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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Photolangage : la Roue du temps

Article de Richard Mesplède

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 39, octobre-décembre 2020, pp. 29-30.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Photographie, Communication, Outil, Langage, Maladie d'Alzheimer, Animateur, Cognition, Thérapie, Mémoire, Lien social, Atelier, Personne âgée, Vieillissement

Le photolangage est une méthode de communication utilisée notamment par les psychologues et les formateurs pour délier les langues. Les animateurs peuvent se servir de cet outil pour réunir les résidents autour d'une activité à la fois ludique et cognitive. Cet outil thérapeutique, qui demande peu de moyens et un minimum de préparation, constitue un bon moyen d'évoquer des souvenirs et de s'ouvrir au lien social.

Les jardins du souvenir

Article de Sonia Trinquier

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 33, avril-juin 2019, pp. 17-18.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Jardinage, Thérapie, Animation, Mémoire, Maladie d'Alzheimer, Formation, Association Mosaïque des Hommes et des Jardins

Référente Jardins, Nature et Santé en Occitanie et membre cofondatrice de la jeune Fédération française Jardins, Nature et Santé, l'association Mosaïque des Hommes et des Jardins conçoit, coordonne et anime des jardins à visée thérapeutique. Les établissements font appel à nos services pour former leur personnel soignant, ou bien aménager et rendre fonctionnel leurs espaces verts et terrasses, ou encore animer des ateliers jardins clés en main et adaptés à leurs résidents.

Jardins thérapeutiques : pour quels bénéfices ?

Article de Alexandra Marquet, Maxime Ricard, Jérôme Pellissier, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 33, avril-juin 2019, pp. 10-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Personne âgée, Maladie d'Alzheimer, Jardinage, Thérapie, EHPAD, Lien social, Mémoire, Animation sociale, Dépendance, Association Aid'Aisne

A l'heure où l'été arrive et où les jours rallongent, les espaces verts sont pris d'assaut par les jardiniers. Mais une fois la perte d'autonomie constatée, et la dépendance installée, de nombreuses personnes âgées sont contraintes de cesser de jardiner. Certaines à domicile n'ont plus de potagers ou de massifs de fleurs, qui demandent trop d'entretien, quand d'autres, une fois institutionnalisées, restent cloîtrées entre les murs de l'établissement, assises devant la télé. Et pourtant, depuis quelques années, les soignants misent de plus en plus sur les thérapies non médicamenteuses dont les jardins dits "thérapeutiques" font partie. Plantations, récoltes, fleurs, plantes aromatiques, légumes, fruits, stimulation autour des sens, chemins permettant de travailler la proprioception ; autant d'activités qui sont proposées en extérieur, à l'air libre... loin de la pesanteur ressentie en établissement et du brouhaha du collectif. C'est alors l'occasion de se retrouver dehors pour discuter, se remémorer des souvenirs, partager des techniques et pourquoi pas côtoyer des poules, chats et autres animaux de compagnie. Pour quels résultats ? Le premier indice c'est l'ambiance plus détendue, le bien-être et le plaisir ressentis par tous... des échanges qui se nouent entre résidents, avec les soignants ou encore avec les familles. Ceux qui ont testé constatent une diminution de la fréquence des chutes, des accidents, une amélioration des compétences cognitives, une baisse des troubles du comportement, de l'agitation, un meilleur sommeil et surtout une baisse des prescriptions médicamenteuses. Rompre l'isolement et partager, c'est aussi ce qui manque actuellement aux personnes vivant encore à domicile, mais en perte d'autonomie. (...) Le jardin partagé peut être une solution... mais les services d'aide à domicile sont encore peu nombreux à avoir opté pour ce projet...

Thérapies non médicamenteuses et stratégie individuelle

Article de Alexandra Marquet, Maxime Ricard, Philippe Giafferi, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 32, janvier-mars 2019, pp. 10-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Médicament, Psychotrope, Prescription médicale, Neuroleptique, Antidépresseur, Personne âgée, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Thérapie, Médecine alternative, Bien-être, Autonomie, Soin, Mémoire, Établissement pour personnes âgées, EHPAD

Une absence de traitements curatifs, des médicaments non remboursés depuis quelques mois faute d'une efficacité reconnue par la HAS, des prescriptions médicamenteuses très élevées en termes de benzodiazépine, de neuroleptique, d'antidépresseurs... A l'heure où l'absorption de psychotropes est particulièrement élevée en France et plus particulièrement pour les personnes de plus de 75 ans, les professionnels ne cessent de tirer la sonnette d'alarme : surdose, sous-dosage, polymorbité somatique, interaction médicamenteuse. Le tout dans un contexte de manque d'essais cliniques contrôlés chez les patients très âgés. Et pourtant, au quotidien, de nombreux gériatres découvrent les ordonnances à rallonge au moment de l'institutionnalisation des nouveaux résidents. (...) Conséquence ou pas, au cours des dernières années, l'approche non médicamenteuse a émergé pour gagner de plus en plus d'établissements et de services médico-sociaux. Derrière les thérapies cognitives, fonctionnelles, thymiques, comportementales, se cachent des ateliers réminiscence, des soins Snoezelen, la méditation pleine conscience, la musicothérapie, les jeux, la méthode de validation... Pour quels objectifs ? Atténuer les symptômes, ralentir l'évolution de la maladie, stabiliser l'humeur, préserver l'autonomie ou encore améliorer le bien-être. Mais force est de constater que les études mesurant les effets de ces thérapies ne sont pas légion. Seule l'étude française Etna 3 a permis de mesurer, dès 2012, trois thérapies dans 40 centres auprès de 600 patients. Et contre toute attente, c'est la prise en charge individuelle qui s'est révélée être la plus efficace pour différer la dépendance et l'entrée en institution alors que les chercheurs misaient initialement sur la stimulation cognitive ou encore la thérapie par réminiscence. Or, dans la réalité, c'est l'hétérogénéité dans les ateliers qui est privilégiée... La faute au manque d'effectifs évidemment...

