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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Les différentes facettes de la colocation

Article de Maxime Ricard

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3180, 16 octobre 2020, pp. 10-11.

Mots clés : Territoire-Logement, Habitat, Insertion sociale, Individu, Vulnérabilité, Maladie d'Alzheimer, Handicap, Dépendance, Autonomie, Liberté

Dossier composé de 4 articles :
- Ty Mosaïk : une colocation pour personnes handicapées / « La liberté d’aller et venir »
- En Allemagne, les personnes âgées dépendantes vivent entre elles / « Les personnes sont chez elles »
- La Maison du Thil, une colocation pour personnes Alzheimer / « Un pont entre domicile et maison »
- L’habitat intergénérationnel, une réponse à l’isolement / « Une charte qui incite à la solidarité »

Préserver les capacités restantes

Article de Alexandra Marquet, Maxime Ricard, Philippe Giafferi, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 38, juillet-septembre 2020, pp. 10-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Personne âgée, Vieillissement, Dépendance, Accompagnement, Adaptation, Pratique professionnelle, Auxiliaire de vie sociale, Projet individualisé, Observation, EHPAD, Stimulation, Autonomie

Les déficits, les pertes et les incapacités sont toujours répertoriés et connus des équipes à l'ère de la prise en charge de la dépendance. Or, depuis quelques années, certains professionnels ont décidé de changer de regard sur les personnes fragilisées par la maladie d'Alzheimer. Et pourquoi ne pas, au contraire, mettre en avant les capacités préservées ? Car malgré les atteintes cognitives, les personnes sont encore capables de réaliser des actes de la vie quotidienne. Encore faut-il que les professionnels procèdent à une évaluation efficace des capacités restantes et soient en possession des bonnes clefs. Et c'est là que le bât blesse. Les grilles habituellement utilisées comme AGGIR, pour ne citer qu'elle, révèlent justement les incapacités. Dépendance versus autonomie ? Pour sortir de ce cercle vicieux, les soignants doivent se tourner vers d'autres outils pour ensuite adopter la bonne attitude. C'est en observant qu'ils peuvent mieux connaître la personne et savoir exactement ce dont elle est encore capable de faire. C'est en détectant les capacités préservées que l'accompagnement peut s'adapter. Il ne s'agira alors plus de prendre en charge mais de guider. C'est un réel changement de pratique et de culture professionnelle que de plus en plus de professionnels adoptent. Certains depuis longtemps, que ce soit les disciples de l'Humanitude, de la méthode Montessori adaptée aux personnes âgées ou encore Carpe Diem et Ama Diem. Cette révolution des pratiques ne se décrète toutefois pas. Les professionnels de terrain doivent être accompagnés, sensibilisés et dotés d'outils pragmatiques. En établissement mais aussi à domicile. C'est d'ailleurs un autre défi pour les auxiliaires de vie sociale qui doivent promouvoir l'autonomie des personnes aidées. Ce n'est pas qu'une question de temps ou de moyens financiers mais bien de regard et d'accompagnement différenciés.

Vers un bouleversement de la société

Article de Maxime Ricard, Jean Pierre Riso

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3143-3144, 24 janvier 2020, pp. 6-9.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Loi, Vieillissement, Population, Dépendance, Autonomie, Urgence, Établissement pour personnes âgées, Aide à domicile

Dossier composé de trois articles :
- Vers un bouleversement de la société
- Verbatim Jean-Pierre Riso : « Faites notre loi ! Qu’elle soit grande et ambitieuse ».
- En attendant la loi, une stratégie de prévention.

