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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Oser la relation en psychiatrie !

Article de Dominique Friard, Christophe Médart, Tudi Gozé, et al.

Paru dans la revue Santé mentale, n° 234, janvier 2019, pp. 19-79.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Relation soignant-soigné, Distance, Rencontre, Psychiatrie, Psychopathologie, Altérité, Psychose, Émotion, Conditions de travail, Profession médicale, Psychiatre, Souffrance psychique, Peur, Infirmier psychiatrique, Hôpital psychiatrique, État limite, Mécanisme de défense, Attachement, Psychothérapie, Contre-transfert, Projection, Cadre, Démarche qualité, Rogers (Carl)

Si en psychiatrie, les soignants affirment souvent que la relation est leur cœur de métier, elle ne va pourtant pas de soi et relève d'une certaine audace. Qu'est ce qui "fait" rencontre ? Peut-on soigner sans engager une part de soi-même ? Comment rester en relation avec ceux qui attaquent le lien à l'autre ? Comment moduler sa présence en fonction de l'évolution des troubles ? L'organisation des soins peut-elle favoriser une juste présence soignante et de quelle manière ?

Isolement et contention "en dernier recours"

Article de Jean Louis Senon, Adeline Hazan, Eric Pechillon, et al.

Paru dans la revue Santé mentale, n° 210, septembre 2016, pp. 21-91.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Psychiatrie, Internement psychiatrique, Isolement, Loi, Relation soignant-soigné, Hôpital psychiatrique, Thérapie, Sanction, Violence, Équipe soignante, Pratique professionnelle

"L'isolement et la contention sont des pratiques de dernier recours." Cette injonction du législateur reste une notion floue pour des soignants qui parfois "n'ont pas le choix". Le dernier recours, c'est n'utiliser ces mesures que quand une relation d'apaisement empathique a échoué, quand un traitement médicamenteux adapté n'a pas été accepté ou n'a pas apaisé le patient, quand les techniques de désescalade n'ont pas eu de résultat et quand une analyse clinique laisse penser que ces pratiques sont proportionnées à la gravité des troubles et aux risques encourus.