PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Paru dans la revue Psychotropes, vol. 24, n° 1, 2018, pp. 9-14.
Mots clés : Toxicomanie-Addictions, Trafic de drogue, Argent, Jeune, Prévention
Loin des présupposés qui entourent le trafic de drogues (argent facile, belles voitures…), la recherche en sciences sociales dresse un tableau peu reluisant de la vie des trafiquants : bas revenus et risques élevés… Autant de leviers de prévention possibles pour des acteurs de terrain confrontés à l’attraction qu’exercent les réseaux sur les jeunes.
Article de Bernard Guzniczak, Yaëlle Amsellem Mainguy, Marie Dumollard, et al.
Paru dans la revue Les Cahiers dynamiques, n° 70, juin 2017, pp. 4-133.
Mots clés : Santé-Santé publique, Santé, Jeune, Prévention, Accès aux soins, Risques psychosociaux, Sexualité, Mineur
Depuis le numéro 44 de la revue, « Prendre soin » (2009), la circulaire, relative aux politiques publiques publiée en 2010 et la Loi HPST du 21 juillet 2009 ont eu une incidence majeure sur le sujet. Tout d’abord, les différents partenaires de la santé ont développé des soutiens pour permettre aux mineurs en difficulté de prendre soin de leur « capital santé ». Mais au-delà, la thématique de la santé n’apparaît plus réservée aux spécialistes, elle interpelle tout le monde à travers notamment les risques psychosociaux, le bien-être, la souffrance des jeunes et des professionnels.
Dans cet article, il s’agit de s’interroger sur une nouvelle forme de cybercrime : l’humiliation sur Internet. Définie comme l’atteinte à la dignité de la personne par l’image, celle-ci tend à toucher toutes les tranches de la population. Or, si la cyberhumiliation présente les mêmes caractéristiques que l’humiliation traditionnelle, Internet semble y ajouter de nouveaux éléments et notamment l’impossibilité de répondre à l’affront. À partir d’un terrain effectué avec des jeunes adultes, il s’agit ici de cerner les visions liées à l’humiliation numérique et d’identifier les moyens employés par les individus en vue de se protéger d’une telle déviance. Nous verrons que l’émergence de ces stratégies individuelles n’est en fait que la conséquence de l’inefficacité des moyens préconisés par les autorités en vue d’éradiquer cette cyberdélinquance.
Dans cet article, nous commentons les résultats d’une enquête menée dans le
cadre du projet Stresaviora. Ce projet a été mis en œuvre pour offrir un coup de pouce à des jeunes vulnérables, de sorte qu’ils soient de taille à lutter contre la radicalisation violente. Il présente trois approches pertinentes, permettant d’observer la radicalisation depuis un point de vue renouvelé. De plus, il analyse des pratiques prometteuses évaluées (inter) nationalement pour empêcher la radicalisation. Enfin, le projet a permis de faire des recommandations concrètes qui ont contribué au développement des outils de résilience Bounce pour les jeunes, leur environnement social et les acteurs de terrain. Il ressort des résultats de cette enquête que la méthode doit être intégrale et intégrée et doit se concentrer sur l’approche positive des jeunes, dans laquelle les motivations positives qui jouent un rôle dans leur vie doivent être utilisées et augmentées.
Paru dans la revue Service social, vol. 38, n° 1, 101 p..
Mots clés : Sida, Psychosociologie, Travail social de groupe, Travail social de communauté, Prévention, Intervention sociale, Intervention psychosociologique, Enfant, Jeune, Théâtre, Adolescent, Formation, Travailleur social, RESEAU D'AIDE, QUEBEC, CANADA