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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Territoires et insécurité en Île-de-France

Article de Antoine Jardin, Edmond Préteceille, Philippe Robert, et al.

Paru dans la revue Déviance et société, vol. 45, n° 2, 2021, pp. 319-355.

Mots clés : Territoire-Logement, Insécurité, Territoire, Élection, Politique de la ville, Statistiques, Classe sociale, Groupe d'appartenance, Quartier, Milieu urbain, Banlieue, Ile de France

Comment la surexposition de la région parisienne à la victimation et à l’insécurité se décline-t-elle dans la diversité de ses territoires ? Dans le but de répondre à cette question, notre étude consiste à subdiviser la région parisienne en unités territoriales caractérisées par leurs victimations, leur insécurité, leur composition socioprofessionnelle et migratoire et leurs comportements électoraux. Le croisement de ces données produit une typologie qui confronte les différentes combinaisons de la victimation et de l’insécurité à la diversité de la composition sociale et politique des territoires en Île-de-France.

Territoires et insécurité en Île-de-France

Lille-Sud, un quartier au masculin : de la masculinité hégémonique à la marginalisation par le territoire

Article de Michaël Bailleul, Maryse Bresson

Paru dans la revue Agora, n° 80, 2018, pp. 7-23.

Mots clés : Territoire-Logement, Quartier, Banlieue, Territoire, Garçon, Marginalité, Lille

Cet article vise à mettre en évidence comment, dans le quartier de Lille-Sud, les différentes manières d’incarner la masculinité croisent les formes diverses d’occupation et d’usage de l’espace par les jeunes garçons. À partir d’une enquête par entretiens et par observation de longue durée, il montre comment ce quartier s’organise autour d’une conception de masculinité « hégémonique », qui place en haut de sa hiérarchie un modèle basé sur la force et l’occupation visible du territoire par certains garçons. Ce modèle se traduit paradoxalement, pour ces jeunes qui l’incarnent, par leur marginalisation à l’extérieur, et il contribue au stigmate du quartier.