Créer un atelier réminiscence

Article de Philippe Giafferi

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 32, janvier-mars 2019, pp. 23-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Atelier, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Vieillissement, Mémoire, Émotion, Snoezelen

La réminiscence est un retour à la conscience claire de souvenirs, non accompagnés de reconnaissance. Cela semble vague, incomplet, difficile à localiser dans l'esprit de la personne. Elle est ainsi le rappel d'émotions, de sentiments relatifs à notre mémoire autobiographique ou à ce que nous avons vécu et à ce que nous avons ressenti. L'atelier réminiscence détaille les actions à mettre en place pour atteindre les objectifs fixés. Il regroupe plusieurs activités se déroulant sur une période plus ou moins longue ou une animation précise.

Wivy, le compagnon de l'animation en gérontologie

Article de Eugénie Cubit

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 32, janvier-mars 2019, pp. 7-8.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Établissement pour personnes âgées, Animation sociale, Équipe soignante, Mémoire, Jeu, Technologie numérique, Internet, Innovation

Dans la société actuelle, où les nouvelles technologies occupent une place importante, la résidence Le Château de la Source, du groupe DomusVi, à Nogent-l'Artaud, accompagne ses résidents dans l'ère numérique avec la création d'un accès Internet spécifique pour les résidents et pour leurs invités, des séances informatiques et des activités numériques. Avec l'application Wivy, le projet s'est étoffé d'un nouvel outil numérique dédié à l'animation avec un catalogue de jeux variés et la possibilité de créer ses propres jeux.

Schéma corporel : la clef de l'accompagnement

Article de Aude Dagonneau

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 28, janvier-mars 2018, pp. 23-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Dépendance, Psychomotricité, Image du corps, Mémoire, Corps, Malade, Accompagnement

Dans la maladie d'Alzheimer, les mémoires et fonctions qui sont préservées le plus longtemps sont : la mémoire épisodique/émotionnelle, la mémoire procédurale/des mouvements automatisés et la sensorialité. Ces trois éléments sont reliés par le corps de la personne. Ainsi, l'observation de la psychomotricité de la personne malade, façon d'être au monde, d'interagir et d'exister de la personne malade, devient outil d'évaluation, de compréhension et d'accompagnement de cette dernière.

Les jeux de mémoire sur tablette numérique

Article de Liza Bousquet

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 27, octobre-décembre 2017, pp. 27-28.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Culture-Loisirs, Jeu, Technologie numérique, Mémoire, Personne âgée, Dépendance, Vieillissement, Déficience cognitive, Internet, Accompagnement, Stimulation

Le principal intérêt des tablettes tactiles est la possibilité d'accéder à Internet facilement et de façon plus conviviale. L'utilisation des tablettes constitue véritablement un outil clé afin de lutter contre les effets du vieillissement cognitif. Elles permettent une utilisation adaptée sans oublier le plaisir du jeu et une utilisation durable. L'accompagnement des personnes atteintes de troubles cognitifs a des caractéristiques propres et l'emploi de jeux sur tablettes numériques peut être très riche et avec des résultats probants.

La médiation musicale en EHPAD

Article de Charline Vinet

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 26, juillet-septembre 2017, pp. 29-30.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Musique, Personne âgée, Maladie d'Alzheimer, EHPAD, Médiation, Déficience cognitive, Thérapie, Animation, Atelier, Stimulation, Mémoire, Bien-être

Les établissements accueillent désormais un public de plus en plus nombreux présentant des troubles cognitifs, des désorientations ou démences diverses. Pour les accompagner, les thérapies non médicamenteuses, adaptées et individualisées, en lien avec la prise en soin quotidienne sont privilégiées. C'est d'ailleurs le cas de la médiation médicale. Aujourd'hui incontournable, la musique est entrée dans les établissements sous différents formes.

Les saveurs sucrées en secteur protégé

Article de Liza Bousquet

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 24, janvier-mars 2017, pp. 29-30.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Thérapie, Animation, Alimentation, Cuisine, Repas, Stimulation, Mémoire, Émotion, Plaisir, Goût, Goûter, Lien social

La mise en place d'un atelier pâtisserie au sein d'un établissement pour personnes âgées, outre les bonne odeurs qu'il dégage, présente de nombreux intérêts. Il permet de stimuler l'appétit, et participe ainsi à la prévention de la dénutrition, de stimuler la mémoire sensorielle, la mémoire des gestes, canaliser l'attention et la concentration. Au-delà de ces aspects, il contribue également à rompre l'isolement, incite au partage et favorise le bien-être des résidents.