Article de Jonathan Louli
Paru dans la revue Le Sociographe, n° 74, juin 2021, pp. 67-78.
Mots clés : Action sociale : histoire et perspectives, Langage, Éthique, Implication personnelle, Militantisme, Interprétation, Représentation sociale, Politique
Contre les langues de bois technocratiques et marchandes, les travailleurs et travailleuses sociaux « engagés » revendiquent souvent une démarche éthique, un projet politique… Mais ces manières de dire et penser les engagements sont-ils bien des fins en elles-mêmes ? Ne relèvent-elles pas elles aussi d’une forme d’idéalisme, ou de… langue de bois ?
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Article de Maxime Chaffotte, Roland Janvier, Jonathan Louli, et al.
Paru dans la revue Les Cahiers de l'Actif, n° 524-525, janvier-février 2020, pp. 3-226.
Mots clés : Travail social : Métiers, Travailleur social, Profession libérale, Statut professionnel, Débat, Posture professionnelle, Libéralisme, Coordination, Parcours professionnel, Témoignage, Éthique, Déontologie, Motivation, Liberté, Autonomie, Travail social, Statut juridique, Désinstitutionnalisation, Assistant de service social, Éducateur spécialisé, Marchandisation, France, Norvège
Quelles sont les raisons de la "libéralisation" du travail social, ainsi que les raisons qui éventuellement peuvent légitimer son refus, total ou partiel, et quels sont les avantages et inconvénients, en premier lieu pour les usagers, mais pas iniquement, des interventions en libéral ?
Article de Jonathan Louli
Paru dans la revue Le Sociographe, n° 54, juin 2016, pp. 55-64.
Mots clés : Travail social : Métiers, Jeunesse-Adolescence, Pratique professionnelle, Prévention spécialisée, Sociologie, Échange, Éthique
Ce texte vise à étudier quelques enjeux de l’éthique en travail social, à partir de deux situations relatives à la prévention spécialisée. L’auteur a d’abord mené des recherches sociologiques sur le sens que donnent à leur travail des éducateurs en prévention, dans un département de province très pauvre. Ceux-ci parlaient beaucoup d’éthique, dans des sens très divers, pour expliquer leur métier à un profane. L’auteur est ensuite devenu lui-même éducateur de rue, en banlieue parisienne, et s’étonne du fait qu’entre collègues, on parle très peu d’éthique lorsqu’on échange à propos du « boulot ».
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