PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Le Journal des psychologues, n° 389, juillet-août 2021, pp. 51-57.
Mots clés : Enfance-Famille, Violence conjugale, Victime, Enfant, Accompagnement, Thérapie, Famille
Pour lutter contre les violences conjugales, il est fondamental d’accompagner tous les membres de la famille : la personne victime, l’auteur des faits de violence, mais également les enfants, victimes secondaires, tout en prenant en compte différents facteurs. C’est le constat dressé par Catherine Vasselier-Novelli, psychologue praticienne qui exerce à Marseille, dont l’équipe avait imaginé un dispositif pour protéger les victimes de violences conjugales dès 1995.
Article de Ivy Daure, Christophe Brethes, Eurydice Darracq, et al.
Paru dans la revue Le Journal des psychologues, n° 388, juin 2021, pp. 12-50.
Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Deuil, Maladie, Vieillissement, Soins palliatifs, Accompagnement de fin de vie, Nourrisson, Équipe soignante, Famille, Mort, Accompagnement
Sigmund Freud (1917) définit le deuil comme « la réaction à la perte d’une personne aimée ou d’une abstraction mise à sa place, la patrie, la liberté, un idéal, etc. Le deuil remplit une tâche psychique précise : il a la fonction de détacher du mort les souvenirs et les espoirs des survivants ».
Paru dans la revue Le Journal des psychologues, n° 385, mars 2021, pp. 54-58.
Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Détenu, Mort, Accompagnement de fin de vie, Suicide, Maladie, Équipe soignante, Accompagnement
La clinique auprès de personnes incarcérées conduit à prendre en compte des problématiques telles que la maladie, le suicide ou encore la fin de vie, qui ne manquent pas de soulever des questionnements éthiques sur la prévention en milieu carcéral et le droit à finir sa vie dignement entre ces murs. Que viennent réveiller le suicide d’un codétenu ou l’annonce d’un cancer ? À quelles difficultés doivent faire face les équipes soignantes pour mener à bien leur mission ? Ce sont ces vécus singuliers de la mort qui sont ici mis en lumière, rappelant toute l’importance d’un travail de reconnaissance de l’humain.
Par « micro-clinique », il faut comprendre une clinique du « détail », nous explique l’auteure, une pratique que la psychologue stagiaire a initiée au sein d’un IME auprès d’un sujet atteint de TED. Ce procédé vise à ce que la verbalisation des émotions ressenties à travers le contre-transfert du psychologue clinicien amène le sujet à mettre des mots sur ce qu’il vit. Une expérience qui démontre que ce type de clinique peut être un complément dans l’accompagnement de ces patients.
Article de Ivy Daure, Souad Yadini, Delphine Berbinau, et al.
Paru dans la revue Le Journal des psychologues, n° 373, décembre 2019-janvier 2020, pp. 16-54.
Mots clés : Enfance en danger-Protection de l’enfance, Protection de l'enfance, Justice des mineurs, Soin, Famille, Violence, Placement, Institution, Délinquance juvénile, Maltraitance, Accompagnement
Pour les professionnels qui travaillent avec des enfants et des adolescents, il n’est pas rare d’observer que les frontières entre soin, protection et justice sont ténues.
Paru dans la revue Le Journal des psychologues, n° 370, septembre 2019, pp. 59-65.
Mots clés : Travail social : Formation, VAE, Accompagnement, Outil
Tout candidat à la Validation des acquis de l’expérience (VAE) peut bénéficier d’un accompagnement personnel, prenant en compte son expérience professionnelle et son parcours de vie. Cet article vise à partager, sous forme de « boîte à outils », une vision d’ensemble des différents supports que les auteurs mobilisent dans leur pratique en tant que psychologues du travail. Un socle de base sur lequel l’accompagnateur va s’appuyer pour ajuster son approche auprès du candidat.
L'abord psychologique du malade dans son corps est aujourd’hui reconnu comme une nécessité, un gain incontournable pour le malade lui-même, ainsi que pour son entourage.