Article de Philippe Thomas, Cyril Hazif Thomas, Anne Sophie Seigneurie, Christèle Nerbardet al.
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 158, novembre-décembre 2022, pp. 9-33.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Vieillissement, Gériatrie, Gérontologie, Psychiatrie, Soin, Suivi médical, Pluridisciplinarité, Maintien à domicile, Suicide, Diagnostic, Traitement médical, Maladie d'Alzheimer, Maladie chronique, Aidant familial, Qualité de la vie, Lien social, Sport, Motricité
Article de Cyril Hazif Thomas, Eric Péchillon
Paru dans la revue Soins gérontologie, novembre-décembre 2018, pp. 25-29.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Accueil familial, Aidant familial, APA, Législation, Loi, Personne âgée, Prise en charge, Protection sociale, Reconnaissance, Société
Les aidants familiaux sont des acteurs incontournables et indispensables dans la société d’aujourd’hui. Comment sont-ils envisagés dans la législation et quelles ont été les étapes de leur reconnaissance ? Il semblerait que leur situation oscille entre un statut en construction et la tentation de la posture oblative.
Article de Philippe Thomas, Cyril Hazif Thomas, Jean François Nys, et al.
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 134, novembre-décembre 2018, pp. 11-30.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Adaptation, Accueil familial, Aidant familial, Aide à domicile, Approche historique, Autonomie, Bientraitance, Culture, Éthique, Financement, Loi, Maintien à domicile, Personne âgée, Prise en charge, Représentation sociale, Société, Technologie numérique, Vieillissement
Article de Cyril Hazif Thomas
Paru dans la revue Soins gérontologie, n° 131, mai-juin 2018, pp. 31-33.
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Maladie d'Alzheimer, Déni, Aidant familial, Famille, Équipe soignante, Reconnaissance
La douleur d’être non reconnu dans la lutte contre la maladie d’Alzheimer est la question du non partage rarement posée par la médecine et qui pourtant mal-étreint malade et aidant. On retrouve cette angoisse de fracture de l’être lorsque faire face à l’épreuve de la maladie d’Alzheimer devient une source de désarroi insondable. C’est la question qui se pose au soignant lorsqu’advient l’étape fatidique de la non reconnaissance de l’aidant par le malade, son entourage humain et son acceptation sociétale.