s'appuient-elles ? Comment les professionnels d'aujourd'hui s'inscrivent-ils dans cette dynamique d'appropriation et de transformation ?

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