PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Article de Tristan Cudennec, Marie Cécile Bilger, Corinne Chanut, Philippe Baratet al.
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 129, janvier-février 2018, pp. 13-33.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, EHPAD, Personne âgée, Organisation, Conditions de travail, Équipe soignante, Usager, Projet de vie, Alimentation, Malnutrition, Prise en charge, Soin, Famille, Conflit, Pratique professionnelle, Relation soignant-soigné
Article de Robert LAFORE, Thierry DIMBOUR, Michel LAFORCADE, et al.
Paru dans la revue Les Cahiers de l'Actif, n° 444-445, mai-juin 2013, pp. 11-192.
Mots clés : IME, Établissement social et médicosocial, Devenir, Évolution, Usager, Typologie, Prise en charge, Enfant handicapé, Intégration scolaire, Politique sociale, Loi, Jurisprudence, Statistiques, Désinstitutionnalisation, Coordination, Environnement social, Handicap mental, Adolescent, EQUIPEMENT SANITAIRE ET SOCIAL
Dans le cadre des premières rencontres annuelles des Ime, de nombreux professionnels ont été invités à la réflexion. Huit ans après la loi du 11 février 2005, les Ime cherchent leur voie... Ils sont pleins et font face à des difficultés pour organiser le passage de relais concernant les jeunes adultes qu'ils accompagnent. La mise en oeuvre de la loi de 2005 a eu pour effet d'élargir la base de leur recrutement en accueillant de nouveaux publics et d'innover dans leurs pratiques professionnelles. Il nous faut désormais inventer le modèle des Ime du XXIème siècle : les Ime comme "sas intégratif" des enfants "plus" handicapés que les autres ? Les Ime comme "école de l'apprentissage" des jeunes handicapés avant l'entrée sur le marché du travail ? Les Ime, comme structure d'éducation et de soins permettant de préparer l'avenir en lien avec l'école, la cité et les acteurs du parcours de vie ? Sans doute tout cela et plus encore...
Les associations ont pour particularité de reposer sur l'adhésion volontaire de personnes qui forment un collectif avec des visées communes. De ce point de vue, les déterminants et les mécanismes du passage de l'individuel au collectif sont une question cruciale, qui a été jusqu'à présent largement négligée. Cette enquête propose une approche théorique de l'association comme acte, à partir de la notion de bien, courante en économie institutionnelle. L'hypothèse directrice est que les personnes rejoignent une association pour accéder à un bien qu'elles ne sauraient trouver ailleurs, et dont la nature a une incidence sur le statut qu'elles confèrent au collectif. Cette hypothèse est mise à l'épreuve à partir du cas empirique des associations de maladies rares, qui supposent la réunion en un groupe, autour d'objectifs très hétérogènes, d'individus dispersés, peu nombreux et sélectionnés aléatoirement. Cela permet de mettre en évidence quatre motifs d'association et de statut du collectif, correspondant à quatre natures de biens : être consommateur, être efficace, être actif et être ensemble.