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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Remobiliser avec Dynamo, lieu de vie et d'envies

Article de Sophie Massieu

Paru dans la revue Direction(s), n° 221, juillet-août 2023, pp. 10-12.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Insertion sociale, Jeune en difficulté, Atelier, Art, Financement, Insertion professionnelle, Mission locale pour l'emploi, PJJ, Délinquance juvénile, Prévention de la délinquance, Troyes

Au travers d'ateliers artistiques ou à visée professionnelle, Dynamo aide des jeunes dit invisibles à acquérir savoir-être et savoir-faire pour franchir le premier pas vers une insertion sociale et réaliser leurs rêves. Un dispositif expérimental qui a su convaincre partenaires et financeurs locaux. Mais, il manque une part des fonds pour être pérennisé.

Associations intermédiaires : quel modèle demain ?

Article de Gladys Lepasteur

Paru dans la revue Direction(s), n° 210, juillet-août 2022, pp. 4-6.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Association intermédiaire, Insertion par l'économique, Partenariat, Financement, Subvention, Territoire, Chômeur, Inclusion

Bousculées par la mise en oeuvre de la loi Inclusion, les associations intermédiaires cherchent un second souffle. Figures historiques de l'insertion par l'activité économique, elles revendiquent une place à part et appellent les pouvoirs publics à valoriser leurs spécificités.

Aide à domicile : enfin l'heure du big bang ?

Article de Clémence Dellangnol, Alexandra Garabige

Paru dans la revue Direction(s), n° 191, novembre 2020, pp. 24-31.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Aide à domicile, Dépendance, Personne âgée, Vieillissement, Handicap, SAAD, Management, Financement, Reconnaissance, Usure professionnelle, Coordonnateur, Handicap psychique, Autonomie, Association, Équipe, Conditions de travail

La place centrale des services d'aide et de soin à domicile auprès des personnes fragiles n'est plus à démontrer, d'autant plus avec la crise sanitaire. Financement, missions, attractivité... Ses acteurs sont décidés à remettre à plat son modèle, et défendent une vision ambitieuse de leur activité. Les pouvoirs publics suivront-ils le cap ?

Les services d'aide et d'accompagnement à domicile (Saad) des familles fragiles militent pour une meilleure reconnaissance de leur plus-value. Et font valoir leur rôle dans la prévention de la souffrance psychique et sociale.

Huis clos de l'espace intime, précarité des salariés, sous-représentation des usagers... Si les alertes des acteurs ont aussi peu d'effets, c'est parce que l'intervention à domicile cumule les facteurs d'invisibilité, estime la sociologue Alexandra Garabige. Les services ont tout intérêt à se positionner en coordonnateurs du secteur pour mieux se faire entendre.

En 2013, l'association havraise Côté cours a complété son offre globale comprenant déjà un Samsah et des habitats partagés avec un SADS, afin de faciliter l'autonomie des personnes handicapées psychiques. Ce en s'appuyant sur des professionnels spécialement formés.

En accordant plus d'autonomie aux équipes, l'association Aide à domicile pour tous de Loire-Atlantique (ADT 44) combine amélioration des conditions de travail et augmentation de la productivité. Des évolutions qui se répercutent sur les salaires des intervenants.