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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Privilégier ceux qui agissent sur ceux qui réagissent

Article de Jean Louis Sanchez, Christophe Robert, Olivier Van Caemerbèke

Paru dans la revue Le Journal des acteurs sociaux JAS, n° 203, janvier 2016, pp. 12-19.

Mots clés : Lien social-Précarité, Vie associative, Financement, Partenariat, Changement social, Collectivité territoriale, Démocratie, Média, CSTS, ODAS, AMF (Association des maires de France)

Au moment où l’extension de la vulnérabilité nous montre les limites des réponses de l’État, nous devons refuser, dénoncer et ne plus hésiter à contourner les obstacles à l'épanouissement de la créativité et de l'engagement des acteurs sociaux : militants associatifs, élus locaux, professionnels du social et les journalistes. Nous en avons rencontré quelques uns pour ouvrir le débat. Car pour permettre la multiplication des initiatives locales, pour qu'elles consolident le vivre ensemble, il est temps de privilégier ceux qui agissent sur ceux qui réagissent.

Indifférence : brisons le silence

Article de Jean Louis Sanchez, Olivier Van Caemerbèke, René Padieu

Paru dans la revue Le Journal des acteurs sociaux JAS, n° 205, mars 2016, pp. 12-17.

Mots clés : Lien social-Précarité, SDF, Migration, Solidarité, Assistance, Pauvreté, Lien social, Éthique, Lahire (Bernard), ATD quart monde, Fondation Abbé Pierre

"Le contraire de l'amour n'est pas la haine, c'est l'indifférence." Ces mots-là, nous les devons à Elie Wiesel. S'ils résonnent aujourd'hui de manière si puissante, c'est que notre société est gangrénée par cette indifférence qui condamne ceux qui la subissent et déshumanisent ceux qui la pratiquent. Qui peut supporter que des enfants à peine âgés de dix ans passent leurs journées à mendier, assis sur le trottoir de nos villes ? Qui ? Nous tous, malheureusement. La misère est si présente qu'à défaut d'être normale elle est devenue banale. Il est temps de briser le silence.