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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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13es journées de Lyon - Appartenances et identité : malade de trop ou de trop peu d'appartenances

Article de Bernard FOUREZ, Michel DELAGE, Geneviève PLATTEAU, et al.

Paru dans la revue Thérapie familiale (revue internationale en approche systémique), vol. 35, n° 4, pp. 345-517.

Mots clés : Identité, Groupe d'appartenance, Thérapie familiale, Approche systémique

Ce numéro est consacré à la première partie des actes des Journées de Lyon, de 2014. Appartenances et identité. Malade de trop ou de trop peu d'appartenances. La deuxième partie est prévue pour le prochain numéro

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Migration et pays d'accueil : une danse entre réalité et préjugés - entre identique et différence

Article de Geneviève PLATTEAU

Paru dans la revue Thérapie familiale (revue internationale en approche systémique), vol. 35, n° 4, pp. 397-407.

Mots clés : Immigration, Identité, Adolescent, Jeune, Enfant de migrant, Groupe d'appartenance, Valeur sociale, Culture, Identité culturelle, Différence

Dans cet article, j'aborde les problèmes posés par l'émigration chez des jeunes adolescents en quête d'identité. L'adolescent, par ses passages à l'acte, réinterroge l'histoire familiale, ses appartenances et ses loyautés. Il provoque un conflit familial tiraillé entre tradition et modernité, entre un « identique » sécurisant et un « différent » plus angoissant. La famille doit se repositionner dans sa lignée traditionnelle et dans ses transmissions ; sans le « portage » du groupe, elle se sent isolée, démunie. Le jeune vit un sentiment de solitude, interpellant le soignant dans une recherche d'identification, réunissant du « semblable » et du « différent ». La transmission culturelle interroge l'articulation entre le changement et la continuité. Le « préjugé » est nécessaire car il protège de la différence qui fait peur, tandis que le sentiment d'appartenance sécurise tout individu. La fonction du passage à l'acte du jeune repositionne le système dans son histoire. Quelle est la place de l'intervenant dans ces contextes ? comment donner une place égale à la famille, au jeune, au contexte ?

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