Liberté et sécurité : concilier l’inconciliable

Article de Alexandra Marquet, Maxime Ricard, Etienne Bataille, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 35, octobre-décembre 2019, pp. 10-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Vieillissement, Dépendance, Liberté, Sécurité, Autonomie, EHPAD, Maintien à domicile, Équipe soignante, Personne âgée, Contention, Care, Soin, Bientraitance, Accompagnement, Risque, Vulnérabilité, Législation

Que faire face à une personne qui déambule, erre puis part bien décidée à retrouver son chez-soi d'autrefois ? Et que dire... quand une personne vivant seule, en perte d'autonomie, se retrouve couchée le soir à 20 h avec la barrière relevée pour éviter une chute au beau milieu de la nuit quand elle cherchera à se lever dans le noir. Elle restera donc allongée pendant dix voire douze heures, contre sa volonté. Depuis plusieurs années, la contention, qu'elle soit physique ou médicamenteuse, est de plus en plus réglementée. Dans le même temps, les questions autour de l'éthique ont pris une part importante dans l'accompagnement des personnes souffrant de troubles cognitifs notamment. Les professionnels ont désormais à l'esprit le risque et le bénéfice de chaque soin. Mais entre la bienveillance de l'accompagnement et les restrictions des libertés, où mettre le curseur ? L'équation est quasiment impossible. La réponse est forcément personnalisée et individualisée, selon chaque situation, chaque cas. Et pour cause, il est facile de philosopher, d'évoquer ces questions lors de formation bien installé dans un fauteuil, entouré de collègues et experts, mais sur le terrain, au quotidien, à domicile comme en établissement, des décisions doivent et sont prises avec toujours le même objectif : protéger la personne, éviter qu'elle se blesse, qu'elle se perde, qu'elle se mette en danger... sans pour autant qu'elle ressente les contraintes qui provoquent inévitablement des troubles du comportement. (...)

“Il faut prendre exemple sur le modèle japonais”

Article de Maxime Ricard, Anne-Marie Guillemard

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3109, 3 mai 2019, pp. 34-35.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accompagnement de la personne et identité, Personne âgée, Dépendance, Autonomie, Retraite, Assurance, Santé, Cotisation de sécurité sociale, Économie politique, Cadre de l'intervention sociale, Accompagnement

Entre 2025 et 2030, la structure démographique de la France devrait ressembler à celle du Japon de 2010. Dès lors, l’analyse de leurs systèmes de prise en charge de la personne âgée apporte, selon Anne-Marie Guillemard, des éléments de réflexion en vue de la future loi « autonomie et grand âge ».

Tous concernés par le grand âge

Article de Maxime Ricard, Dominique Libault

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3105, 5 avril 2019, pp. 6-9.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Autonomie, Dépendance, Loi, Lien social, Isolement, Espérance de vie, Décision, TIERCE PERSONNE, Maintien à domicile, Ressources humaines, Financement

Dossier composé de trois articles :

- Tous concernés par le grand âge
- Des critiques s’élèvent
- Questions à Dominique Libault / « Nous donnons une trajectoire à suivre mais elle peut s’ajuster »

« Il y a infiniment trop d’acteurs sur le territoire »

Article de Maxime Ricard, Bernard Bensaïd, Pierre Béhar

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3099, 22 février 2019, pp. 22-24.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Aide à domicile, Maltraitance, Ressources humaines, Personne âgée, Autonomie, Dépendance, Financement, Bien-être

Le groupe DocteGestio a publié, le 1er février, une étude réalisée par deux économistes, dont Bernard Bensaid, président du groupe, visant à proposer un nouveau modèle d’organisation territoriale mettant en avant le concept de « monopole naturel territorial ». Une étude vivement critiquée par Pierre Behar, directeur du cabinet Espaces MS, spécialisé dans le conseil de l’aide à domicile. Entretien croisé.

Le lourd reste à charge des seniors

Article de Maxime Ricard

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3086, 30 novembre 2018, p. 21.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Maison de retraite, Financement, Revenu, Épargne, Dépendance, Autonomie

Menée auprès de 3 300 seniors en établissement, une enquête de la Drees publiée le 27 novembre montre qu’en 2016 la moitié des résidents doivent payer au moins 1 850 € par mois pour financer leur maison de retraite, après perception des allocations et des contributions des obligés alimentaires.