Rechercher un article, un ouvrage, une thèse

PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 1 à 2 sur un total de 2

Votre recherche : *

La psychogériatrie dans le contexte épidémique

Article de Philippe Thomas, Cyril Hazif Thomas

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 146, novembre-décembre 2020, pp. 30-31.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Affectivité, Anxiété, Conditions de travail, Crise, EHPAD, Épidémie, Gériatrie, Isolement, Lien social, Personne âgée, Psychologie, Reconnaissance, Relation, Relation familiale, Relation soignant-soigné, Vieillissement

Le développement de l’épidémie de coronavirus a bouleversé l’organisation des services et augmenté la charge de travail du personnel soignant. Les services ou les établissements accueillant les personnes âgées ont été particulièrement exposés à la contagion. Le personnel a exprimé des craintes légitimes et les résidents, âgés, ont développé des formes graves de la maladie. À l’anxiété générée par le risque d’être contaminé s’est ajoutée celle provoquée par la distanciation physique des visiteurs, nécessaire pour les protéger.

Le sujet âgé polymorbide et fragile : quelle qualité de vie

Article de Rémy Billlon, Philippe Thomas

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 139, septembre-octobre 2019, pp. 22-24.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Bien-être, Care, EHPAD, Espérance de vie, Gériatrie, Maladie, Morbidité, Personne âgée, Qualité de la vie, Soin, Traitement médical, Vieillissement, Vulnérabilité

La polymorbidité est fréquente chez les sujets très âgés, particulièrement dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes avec, souvent, un état de grande fragilité. Ils sont particulièrement à risque de polypharmacie et d’effets iatrogènes, ce qui peut amener à aggraver la qualité de fin de vie de ces patients. Une nouvelle manière de faire est à trouver en s’appuyant sur une approche centrée sur le patient, et pas sur la maladie.