PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Le Sociographe (recherches en travail social), n° 47, septembre 2014, pp. 65-68.
Mots clés : Droit, Éthique, Culture, Personne handicapée, Sexualité, Réseau, LA REUNION
Au sein des établissements médico-sociaux, la vie affective génère des questionnements d'ordre social, éthique et juridique au cour des principes d'intégration sociale des personnes. Un réseau d'associations a engagé depuis 2008 une démarche commune pour réaliser des actions concrètes. Après 5 années, si le bilan met en exergue de nombreux éléments positifs, le chemin à parcourir reste encore long.
Paru dans la revue Le Sociographe (recherches en travail social), n° 45, mars 2014, pp. 57-63.
Mots clés : Éthique, Sujet, Subjectivité, Risque, Vie institutionnelle
La prise de risque constitue une démarche éthique articulée à la complexité de la pratique actuelle du travail social. En proposant un questionnement de l'équipe professionnelle, elle s'inscrit dans une démarche cohérente du projet de prise en charge de l'usager. Cet agir institutionnel passe par un décryptage de la pratique et s'articule à l'expérience quotidienne. Le lien entre la prise de risque et la pratique du travail social donne du sens au métier et permet la rencontre dans la subjectivité.
Paru dans la revue Le Sociographe (recherches en travail social), n° 45, mars 2014, pp. 39-48.
Mots clés : Action éducative, Relation éducative, Responsabilité, Éthique
Toute proportions gardées, et sans doute avec un sens moindre du tragique, toute prise de risque met en jeu des éthiques, avec une position subjective, mais qui n'est soutenable qu'articulée à la dimension du collectif, même pour s'y opposer. A condition d'accepter d'en payer le prix, à condition d'en répondre.
Une recherche à partir de l'action sociale sur les jeunes qui ont migré clandestinement présente des difficultés et des risques souvent liés à la position du chercheur qui est aussi travailleur social. Les chercheurs qui se placent dans la perspective académique ou extérieure aux acteurs des parcours migratoires entrevoient difficilement la complexité des parcours, pouvant ainsi tomber dans la victimisation, voire la criminalisation de leurs protagonistes. En même temps, les professionnels de l'action sociale qui travaillent quotidiennement auprès des migrants se retrouvent face à un dilemme : savoir davantage sur ceux qui entrent dans un État de façon clandestine ou éviter de savoir. Cet article analyse les différentes dimensions de l'éthique du travailleur social-chercheur qui étudie une population en situation de clandestinité.
Paru dans la revue Le Sociographe (recherches en travail social), other hors-série, n° 7, pp. 35-50.
Mots clés : Intervention sociale, Épistémologie, Éthique, Recherche clinique
La référence à la clinique est présente dans le champ du travail social, mais, dans la recherche en travail social, la recherche clinique n'occupe pas la place qu'elle mérite. Cet article tente de cerner tout d'abord l'approche clinique dans la pratique en travail social pour engager par la suite une réflexion éthique en lien avec les préoccupations contemporaines.