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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Les Super-héros en thérapie

Article de Xanthie Vlachopoulo, Carine Beulard, Florian Houssier, Emmanuel Pasquieret al.

Paru dans la revue Enfances & psy, n° 91, 2021, pp. 9-149.

Mots clés : Courants de pensée en sciences humaines, Enfant, Adolescent, Personnage, Culture, Cinéma, Jeu vidéo, Sociologie, Anthropologie, Mythe, Christianisme, Idéal du moi

Durant ces deux dernières décennies, les super-héros ont conquis petits et grands et sont désormais partout, dans les familles, les cours de récréation et les bureaux de consultation. On ne compte plus les adeptes de ces récits extraordinaires mettant en scène des héros aux pouvoirs surnaturels, capables de sauver les plus faibles ou d’empêcher la destruction de la planète. À leurs côtés, les super-vilains ne sont pas en reste et sont eux aussi plébiscités par le public.
Les auteurs de ce numéro interrogent cet engouement pour l’exception que représentent les supers- : dans quelles traditions s’inscrivent-ils (mythologies, religions du livre, récits eschatologiques…) ? Pourquoi font-ils tant rêver ? Que viennent-ils révéler de nos idéaux, de nos symptômes et de nos désirs ? Comment, enfin, peut-on y trouver des supports pour penser la clinique auprès de l’enfant et de l’adolescent, et mobiliser des ressources thérapeutiques ?

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L’envers de la fascination : image et négatif à l’adolescence

Article de Emmanuelle Caule

Paru dans la revue Empan, n° 119, septembre 2020, pp. 50-57.

Mots clés : Courants de pensée en sciences humaines, Image, Adolescent, Phobie, Traumatisme, Dessin, Corps, Puberté, Cinéma

À partir d’un cas clinique, l’auteur aborde la question de l’image à l’adolescence sous l’angle du négatif, c’est-à-dire telle qu’elle suscite inquiétante étrangeté, phobie et réactivation traumatique. Ce « refus » de l’image, figure inversée de l’addiction, met en lumière un vide mélancoliforme et la porosité des limites qui lui est inhérente. Il révèle aussi l’intensité de la lutte contre le pulsionnel pubertaire et la difficulté du lâcher-prise qui en résulte.

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