Article de Sarah Granereau
Paru dans la revue Empan, n° 105, mars 2017, pp. 126-130.
Mots clés : Lien social-Précarité, Précarité, Pauvreté, Travail, Travailleur social, Pratique professionnelle
On constate en France et en Europe une augmentation du salariat précaire. Les travailleurs sociaux rencontrent ces personnes mais ne savent pas précisément ce que cette acception recouvre. Les situations sont diverses et les problématiques associées complexifient la prise en charge. Mieux connaître ce phénomène protéiforme semble nécessaire pour les travailleurs sociaux qui ont à accompagner les personnes.
Accès à la version en ligne
Article de Catherine Alcouloumbré
Paru dans la revue Empan, n° 101, mars 2016, pp. 112-118.
Mots clés : Lien social-Précarité, Santé mentale-Souffrance psychique, Errance, Rupture, Psychanalyse, Temps, Corps, Précarité
Psychiatrie hors les murs auprès des plus démunis et création d’un centre indépendant, le capsy, lieu clinique d’écoute et d’accompagnement psychanalytique auprès de jeunes adultes en grande précarité, errances, ruptures, non-droit, non-lieux. Comment « adapter notre technique à ces conditions nouvelles » (Freud) ?
Une approche à travers mécanismes de défense et modalités de négation, clinique du déplacement, effets de distorsions du temps et de l’espace, dimension négative, corps déshabités, états de pseudo-psychose, clivages extrêmes du moi et les modes de subjectivation qui en sont produits.
Accès à la version en ligne
Article de Anne Barreda, Lucie Bonneviale, Anne Radigales
Paru dans la revue Empan, n° 99, septembre 2015, pp. 140-145.
Mots clés : Lien social-Précarité, Souffrance psychique, Précarité, Accompagnement, Socialisation, Intimité, Errance, Habitat, Environnement, Citoyenneté, Hébergement
Les maisons relais constituent une offre alternative d’habitat durable pour un accompagnement, sans limite dans le temps, de personnes marquées par la précarité, quels qu’en soient les déterminants. Ce texte offre, à travers l’expérience de structures toulousaines, une réflexion sur les possibilités et les limites de tels lieux, entre travail individuel d’accompagnement et collectif de socialisation, dans des espaces et des temps dédiés où les personnes peuvent parfois redécouvrir une intimité, un « chez soi » à travers la réappropriation d’un lieu à habiter.
Accès à la version en ligne