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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Créer pour durer : les médiations créatives en formation une nécessité

Article de Marie Haloux

Paru dans la revue Le Sociographe, n° 57, mars 2017, pp. XIII-XXV.

Mots clés : Travail social : Formation, Formation, Formateur, Travailleur social, Création, Relation pédagogique, Art, Apprentissage, Expérience, Médiation, Atelier

À propos des médiations créatives, dans un cursus de formation de travailleurs sociaux : quel intérêt existe-t-il à associer une pratique où l’expérience met particulièrement au travail l’imaginaire, des pratiques créatives à des enseignements généraux comme des cours d’économie, de sociologie, de psychologie ? Ces deux approches sont inscrites dans les référentiels de formation, de façon moins explicite, à ce jour, pour l’exploration par l’expérience artistique. Je m’appuierai sur ma pratique de formatrice et un travail porté par un collectif de formateurs. Mon regard, à ce titre, porté par une subjectivité s’inscrit dans une démarche de questionnement.

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Développement social urbain et le travail sur le commun : Le quartier un bien commun des habitants

Article de Martin Becker

Paru dans la revue Le Sociographe, hors-série n° 9, décembre 2016, pp. 117-126.

Mots clés : DSQ, Développement local, Travail social de communauté, Médiation, HISTOIRE, Formation, Travailleur social

Cet ouvrage est un manuel destiné aux étudiants en travail social des pays germanophones (Allemagne, Autriche, Suisse). L’auteur est professeur à la Haute École catholique en travail social de l’Université de Freiburg en Allemagne. Les francophones qui lisent l’allemand y trouveront la présentation et l’analyse critique d’une spécialisation en travail social reconnue dans les mondes anglophones (community organization) et germanophones, mais qui n’a pas d’équivalent en France : Gemeinwesenarbeit, que je traduis par « travail sur le commun », en considérant un quartier comme le bien commun de ses habitants.

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