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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Ressentis et stratégies d'adaptation des soignants en Ehpad

Article de Lauriane Saliege, Sylvie Bonin Guillaume

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 142, mars-avril 2020, pp. 18-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Adaptation, Déficience cognitive, EHPAD, Enquête, Gérontologie, Méthodologie, Perception, Personne âgée, Pratique professionnelle, Qualité, Recherche, Relation soignant-soigné, Représentation sociale, Soin, Soins corporels, Statistiques, Trouble du comportement, Vieillissement, Belgique

Le nombre croissant de résidents atteints de maladies neurocognitives en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes rend complexe la prise en soins. Les troubles du comportement, inhérents à ces pathologies, sont à l’origine de nombreux ressentis chez les soignants pouvant influencer les comportements de soins.

Négocier sa place de chercheur dans une "approche collaborative" : entre exigences scientifiques et attentes professionnelles

Article de Naoual Boumedian

Paru dans la revue Sociétés et jeunesses en difficulté, n° 16, printemps 2016.

Mots clés : Action sociale : histoire et perspectives, AEMO, Enseignement secondaire, Bien-être, Travailleur social, Recherche, Chercheur, Méthodologie, Pratique professionnelle, Compétence, Recherche-action, Coopération, Belgique

Cet article présente les étapes qui ont émaillé la constitution d'un « espace collaboratif » entre, d'une part, des chercheurs et, d'autre part, des professionnels impliqués dans le milieu de l'Aide à la jeunesse en Belgique. Le contexte est celui d'une recherche-action commanditée par ces professionnels auprès d'un opérateur de recherche, qualifié par eux de « scientifique » (c'est-à-dire relevant de la « sphère académique »). L'article mettra en avant les étapes (voire les « outils ») méthodologiques et épistémologiques qui ont permis aux professionnels susmentionnés de s'impliquer dans la démarche de recherche. Simultanément, l'article mettra en avant les garde-fous que nous, en tant que chercheurs, avons défendus pour « faire science ». L’article propose de réfléchir, à partir de cette expérience, aux conditions qui rendent possibles les « espaces collaboratifs » entre chercheurs et professionnels impliqués autour d'un même objet de réflexion.
L'objet de la recherche a porté sur le « bien-être » des élèves à l'école (niveau secondaire, c'est-à-dire après l'école primaire et avant le niveau supérieur). L'objectif de la recherche tel qu'énoncé au départ par les commanditaires a visé à l'élaboration d'un « guide » des « bonnes pratiques » en matière de « bien-être » à l'école. Nous expliciterons comment l'« espace collaboratif » a permis de réorienter cet objet initial, tout en inscrivant des effets sur le monde social (dimension « performative » des « recherches collaboratives »). Dans cette perspective, nous aborderons également la question des limites rencontrées dans l'« espace collaboratif » et des conditions pour, peut-être, les dépasser à l'intérieur même de cet espace.

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