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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Mieux repérer et comprendre le TSPT du sujet âgé

Article de Jean Roche, Anne Julie Vaillant Ciszewicz, Olivier Guérin

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 167, mai-juin 2024, pp. 14-18.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Diagnostic, Thérapie, Souffrance psychique, Peur, Traumatisme, Terrorisme, Symptôme, Stress, Psychothérapie, Santé mentale, Définition, Émotion, Déficience cognitive, Recherche, Statistiques, Enquête, Risque, Anxiété, Approche clinique, Psychose, Traitement médical, Étiologie, Antidépresseur, Prise en charge, Aidant

Il existe des particularités du trouble de stress post-traumatique chez les personnes âgées, y compris lorsqu’elles ont des troubles cognitifs. Il est nécessaire d’insister sur l’importance de son repérage précoce pour mieux comprendre les signes spécifiques de ce trouble chez le sujet âgé. Les psychothérapies de type thérapies cognitivo-comportementales et Eye Movement Desensitization and Reprocessing sont explorées pour leur efficacité et adaptabilité auprès des personnes âgées. Le repérage du trouble de stress post-traumatique devrait être une responsabilité partagée pour leur santé mentale.

Les troubles neurocognitifs dans la maladie rénale chronique

Article de Hélène Levassort, Marion Pépin

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 166, mars-avril 2024, pp. 21-26.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Maladie chronique, Maladie, Traitement médical, Déficience cognitive, Évaluation, Examen médical, Diagnostic, Prise en charge, Travail d'équipe, Neurologie, Équipe soignante, Greffe, Dépistage

Les troubles neurocognitifs (TNC) sont fréquents chez les patients atteints de maladie rénale chronique (MRC). Identifier et caractériser précocement ces troubles reste nécessaire afin de proposer une prise en charge adaptée. Dans une maladie chronique telle que la MRC, la collaboration du patient à la prise de décision est un enjeu majeur compte tenu des perspectives de traitement de suppléance : hémodialyse, dialyse péritonéale, greffe rénale ou encore traitement médicamenteux non dialytique. De nombreux facteurs sont associés au développement et à la progression des TNC chez les patients atteints de MRC et diverses conditions peuvent influencer les résultats de l’évaluation cognitive chez ces patients.

Traitements de suppléance de la maladie rénale chronique en gériatrie : dialyse, transplantation et traitement médical sans dialyse

Article de Hélène Levassort, Oana Ailioaie, Marie Essig

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 166, mars-avril 2024, pp. 14-20.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Maladie chronique, Maladie, Pathologie, Gériatrie, Prise en charge, Traitement médical, Soin, Examen médical, Médecine, Définition, Rôle, Fonction, Greffe

La maladie rénale, qu’elle soit aiguë ou chronique, est une affection particulièrement fréquente chez le sujet âgé du fait de ses principaux facteurs de risques dont la prévalence augmente avec l’âge, et d’une plus faible récupération des situations d’atteintes tubulaires aiguë. Le traitement de la défaillance rénale doit être, dans la mesure du possible, anticipé et discuté avec le patient dans le cadre d’une décision médicale partagée. De nombreuses options thérapeutiques restent envisageables pour s’intégrer au maximum dans le projet de vie et de soins du patient : greffe rénale pour les patients les plus robustes, hémodialyse au sein d’une structure de soins ou à domicile, dialyse péritonéale au domicile, ou traitement médical sans dialyse. Le choix de l’un de ces traitements doit laisser libre le patient de pouvoir changer de modalité de prise en charge à tout moment.

La maladie rénale chronique en gériatrie

Article de Hélène Levassort, Oana Ailioaie, Marie Essig

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 166, mars-avril 2024, pp. 8-13.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Anatomie, Fonction, Corps, Santé, Recherche, Rôle, Pathologie, Définition, Maladie chronique, Maladie, Diabète, Gériatrie, Traitement médical, Médecine, Risque, Étude de cas, Prise en charge, Examen médical

La maladie rénale chronique (MRC) concerne près de 10 % de la population mondiale et plus de 30 % des personnes âgées de plus de 70 ans [1, 2]. L’incidence globale de la MRC traitée est stable en France, mais continue d’augmenter fortement chez les personnes âgées de plus de 85 ans [3]. La MRC entraîne, à des stades avancés, de nombreuses complications liées à une perturbation du bilan hydrosodé, du bilan acido-basique, du bilan phosphocalcique, ou encore liées à l’anémie et à une augmentation du risque cardiovasculaire. z Une meilleure connaissance des facteurs de risque, une amélioration des pratiques visant à promouvoir la néphroprotection ainsi que la réalisation de progrès dans l’éducation thérapeutique et la préparation vers les techniques de suppléance permettraient de réduire ce risque.

Interventions non médicamenteuses

Article de Tristan Cudennec, Véronique Guichardet, Laura Lantermino, Bérengère Maeker Poquetet al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 164, novembre-décembre 2023, pp. 9-35.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Personne âgée, Santé, Gériatrie, Médecine alternative, Médicament, Traitement médical, Lecture, Stimulation, Mémoire, Trouble du comportement, Prise en charge, Approche cognitive, Recherche, Évaluation, Analyse comparative, Art-thérapie, Aidant, Suivi médical

