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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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À quoi sert l’expertise usagère ?

Article de Claire Heijboer

Paru dans la revue Le Sociographe, n° 77, mars 2022, pp. 149-155.

Mots clés : Action sociale : histoire et perspectives, Usager, Expert, Relation professionnelle, Savoir, Compétence, Coopération, Pratique professionnelle, Participation, Intervention sociale, Expérience

Si l’on parle facilement de savoirs usagers, ou de savoirs d’expérience pour décrire les connaissances, capacités et compétences des personnes usagères d’établissements et de services sociaux et médico-sociaux, la notion d’expertise usagère est plus difficilement employée, voire même souvent décriée. Cependant, cette dernière démontre les opérationnalités de ce savoir que nous entendons dévoiler

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Qu’apportent les savoirs expérientiels à la recherche en sciences humaines et sociales ?

Article de Eve Gardien

Paru dans la revue Vie sociale, n° 20, décembre 2017, pp. 31-44.

Mots clés : Action sociale : histoire et perspectives, Savoir, Formation, Expérience, Pair aidant, Handicap, Santé mentale, Empathie, Maladie chronique, Compétence

Cet article apporte un ensemble de connaissances relatives à la nature des savoirs expérientiels et à leurs modalités sociales de production et de légitimation. Il montre en quoi chaque être humain est concerné par ces savoirs expérientiels. Dans le même temps, certains de ces savoirs présentent de véritables spécificités : une typologie des savoirs expérientiels issus des situations liées au handicap, à la maladie chronique ou aux troubles de la santé mentale est ainsi présentée. Une fois cette contextualisation effectuée, une réflexion sur les causes de la non-reconnaissance des savoirs expérientiels et une discussion sur les intérêts des sciences humaines et sociales à les prendre davantage en considération sont développées. La conclusion revient sur les limites d’un parti pris trop dogmatique sur l’usage des savoirs expérientiels dans le champ académique.

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