Rechercher un article, un ouvrage, une thèse

PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 1 à 2 sur un total de 2

Votre recherche : *

L’annonce du handicap en service de maternité

Article de Marie Boulenger

Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 347, mai 2021, pp. 17-18.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Handicap, Enfant handicapé, Annonce du handicap, Nourrisson, Accompagnement, Puéricultrice, Maternité, Enfant idéal, Attachement, Relation enfant-parents, Parentalité

À la suite de l’annonce du handicap de leur nouveau-né, les parents sont confrontés au deuil de l’enfant idéal ; démarre alors le processus d’acceptation. Par le biais de la relation, la puéricultrice du service de maternité les accompagne dans cette démarche. Un lien d’attachement “sécure” parents-enfant peut alors se mettre en place, favorisant le futur développement des compétences de l’enfant.

Handicap et famille : la tyrannie de la norme n’est pas une fatalité

Article de Sabine Chatroussat, Régine Scelles

Paru dans la revue Dialogue, n° 228, 2e trimestre 2020, pp. 161-180.

Mots clés : Handicap-Situations de handicap, Norme sociale, Parents, Stigmatisation, Soutien à la parentalité, Accompagnement, Autorité parentale, Handicap mental, Parentalité

À partir d’une pratique clinique et de recherche, cet article traite de la parentalité dans le cas où le père et/ou la mère présentent une déficience cognitive. Il souligne que cette parentalité est négativement impactée par le regard social stigmatisant, des réseaux sociaux souvent retreints et des modalités d’accompagnement dont les normes sont peu compréhensibles et lisibles pour les parents. Face à cela, l’article propose : 1) de développer un travail conjoint entre normes des professionnels et normes des parents ; 2) d’ouvrir davantage sur des situations de coparentalité ; 3) de favoriser les échanges entre parents ayant une déficience cognitive et avec eux le développement du partage d’expériences. Le partage d’émotions, d’affects, de rêves et de cauchemars devant commencer dès l’enfance.

Accès à la version en ligne