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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Accompagnant-biographe : un nouveau métier pour laisser une trace de vie

Article de Maxime Ricard

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3289, 6 janvier 2023, pp. 24-25.

Mots clés : Travail-Emploi, Profession, Écriture, Biographie, Récit de vie, Personne âgée, Maladie, Fin de vie, Livre, Famille, Apprentissage, Enseignement, Profession médicale, Thérapie

L’écriture comme outil de transmission, tel est le leitmotiv de Traces de Vies. Depuis 2021, cette association jurassienne forme au métier – pas encore reconnu – d’accompagnant-biographe, dont le but est de recueillir l’histoire d’une personne gravement malade ou en fin de vie afin que ses proches aient un souvenir d’elle après son décès.

Travail social : un métier, des valeurs

Article de Brigitte Bègue, Flora Peille, Maxime Ricard, AL

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3191, 08 janvier 2021, pp. 6-14.

Mots clés : Travail social : Métiers, Témoignage, Travailleur social, Valeur, Affectivité, Échange, Thérapie, Implication personnelle

Dossier composé de 12 articles :
Travail social / Un métier, des valeurs
« En m’occupant des autres, je me fais du bien »
« Je souhaite rendre la pareille »
« On ne peut pas faire ce métier sans tendresse »
« Je suis une thérapeute de la communication »
« Offrir un accompagnement empathique »
« Fier de croiser un jeune qui s’en est sorti »
« Ce métier prend aux tripes »
« Ce jour-là, j’ai accouché d’un métier »
« Le sentiment d’être une fenêtre qui s’ouvre »
« L’humanité est la même partout »
« La patience est une qualité indispensable »

« Considérer les résidents comme des adultes »

Article de Maxime Ricard, Jack Messy

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires ASH, n° 3186, 27 novembre 2020, p. 14.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Reconnaissance, Adulte, Participation, Thérapie, Relation soignant-soigné, Famille, Accompagnement, Formation professionnelle, Ressources humaines

Dans son livre, Jack Messy, psychanalyste spécialisé en gérontologie, propose un projet original de fonctionnement d’un Ehpad basé sur une relation d’aide inspirée de la psychothérapie institutionnelle. Un concept qui repose sur le fait que le soin n’est pas seulement médical.

Quand le jardin soigne les malades d'Alzheimer

Article de Maxime Ricard

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 33, avril-juin 2019, pp. 11-12.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Jardinage, Maladie d'Alzheimer, Thérapie, Hôpital, Maison de retraite, EHPAD

Ces dernières années, de nombreux hôpitaux, maisons de retraite et autres structures pour personnes âgées ont aménagé des jardins spécialement conçus pour l'accompagnement et la prise en charge de malades Alzheimer. Mais, pour être réellement thérapeutiques, ces jardins doivent être conçus selon un cahier des charges bien précis. L'implication des soignants est également une condition sine qua non à la réussite de cette thérapie non médicamenteuse qui se développe de plus en plus.

Jardins thérapeutiques : pour quels bénéfices ?

Article de Alexandra Marquet, Maxime Ricard, Jérôme Pellissier, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 33, avril-juin 2019, pp. 10-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Vieillissement, Personne âgée, Maladie d'Alzheimer, Jardinage, Thérapie, EHPAD, Lien social, Mémoire, Animation sociale, Dépendance, Association Aid'Aisne

