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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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La plus-value de l’infirmière puéricultrice en maternité

Article de Madeleine Collombier, Catherine Poissonnier

Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 349, août-septembre 2021, pp. 28-37.

Mots clés : Santé-Santé publique, Enfance-Famille, Puéricultrice, Maternité, Nourrisson, Consultation médicale, Autonomie, Auxiliaire de puériculture, Éducation à la santé, Bébé secoué, Soutien à la parentalité, Allaitement, Pédiatrie, Sage-femme

Le passage de la situation d’attente et de projections théoriques au face-à-face avec l’enfant au moment de la naissance, nécessite un accompagnement pour réussir, en peu de temps, la transmission d’informations et de savoir-faire aux parents. Un échange avec une infirmière puéricultrice, exerçant depuis plusieurs années dans un service de maternité en région parisienne, apporte un éclairage sur la spécificité de son rôle pour une prise en soins de qualité du nouveau-né.

Douleur chronique : de la pédiatrie à la pédopsychiatrie

Article de Nicolas Girardon, Lisa Ouss, Sophie Dugué, et al.

Paru dans la revue Perspectives psy, vol. 60, n° 2, avril-juin 2021, pp. 144-185.

Mots clés : Santé-Santé publique, Pédiatrie, Souffrance, Adolescent, Enfant malade, Prise en charge, Durée

Dossier composé de 4 articles :
- Les douleurs chroniques en pédiatrie : qu'en savons-nous ? Quel parcours de soins en France ?
- L'expérience d'un centre de la douleur chronique de l'enfant et de l'adolescent
- Ces douleurs qui insistent à l'adolescence : l’hospitalisation en Soins / Études peut elle être une réponse ?
L'expérience du service de médecine interne pour adolescents à la Clinique FSEF Paris 16e
- Des douleurs drépanocytaires aux douleurs chroniques à l'adolescence

Education familiale et maladie : circulation des savoirs, coordination et pratique de soins

Article de Nicoletta Diasio, Louis Mathiot, Anne Pellissier Fall, et al.

Paru dans la revue La Revue internationale de l'éducation familiale, n° 48, 2020/2, pp. 13-157.

Mots clés : Santé-Santé publique, Maladie, Prise en charge, Famille, Relation familiale, Relation enfant-mère, Soin, Aidant familial, Médecin, Maladie chronique, Enfant, Adolescent, Hôpital, Pédiatrie, Cancer, Éthique, Gens du voyage

Ce numéro thématique entre au cœur de l’espace domestique, il explore la maladie et sa prise en charge à travers les savoirs et les pratiques familiales, ainsi que les multiples interactions entre la parentèle et les acteurs de la santé. Les situations ici étudiées montrent que les professionnels appartiennent à différents secteurs, qu’il soit hospitalier, celui de l’exercice libéral ou encore des champs du social ou de l’humanitaire.

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Devenir adulte avec une maladie chronique : les différents niveaux de transition

Article de Ingrid Banovic, Teresa Rebelo, Didier Drieu

Paru dans la revue Dialogue, n° 220, juin 2018, pp. 111-121.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Santé-Santé publique, Maladie chronique, Pédiatrie, Adolescent, Famille, Relation soignant-soigné, Soin, Relation d'aide, Relation familiale

La transition pour le jeune atteint de maladie chronique vient s’inscrire dans un processus adolescent et de renégociation des places intrafamiliales et modes d’alliances. À partir d’un cas clinique, les enjeux de la transition sont d’abord décrits dans leur inscription dans le processus de fin d’adolescence. Les dimensions relationnelles aussi bien avec l’équipe de soin qu’avec la famille sont ensuite abordées via les changements dans la place et le rôle de chacun et dans les difficultés rencontrées. Apparaît en conclusion l’importance de définir et d’articuler clairement les objectifs et enjeux de la transition dans une perspective centrée sur l’individu et son environnement soignant, psychosocial et affectif afin d’en apporter une modélisation conceptuelle et opérationnelle.

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La relation dans les soins

Article de Emilie Courtois, Aurélie Dubrulle, Pascale Wanquet Thibault, et al.

Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 315, mars 2018, pp. 11-35.

