Lancé officiellement le 6 novembre dernier par la ministre de la Santé, le dossier médical partagé a vocation à devenir le carnet de santé numérique de tous, selon la Caisse nationale d’assurance maladie qui pilote son déploiement. Dans les Ehpad, cet outil pose la question de l’informatisation du suivi des personnes âgées et de l’adhésion des médecins coordonnateurs.

Les Petits Frères des pauvres se sont fait le porte-voix des résidents des Ehpad. Des récits de vies qui sont venus étoffer la concertation citoyenne « grand âge et autonomie », qui a pris fin au début décembre. En parallèle, l’association a transmis des propositions pour améliorer la vie des personnes âgées en Ehpad.

Trois questions à Bernard Ennuyer, sociologue et ancien directeur d’un service associatif d’aide et de soins à domicile à Paris durant trente ans.

Dossier comportant 7 articles :
- La feuille de route manque d’épaisseur
- La feuille de route effeuillée
- Hébergement temporaire en EHPAD : 1 000 sas entre l’hospitalisation et le retour à domicile
- Télémédecine : 40 millions d’euros pour une généralisation attendue
- Aide à domicile : 100 millions sur la table
- Prévention : une priorité à 15 millions
- « Des mesures d’urgence dans une période transitoire »