PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Depuis fin 2019, le virus Sars Cov 2 est en phase de circulation active, multipliant le risque d’apparition de variants, et la pandémie frappe la planète entière. Ce dossier propose un éclairage pédagogique sur le Covid 19 : la diffusion du virus, le caractère nouveau et inédit de cette épidémie. Il aborde également les grandes lignes de la gestion de la crise, les mesures mises en œuvre et les institutions sollicitées. Le traitement de l’information dans les médias et sur les réseaux sociaux amène à repenser la communication en temps de crise et d’incertitude. Enfin ce dossier dresse un rapide bilan des conséquences sanitaires et sociales d’une crise qui a mis le monde à l’arrêt pendant de nombreux mois.
Dans cet article, nous abordons la question du coronavirus de façon assez globale, notamment les relations entre politique et épidémie. En effet, cette pandémie mondiale montre encore une fois que les problèmes de santé sont généralement gérés par les politiques (et non par les médecins). Ce sont eux qui définissent les grandes orientations et les programmes en matière de santé publique. Toute épidémie devient donc une « affaire d’État » (tant au niveau de la communication qu’au niveau de la gestion de crise).
Paru dans la revue Soins cadres, vol. 29, n° 121, septembre 2020, pp. 9-62.
Mots clés : Santé-Santé publique, Hôpital, Management, Épidémie, Communication, Vulnérabilité, Politique sanitaire
• Covid-19, entre unité et solidarité
• Crise de la Covid-19, un moment de vérité dans les hôpitaux
• Démocratie sanitaire et Covid-19
• Gestion de la Covid-19, un partenariat transfrontalier à la hauteur des enjeux sanitaires
• Gestion de la crise sanitaire au sein d’un CHRU, focus sur les soins critiques
• Une crise inédite et complexe, le rôle du directeur des soins
• Pandémie et directeur des soins, une rencontre fortuite qui s’installe
• Entre le chef d’établissement et le directeur des soins, une affaire de confiance
• La communication, un levier indispensable dans la gestion de la crise sanitaire
• Dynamique d’un virus et confinement : constat sur une réponse institutionnelle
• Un service de médecine intensive de réanimation en période de Covid-19
• Bilan d’une adaptation organisationnelle pendant l’épidémie de Covid-19
• Un cadre de santé face à la Covid-19 dans un centre de dialyse
• Retour d’expérience sur la mise en place d’une filière Covid pour les personnes vulnérables non accessibles à la réanimation
• Accompagner les professionnels de santé exerçant en unité dédiée Covid-19
Dans les années 1950 en France, on marchait en moyenne sept kilomètres à pied par jour. Aujourd’hui, à peine trois cents mètres. La sédentarité est un souci majeur de la santé publique. Marcher, c’est reprendre corps dans son existence, retrouver une jouissance du temps, renouveler sa curiosité, se déconnecter pour se sentir vivant. C’est certes une pratique de santé, mais surtout une jouissance du monde.
Paru dans la revue Le Journal des psychologues, n° 344, février 2017, pp. 67-71.
Mots clés : Santé-Santé publique, Santé mentale-Souffrance psychique, Représentation sociale, Thérapie de groupe, Institution, Hospitalisation, Lien social, Média, Socialisation, Communication, Groupe de parole