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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Mourir à domicile ou finir sa vie chez soi ?

Article de Laurence Hardy

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 51, août-octobre 2018, pp. 16-17.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Fin de vie, Accompagnement de fin de vie, Mort, Vulnérabilité, Projet, Maintien à domicile, Hospitalisation, Décision

Les sondages d'opinion montrent que la grande majorité des Français (80 %) expriment le souhait de mourir chez eux. Pourtant, il n'est pas rare que les personnes en fin de vie changent d'avis et demandent à être hospitalisées. Ainsi tout projet est amené à se transformer dans le temps et doit s'appuyer sur la volonté personnelle inscrite dans un environnement sécurisé, la tendance actuelle étant une survalorisation du maintien à domicile. Et avec la médicalisation de la mort dans notre société, il nous paraît urgent d'encourager l'élaboration du projet de vie afin de faciliter l'accès au choix jusqu'au bout de la vie.

Plaidoyer pour un accompagnement de qualité

Article de Laurence Hardy

Paru dans la revue Doc'Domicile, n° 49, février-avril 2018, pp. 21-22.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Grand âge-Vieillissement, Accompagnement, Maintien à domicile, Aide à domicile, Personne âgée, Vieillissement, Loi, Vulnérabilité, Accompagnement social, Soin, Qualité, Technologie, Profession, Formation

Alors que la loi d'adaptation de la société au vieillissement réaffirme la priorité du maintien à domicile des personnes fragiles, la question de l'accompagnement de qualité des personnes vulnérables devient centrale. Car si c'est une réponse au souhait du plus grand nombre de rester "chez soi" jusqu'au bout de la vie, l'accompagnement social doit être, par ricochet, au coeur des problématiques des politiques du vieillissement. Mais face à la pénurie de main-d'oeuvre, au peu d'attractivité des métiers de l'accompagnement, quelle place donner au prendre soin ?