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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Monsieur B, un partenaire inespéré

Article de Francesca Mosca, Muriel Bonaluque, Agnès Boucris, Nathalie Presme

Paru dans la revue Enfances & psy, n° 81, janvier-mars 2019, pp. 109-121.

Mots clés : Enfance-Famille, Santé mentale-Souffrance psychique, Père, ASE, Juge des enfants, Psychiatrie infantile, Schizophrénie, Mère, Périnatalité

Les situations complexes, en périnatalité, mobilisent souvent de nombreux intervenants qui tentent de collaborer au mieux, malgré des points de vue parfois divergents. À travers l’exposé d’une situation clinique marquée par de troubles psychiatriques graves du côté de la mère, nous verrons comment l’engagement du père, qui n’était pas considéré comme un partenaire fiable au début du suivi, a permis d’infléchir de façon très significative l’évolution de cette famille. Nous souhaitons ainsi mettre en évidence l’importance, pour les différents intervenants, de s’étayer sur les ressources familiales, et celles du père en particulier, pas toujours suffisamment prises en compte, nous semble-t-il.

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Du bon usage des dys

Paru dans la revue Enfances & psy, n° 71, 2016, pp. 4-149.

Mots clés : Enfance-Famille, Ecole-Enseignement, Dyslexie, Dysorthographie, Symptôme, Dyspraxie, Trouble du langage, Approche cognitive, Psychiatrie infantile, Psychomotricité, Mathématiques, Dyscalculie, Scolarité, SESSAD, Dysphasie, Prise en charge, Lecture, Difficulté scolaire, Biographie, Parents

Alors qu’ils sont déjà remplacés par la dénomination « troubles spécifiques des apprentissages », ces dernières années les dys ont fait florès : dyslexie, dysphasie, dyscalculie, dyspraxie, etc. Quelles réalités cliniques, quelles conceptions théoriques se cachent derrière ces vocables qui donnent lieu à une inflation des demandes, à des parcours de soins compliqués et à une lecture souvent réductrice des difficultés constatées ? Tandis que les recherches cognitivistes se développent, peut-on considérer que les approches plus traditionnelles comme la psychanalyse sont obsolètes? Comment pouvons-nous intégrer les apports de la biologie du cerveau et des sciences cognitives sans renier la dimension historique et environnementale, dont nous avons appris à quel point elle était importante dans le développement et le déterminisme ou le renforcement des troubles chez l’enfant ? Allons-nous vers de nouvelles conceptualisations et de nouvelles pratiques ? Ce numéro rend compte de prises en charges diverses : du côté du soin, de la pédagogie, de l’accompagnement des parents et par les parents. Et des découvertes scientifiques et humaines, que permet la rencontre avec un enfant entravé dans ses apprentissages.

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