Rechercher un article, un ouvrage, une thèse

PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 1 à 2 sur un total de 2

Votre recherche : *

Impact des interventions assistées d'un animal sur le résident

Article de Jan Chrusciel, Aude Letty, Stéphane Sanchez, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 140, novembre-décembre 2019, 12-14.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Animal, Autonomie, Bien-être, Démence sénile, Dépendance, EHPAD, Étude de cas, Isolement, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Prise en charge, Psychothérapie, Qualité de la vie, Robot, Vieillissement, Zoothérapie

Les interventions assistées par l’animal ont pour finalité le bien-être des personnes. L’objectif est de faire le point sur les études concernant cette pratique dans la population des anciens vivant en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. La thérapie assistée par l’animal, utilisable par un personnel préalablement formé, pourrait être un outil adapté à la personne âgée institutionnalisée souffrant de solitude.

Démence et thérapeutique non médicamenteuse, efficacité du cadre ludique

Article de Cédric Gueyraud, Marie Anaut, Stéphane Sanchez, et al.

Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 125, mai-juin 2017, pp. 27-31.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Jeu, Maladie d'Alzheimer, Médiation, Thérapie, Résilience, Trouble du comportement, Médecine alternative

Une étude a interrogé l’efficacité et les modalités du jeu dans la prise en charge de la maladie d’Alzheimer.
Une intervention fondée sur le principe du cadre ludique, prenant en compte le choix des objets, l’aménagement de l’espace et le rôle du professionnel, pourrait se présenter comme une médiation thérapeutique adaptée à cette pathologie.
Cette étude démontre que le cadre ludique permet une diminution des troubles du comportement des résidents atteints de la maladie d’Alzheimer, et renforce leur bien-être et leur qualité de vie.