PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Sortant d'institutions ou de familles ne les prenant plus en charge, de nombreux jeunes en proie à des troubles psychiatriques sévères se retrouvent dans la rue. L'expérimentation "Un chez soi d'abord-jeunes" vise les 18-25 ans atteints de maladies psychiques se trouvant dans cette situation ou risquant de l'être. Le programme combine un accompagnement vers et dans le logement avec un suivi médico-social intense. C'est l’État qui le finance, avec certaines collectivités.
Paru dans la revue La Gazette des communes, n° 37/2583, Semaine du 27 septembre au 3 octobre 2021, pp. 24-26.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé mentale, Conditions de travail, Risques psychosociaux, Usure professionnelle, Burn out, Souffrance psychique, Fonction publique, Collectivité territoriale, Management, Ressources humaines
Intégrée au plan de santé au travail 2021-2022 dans la fonction publique au vu des effets de la crise sanitaire, la prise en compte de la santé mentale est désormais incontournable.
Paru dans la revue La Gazette des communes, n° 21/2567, Semaine du 31 mai au 6 juin 2021, pp. 32-35.
Mots clés : Jeune, Jeune majeur, Jeune en difficulté, Précarité, Crise, Santé, Épidémie, Lien social, Insertion professionnelle, Chômage, Aide alimentaire, Santé mentale, Souffrance psychique, Emploi précaire, Revenu minimum, Politique des revenus, Collectivité territoriale
La disparition des petits jobs et des contrats d'intérim ou l'annulation des stages ont fait basculer une partie des 18-24 ans dans la précarité. Le ralentissement économique a des conséquences délétères sur l'insertion professionnelle et les études. En marge des hospitalisations liées au virus, une autre crise sanitaire se joue. En effet, les jeunes fragilisés se retrouvent en détresse psychique. Une hausse importante des troubles anxiodépressifs est constatée depuis le début de la pandémie. Loin d'être nouveau, le débat sur l'instauration d'un revenu de solidarité pour les majeurs de moins de 25 ans est ravivé par la crise. Collectivités, parlementaires et économistes se révèlent force de proposition, sans toutefois convaincre le gouvernement.
Paru dans la revue La Gazette des communes, n° 21/2567, Semaine du 31 mai au 6 juin 2021, p. 36.
Mots clés : Jeune, Jeune majeur, Jeune en difficulté, Précarité, Souffrance psychique, Santé mentale, Isolement, État dépressif, Anxiété, Psychologue, Psychologie, Écoute, Accès aux soins
Le moral miné par l'isolement et la précarisation de leur situation, de plus en plus de jeunes demandent de l'aide pour tenter de surmonter cette détresse.
Dépression, anxiété : les effets de la crise sanitaire sur la santé mentale de la population se font déjà sentir et la situation pourrait empirer si rien n'est fait pour amortir le choc. Les villes sont les mieux placées pour identifier les populations en souffrance sur leur territoire et mettre en place, avec les acteurs de terrain, des mesures de soutien. L'existence d'un contrat local de santé mentale sur le territoire est une plus-value car les différents acteurs susceptibles d'intervenir se connaissent.