Article de Catherine DUFFOUR NIKOLOV
Paru dans la revue Thérapie familiale, vol. 32, n° 1, pp. 129-140.
Mots clés : Intimité, Respect, Soutien à la parentalité, Thérapie familiale, Relation familiale, Sexualité, Pornographie, Identité, Représentation sociale, Système, Famille, Psychopathologie, Anorexie, Repère, Tolérance
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Article de Patrick SPAPEN
Paru dans la revue Thérapie familiale, vol. 31, n° 2, pp. 117-132.
Mots clés : Cannabis, Drogue, Toxicomanie, Jeune en difficulté, Relation familiale, Prise en charge, Thérapie familiale, Approche systémique, Recherche clinique, EUROPE, Adolescent, ALLIANCE, EUROPE
Certains adolescents consommateurs de cannabis présentent une réelle assuétude qui s'accompagne le plus souvent d'une série d'autres difficultés personnelles, familiales et sociales. Un modèle intégratif de thérapie familiale adapté à cette problématique et basé sur les données de la recherche est présenté et illustré par une situation clinique.
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Article de Alexandre HAR
Paru dans la revue Thérapie familiale, vol. 31, n° 2, pp. 133-149.
Mots clés : Suicide, Jeune en difficulté, Relation familiale, Hôpital, Prise en charge, Thérapie familiale, Approche systémique, Crise, Adolescent
Notre intention est de proposer puis de questionner la pertinence d'une approche intégrative et multi-systémique de l'hospitalisation de crise de l'adolescent suicidant et de sa famille. Nous décrivons étape par étape l'intervention de crise auprès de l'adolescent suicidant et de sa famille en soulignant quelles sont les actions des processus thérapeutiques mis en oeuvre.
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Article de Quentin BULLENS
Paru dans la revue Thérapie familiale, vol. 31, n° 2, pp. 151-166.
Mots clés : Divorce, Séparation, Crise, Relation familiale, Rite, Identité, Famille, Représentation sociale, Thérapie familiale
Parmi les nombreux changements qu'a connu la notion de famille au cours du temps, nous nous intéressons ici à la normalisation/banalisation du divorce (ou séparation). Nous postulons que, dans un contexte où ses modifications sont de moins en moins ritualisées et donc de moins en moins représentables, la famille (dont nous différencierons le caractère achronique du caractère diachronique) n'a pas accès à une représentabilité/acceptabilité sociale de sa ou ses séparations. Selon nous, elle souffre alors d'une crise identitaire dont l'enfant, parfois en plus de ses souffrances individuelles, peut être le symptôme. Reste alors aux thérapeutes à pallier ce manque de représentabilité des séparations, tout en restant lucides quant aux limites de leurs interventions.
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