A l'heure où l'été arrive et où les jours rallongent, les espaces verts sont pris d'assaut par les jardiniers. Mais une fois la perte d'autonomie constatée, et la dépendance installée, de nombreuses personnes âgées sont contraintes de cesser de jardiner. Certaines à domicile n'ont plus de potagers ou de massifs de fleurs, qui demandent trop d'entretien, quand d'autres, une fois institutionnalisées, restent cloîtrées entre les murs de l'établissement, assises devant la télé. Et pourtant, depuis quelques années, les soignants misent de plus en plus sur les thérapies non médicamenteuses dont les jardins dits "thérapeutiques" font partie. Plantations, récoltes, fleurs, plantes aromatiques, légumes, fruits, stimulation autour des sens, chemins permettant de travailler la proprioception ; autant d'activités qui sont proposées en extérieur, à l'air libre... loin de la pesanteur ressentie en établissement et du brouhaha du collectif. C'est alors l'occasion de se retrouver dehors pour discuter, se remémorer des souvenirs, partager des techniques et pourquoi pas côtoyer des poules, chats et autres animaux de compagnie. Pour quels résultats ? Le premier indice c'est l'ambiance plus détendue, le bien-être et le plaisir ressentis par tous... des échanges qui se nouent entre résidents, avec les soignants ou encore avec les familles. Ceux qui ont testé constatent une diminution de la fréquence des chutes, des accidents, une amélioration des compétences cognitives, une baisse des troubles du comportement, de l'agitation, un meilleur sommeil et surtout une baisse des prescriptions médicamenteuses. Rompre l'isolement et partager, c'est aussi ce qui manque actuellement aux personnes vivant encore à domicile, mais en perte d'autonomie. (...) Le jardin partagé peut être une solution... mais les services d'aide à domicile sont encore peu nombreux à avoir opté pour ce projet...

Thérapies non médicamenteuses et stratégie individuelle

Article de Alexandra Marquet, Maxime Ricard, Philippe Giafferi, et al.

Paru dans la revue Doc'Alzheimer, n° 32, janvier-mars 2019, pp. 10-22.

Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Médicament, Psychotrope, Prescription médicale, Neuroleptique, Antidépresseur, Personne âgée, Vieillissement, Maladie d'Alzheimer, Thérapie, Médecine alternative, Bien-être, Autonomie, Soin, Mémoire, Établissement pour personnes âgées, EHPAD

Une absence de traitements curatifs, des médicaments non remboursés depuis quelques mois faute d'une efficacité reconnue par la HAS, des prescriptions médicamenteuses très élevées en termes de benzodiazépine, de neuroleptique, d'antidépresseurs... A l'heure où l'absorption de psychotropes est particulièrement élevée en France et plus particulièrement pour les personnes de plus de 75 ans, les professionnels ne cessent de tirer la sonnette d'alarme : surdose, sous-dosage, polymorbité somatique, interaction médicamenteuse. Le tout dans un contexte de manque d'essais cliniques contrôlés chez les patients très âgés. Et pourtant, au quotidien, de nombreux gériatres découvrent les ordonnances à rallonge au moment de l'institutionnalisation des nouveaux résidents. (...) Conséquence ou pas, au cours des dernières années, l'approche non médicamenteuse a émergé pour gagner de plus en plus d'établissements et de services médico-sociaux. Derrière les thérapies cognitives, fonctionnelles, thymiques, comportementales, se cachent des ateliers réminiscence, des soins Snoezelen, la méditation pleine conscience, la musicothérapie, les jeux, la méthode de validation... Pour quels objectifs ? Atténuer les symptômes, ralentir l'évolution de la maladie, stabiliser l'humeur, préserver l'autonomie ou encore améliorer le bien-être. Mais force est de constater que les études mesurant les effets de ces thérapies ne sont pas légion. Seule l'étude française Etna 3 a permis de mesurer, dès 2012, trois thérapies dans 40 centres auprès de 600 patients. Et contre toute attente, c'est la prise en charge individuelle qui s'est révélée être la plus efficace pour différer la dépendance et l'entrée en institution alors que les chercheurs misaient initialement sur la stimulation cognitive ou encore la thérapie par réminiscence. Or, dans la réalité, c'est l'hétérogénéité dans les ateliers qui est privilégiée... La faute au manque d'effectifs évidemment...

Un village Alzheimer, laboratoire de thérapies alternatives

Article de Maxime Ricard

Paru dans la revue Actualités sociales hebdomadaires (ASH), n° 3076, pp. 20-23.

Mots clés : Santé mentale-Souffrance psychique, Maladie d'Alzheimer, Thérapie, Qualité de la vie, Participation

Depuis le 4 juin, date du premier coup de pelle, un village Alzheimer est en construction à Dax (Landes), sur le modèle néerlandais de la ville de Weesp. Cette structure, qui ouvrira ses portes fin 2019, hébergera 120 malades et permettra d’expérimenter des thérapies alternatives contre cette pathologie incurable du vieillissement. Particularité du lieu : il intégrera un pôle de recherche.