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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Des droits pour les jeunes

Article de Jean Zermatten, Perrine Cheval, Nadia Beddiar, et al.

Paru dans la revue Les Cahiers dynamiques, n° 69, mars 2017, pp. 4-126.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Jeune, Droit, Droits de l'enfant, Protection de l'enfance, HISTORIQUE, Liberté d'expression, Parole, Participation

Un cadre légal très clair, des organisations dédiées, des conventions et normes internationales et nationales spécifiques. Et pourtant aujourd’hui, en France, les droits de l’enfant ne sont pas toujours complètement pris en compte. De nombreux abus sont même relevés et tout se passe parfois comme si l’enfant, sous « main de justice », perdait certains droits élémentaires. Des petits droits pour de petites personnes ? Ce numéro est consacré au respect des droits, de l’intérêt supérieur de l’enfant, et pose également la question de la parole du jeune, des voies de recours qu’il peut utiliser, de la formation dispensée aux professionnels de la PJJ et plus largement du travail social.

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"J'ai le droit" : jusqu'où vont les droits de l'enfant ?

Article de Jacques Trémintin

Paru dans la revue Le Journal de l'animation, n° 172, octobre 2016, pp. 20-31.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Droits de l'enfant, Enfant maltraité, Pédagogie, Citoyenneté, Protection de l'enfance, Sanction, Châtiment corporel, Liberté d'expression, Enfance en danger

Les droits de l'enfant font depuis toujours polémiques. Aux plaidoyers portant sur la maltraitance parfois, l'arbitraire souvent et la domination fréquemment imposés par le monde des adultes sur les jeunes générations, ont répondu des discours sur la dictature de l'enfant-roi et la nécessité de lui parler surtout de ses devoirs avant d'évoquer ses droits.

La Convention internationale des droits de l'enfant, votée à l'unanimité le 20 novembre 1989 par l'assemblée générale des Nations unies et ratifiée à la quasi unanimité des nations du monde, n'a pas clos la controverse. Il reste encore du chemin à parcourir et beaucoup de pédagogie à déployer pour défendre la citoyenneté du petit d'homme et faire respecter ses droits apparaissant comme légitimes pour les uns, mais tyranniques pour d'autres.