Souvent légitime, le médicament est avant tout une chance, y compris pour la personne âgée. Son premier déterminant dans cette population est la polypathologie. Mais la polymédication va favoriser le risque d’iatrogénie et renforcer la possibilité de survenue d’effets indésirables et de mauvaise observance thérapeutique. En gériatrie, la prescription médicamenteuse doit respecter certaines règles : le médicament utilisé doit avoir démontré son efficacité, et il convient de ne pas utiliser de médicaments dont les risques sont plus importants que les bénéfices attendus. Cependant, il existe de très nombreuses alternatives non médicamenteuses permettant d’optimiser le soin auprès de personnes âgées, notamment lorsqu’il existe des troubles neurocognitifs.
En 2011, la Haute Autorité de santé a proposé un rapport traitant du développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées. Ce dernier abordait plusieurs problématiques limitant le développement de telles pratiques : un mode de financement des soins peu incitatif, des médecins et des patients mal informés sur ces thérapeutiques et sur leurs modalités de recours, ainsi qu’un manque d’adhésion à leurs recommandations ou encore un impact des inégalités socio-économiques sur le suivi de ces thérapeutiques.
Aujourd’hui, les interventions non médicamenteuses, qu’il s’agisse de prévention ou de stratégies non pharmacologiques d’optimisation du soin, sont devenues des modalités reconnues dans la prise en charge des patients, notamment lorsqu’il existe des troubles neurocognitifs et des troubles du comportement associés. Ils seront adaptés aux capacités de communication de la personne, ainsi qu’à son état émotionnel. Ils font désormais partie intégrante du parcours de soins !

Etude des liens entre diabète de type 2 et critères gériatriques

Article de Abrar Ahmad Zulfiqar, Ibrahima Amadou Dembélé, Amadou Nouroudine, Emmanuel Andrès

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 163, septembre-octobre 2023, pp. 43-45.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Médicament, Traitement médical, Prescription médicale, Santé, Soin, Prise en charge, Pathologie, Gériatrie, Diabète, Vulnérabilité, Recherche, Étude de cas, Évaluation, Épidémie, Statistiques, Analyse multivariée, Méthodologie

Le diabète de type 2 chez le sujet âgé reste une préoccupation majeure pour l’ensemble des professionnels de santé, étant elle-même considérée comme une réelle “pandémie” mondiale. Sa prévalence est élevée et continuera à s’accroître dans les années à venir, devenant prégnante chez le sujet âgé et très âgé. Nous proposons une synthèse générale sur les travaux se focalisant sur les liens entre diabète de type 2 et les critères gériatriques.

L'enseignement bidirectionnel auprès des personnes âgées dans le contexte de l'insuffisance cardiaque

Article de Judith Makana, Viola Polomeno

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 163, septembre-octobre 2023, pp. 36-42.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Médicament, Traitement médical, Prescription médicale, Santé, Soin, Prise en charge, Pathologie, Maladie cardiovasculaire, Hospitalisation, Outil, Test, Automédication, Gérontologie, Réseau, Espérance de vie, Définition, Risque, Formation, Savoir, Compétence, Équipe soignante, Concept, Canada

Au Canada, l’insuffisance cardiaque (IC) représente la deuxième cause d’hospitalisation chez les personnes âgées. L’IC pourrait être améliorée par l’approche d’enseignement bidirectionnel (teach-back). La littérature française ne compte aucun article décrivant cette approche éducative, surtout dans le contexte des personnes âgées qui vivent avec l’IC. Le but de cet article est d’outiller les professionnels de la santé incluant le personnel infirmier francophone sur cette approche avec une composante spécifique aux autosoins de l’IC.

Les psychotropes chez les personnes âgées

Article de Philippe Thomas

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 163, septembre-octobre 2023, pp. 27-29.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Médicament, Traitement médical, Prescription médicale, Santé, Soin, Prise en charge, Pathologie, Psychotrope, Consommation médicale, Risque, Évaluation, Besoin, Suivi médical

La consommation de psychotropes chez les personnes âgées est fréquente et peut être problématique en raison des risques associés à leur utilisation inappropriée et à leurs effets indésirables. Il est essentiel d’adopter une approche prudente et individualisée dans la prescription de psychotropes, en évaluant régulièrement leur efficacité et en considérant d’autres approches non médicamenteuses lorsque cela est possible. La collaboration entre les professionnels de la santé et les patients peut contribuer à une utilisation plus appropriée de ces médicaments chez les personnes âgées.

Les bonnes pratiques médicamenteuses en cas d'épilepsie de la personne âgée

Article de Vincent Dauny, Alix Minaud, Marc Verny

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 163, septembre-octobre 2023, pp. 19-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Médicament, Traitement médical, Prescription médicale, Santé, Soin, Prise en charge, Pathologie, Épilepsie, Diagnostic, Évaluation, Risque, Mortalité, Vulnérabilité, Gériatrie, Suivi médical

L’épilepsie est une maladie fréquente chez la personne âgée. La démarche diagnostique doit être précise et systématique. L’instauration d’un traitement doit être évaluée en fonction du risque épileptique et des comorbidités. Plusieurs traitements existent mais il n’y a aucune solution miracle. La surveillance du patient épileptique et de la tolérance des traitements doit être régulière. L’efficacité des traitements proposés est bonne en règle générale.

Les règles de bonne pratique chez le sujet âgé

Article de Lucie Aubert

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 163, septembre-octobre 2023, pp. 13-18.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Médicament, Traitement médical, Prescription médicale, Santé, Soin, Épidémiologie, Prise en charge, Pathologie, Vulnérabilité, Neurologie, Déficience cognitive

Le traitement des maladies infectieuses en gériatrie est un sujet complexe. Le diagnostic est souvent difficile à poser, de même que la bonne indication à l’antibiothérapie. Afin de lutter contre l’antibiorésistance, il convient de limiter les prescriptions d’antibiotiques inutiles et de prévenir la survenue d’infections bactériennes au moyen, notamment, de la vaccination.