Mots clés : Santé-Santé publique, Relation soignant-soigné, Pédiatrie, Enfant malade, Attachement, Distance, Hospitalisation, Soin, Relation enfant-parents, Maladie chronique, Puéricultrice, Souffrance, Évaluation, Partenariat, Parentalité, Sophrologie, Adolescent, Vulnérabilité, Estime de soi, Stress, Corps

Il est désormais communément accepté que le soin infirmier ne peut se dissocier du soin relationnel. Cette notion de relation est d'autant plus importante en pédiatrie qu'elle intègre des acteurs supplémentaires : les parents. Nous assistons donc à une triade "enfant-parent-soignant" que la puéricultrice doit en permanence questionner pour trouver la bonne distance relationnelle avec l'enfant. La place des parents est également un élément clé dans le soin. Être à leur écoute, prendre en compte leur ressenti permet de mieux évaluer le projet de soins au sein de leur projet de vie. malgré ces points de vigilance, il se peut que la relation dans le soin soit difficile. La sophrologie-réflexologie ou encore la respiration physiologique profonde sont des exemples de techniques facilitant la relation.

Les greffes de rein et de moelle osseuse

Article de Corinne Deparis, Emilie Courtois, Anne Maisin, et al.

Paru dans la revue Cahiers de la puéricultrice, n° 314, février 2018, pp. 11-36.

Mots clés : Santé-Santé publique, Greffe, Épidémiologie, Enfant malade, Pédiatrie, Don d'organe, Accompagnement, Psychologie, Équipe pluridisciplinaire, Culpabilité, Mort

En 1947, le Dr David Hume tentait la première transplantation rénale à Boston sur une femme en insuffisance rénale aigüe. Cette greffe avait permis à la patiente de reprendre une diurèse correcte. De nos jours, les greffes proviennent de donneurs décédés ou vivants. Leur nombre reste toutefois encore trop faible, d'où les multiples campagnes sur le don d'organes. En effet, en 2016, en France, selon les données de l'Agence de la biomédecine, 258 enfants et adolescents étaient inscrits sur liste d'attente. Le greffe pédiatrique reste cependant très spécifique. Dans ce long chemin qu'est une greffe, depuis l'annonce du diagnostic de la maladie jusqu'au suivi post-transplantation du jeune patient, l'accompagnement psychologique est essentiel et concerne l'ensemble des protagonistes, que cela soit côtés donneurs ou receveurs.

Accompagnement de l’enfant malade en fin de vie et soutien de sa famille en réanimation pédiatrique en France

Article de P. Hubert

Paru dans la revue Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence, vol. 64, n° 5, septembre 2016, pp. 331-336.

Mots clés : Santé-Santé publique, Enfance-Famille, Enfant, Fin de vie, Accompagnement de fin de vie, Famille, Pédiatrie, Maladie, Soins palliatifs

L’auteur présente un panorama de l’évolution des réflexions et des pratiques au sein des unités de réanimation pédiatrique à la fois par rapport aux limitations et arrêts des traitements (LAT) et à la place des parents dans ces décisions. Les recommandations professionnelles et les exigences légales y ont très vraisemblablement contribué, mais il convient de ne pas sous-estimer l’importance de la réflexion éthique menée par de nombreuses équipes soignantes de réanimation pédiatrique et néonatale, qui ont su s’enrichir de la contribution de parents, de pédopsychiatres et de professionnels de soins palliatifs. Partant de l’idée que cette décision était trop lourde pour les familles, et qu’il fallait leur éviter d’y être associé pour les protéger, on en est aujourd’hui à l’information et au recueil de l’assentiment ou de la non-opposition des parents de l’enfant malade vis-à-vis d’une LAT. C’est une exigence morale et légale non contestée, même si la législation française a statué que la décision de LAT revenait in fine au médecin. L’attitude recommandée envers les parents s’écarte de toute approche systématique pour privilégier une approche personnalisée, leur laissant le libre choix de leur niveau d’implication vis-à-vis de la décision de l’équipe soignante. Cela se traduit aussi par la présence possible des parents auprès de leur enfant, le respect d’un délai « suffisamment long » (de l’ordre de 24 à 48 heures) entre le moment où l’équipe soignante décide collégialement, avec l’accord des parents, de ne pas poursuivre un traitement, et le moment de son arrêt effectif. Cette attitude suppose une grande cohésion d’équipe où infirmiers et médecins sont ensemble auprès des familles et des enfants, ce qui nécessite aussi que les équipes confrontées à des décisions aussi difficiles puissent être aidées.