Article de Marie Jean Sauret
Paru dans la revue Empan, n° 113, mars 2019, pp. 67-73.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychanalyse, Symptôme, Sujet, Savoir, Langage, Cure analytique, Psychose infantile, Famille
Pour singulier que soit le cas, nous ne sommes pas dispensés de veiller à la « direction du traitement ». Seulement, dans la clinique psychanalytique, le savoir se confond avec le cas justement… Et cette fois, nous ne sommes pas dispensés d’en rendre compte, ni de tirer les conséquences de notre acte… Quid de notre contemporain suggestionné par la logique de la globalisation ?
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Article de Pascale Ambroise, Louis Ruiz
Paru dans la revue Empan, n° 113, mars 2019, pp. 34-44.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Autisme, Psychothérapie, Psychose infantile, Prise en charge, Dépistage, Diagnostic, Nourrisson, Transfert, Psychanalyse, Relation enfant-mère, Séparation
Le dépistage précoce des bébés à risque autistique pose la question de la complexité du diagnostic et du risque de déterminisme de l’évolution.
À travers la psychothérapie de Lilian, bébé de 20 mois avec des signes d’alerte autistique avec ses parents, nous décrirons les symptômes, les défenses avec l’intrication et la succession d’éléments autistiques et psychotiques et le processus transférentiel à partir de la construction du moi corporel.
L’évolution favorable de Lilian témoigne de la pertinence de la prise en charge précoce dans une vision psychodynamique et développementale.
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Article de Anne Cécile Mezel Reichman, Caroline Nahon, Carlos Pacheco, et al.
Paru dans la revue La Psychiatrie de l'enfant, vol. LXI, n° 1/2018, janvier-juin 2018, pp. 67-88.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychose infantile, Psychodrame, Psychanalyse, Identification, Projection, Contre-transfert
C’est autour de la souffrance psychotique d’un enfant traité pendant plusieurs années par le psychodrame psychanalytique individuel qu’une équipe, composée d’un meneur de jeu et de plusieurs acteurs cothérapeutes, s’est réunie pour penser l’intérêt majeur que constitue ce dispositif thérapeutique pour ce type de patients. En effet, ce dispositif paraît des plus approprié face à la massivité et la nature de l’angoisse, la destructivité et l’intensité de l’ensemble des mécanismes de défense propres au fonctionnement psychotique. Le psychodrame, en mobilisant plusieurs psychothérapeutes autour du même patient à des places différentes et avec des temps successifs au cours d’une même séance, permet une fragmentation des transferts massifs dans la séance et assure une possibilité unique d’élaboration commune d’un même patient par l’ensemble de l’équipe. Ce travail commun, à partir des réflexions et de l’élaboration des mouvements de contre-attitude et contre-transférentiels de chacun, permet que se tisse un véritable appareil à penser les pensées que le patient puisse introjecter et, ainsi, d’optimiser le processus thérapeutique. Cet article, par la voix donnée à chacun des intervenants de l’équipe, illustre cette hypothèse.
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Article de Annie Birraux, Patrick Alecian, Jean Monod, et al.
Paru dans la revue Revue de l'enfance et de l'adolescence, n° 92, décembre 2015, pp. 11-211.
Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychiatrie infantile, Psychose infantile, TED, Autisme, Schizophrénie, Hyperactivité, Manie, Infanticide, Symbole, Adolescent, Jeune en difficulté, Exclusion sociale, MECS, Ludothérapie, Thérapie, Psychanalyse, Éducateur de rue, CMP, Estime de soi, Insertion professionnelle, Médicament, Apprentissage, Mesure éducative, MDPH, Identité sexuelle, Maternité, Toxicomanie, Genre, France, Brésil
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