Filleule et nièce d’Hervé Drouard j’ai toujours suivi son parcours, en raison de liens d’affection qui m’attachent particulièrement à lui. Lorsque nous étions enfants, il mettait en pratique ses talents d’animateur avec ses neveux et nièces lors de vacances en Loire Atlantique, dans notre famille. Devenus adolescents, il nous emmenait qui en voyage, qui faire des enquêtes sur les marins en Angleterre. Cet oncle est une sorte de figure tutélaire, un référent pour beaucoup d’entre nous. Mais qui est-il vraiment ? C’est pour répondre à cette question que j’ai entrepris la rédaction de sa biographie que j’ai orientée sur son parcours de chercheur, de promoteur de la recherche en travail social car ce domaine nous est commun à lui et à moi.

Le propos de cette contribution est une réflexion sur les apports de la théorie de la résonnance susceptible d’enrichir le cadre conceptuel comme les pratiques professionnelles dans les interrelations travail social/écologie. Hartmut Rosa, qui se présente lui-même dans la ligné de l’École de Francfort, opère un renouvellement sans précédent dans la pensée sociologique. Son plaidoyer pour une sociologie de la relation au monde, met au centre de ses préoccupations et des sciences humaines et sociales en général la question de l’urgence écologique.

Résumé et commentaire de l'ouvrage de Vincent de Gaulejac et Isabelle Seret (préface de Roland Gori), Paris, édition 2018, Odile Jacob, 277 p.

Je souhaiterais débuter cette réflexion par un hommage à Zygmunt Bauman. Dans mon intervention du 16 janvier 2017, destinée à une promotion d’étudiant(e) s en Master 2 – ESS de l’Université Lyon II, et tout particulièrement dans le cadre de la semaine « santé et exclusion », j’ai eu recours à deux sociologues pour illustrer la contribution spécifique de la sociologie dans l’approche du phénomène de l’exclusion sociale : Z. Bauman et R. Castel.