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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 51 à 60 sur un total de 2007

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Figures de l'Autre : perceptions du migrant en France 1870-2022

Livre de Catherine Wihtol de Wenden, édité par CNRS, publié en 2022.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Immigré, Altérité, Représentation sociale, Stéréotype, Mémoire collective, Discrimination, Approche historique, Travailleur immigré, Immigration, Racisme, Identité collective, Sécurité, Citoyenneté, Musée

La France, tôt confrontée à l'immigration, et marquée aussi par son passé colonial, a vu monter la prégnance de la figure de l'Autre dans la vie de tous les jours, comme au cœur du discours politique. Qu'il soit issu du regroupement familial, étudiant, travailleur qualifié ou non qualifié, travailleur temporaire, frontalier, réfugié, demandeur d'asile, sans papiers, le migrant incarne souvent une figure menaçante, toujours sujette aux mêmes stéréotypes.
Au fil des diverses vagues d'immigration, les critères de l'altérité demeurent intacts : la religion (des Polonais "bien trop catholiques" dans la France laïque de la Troisième République aux musulmans "islamistes"), la violence (du "couteau facile" des Italiens dans les années 1970 au terrorisme importé de Syrie), la concurrence déloyale sur le marché du travail (du "un million de chômeurs, c'est un million d'immigrés de trop !" des années 1970 au plombier polonais).
En se basant sur les articles de journaux, les proclamations politiques, les ouvrages de sciences sociales, mais aussi les romans et films, Catherine Wihtol de Wenden montre comment la mémoire collective concernant l'image de l'Autre s'est construite de 1870 à nos jours. Et propose quelques pistes pour en finir avec la figure péjorative du migrant : une citoyenneté inclusive, la lutte contre les discriminations, la construction d'une mémoire du vivre ensemble par la mise en musées.

Pour en finir avec l'habitat inclusif : sociologie d'une forclusion

Livre de Jean Luc Charlot, édité par l'Harmattan, publié en 2022.

Mots clés : Territoire-Logement, Logement, Inclusion, Handicap, Concept, Politique sociale, Législation, Projet de vie, Vie politique, Habitat collectif, Isolement, Forclusion, Habitat, Participation, Qualité de la vie

Depuis 2016, l'Etat et ses administrations ont façonné une nouvelle catégorie d'action publique, dénommée "habitat inclusif" . Porté par le mot d'ordre de la "société inclusive" , l'habitat inclusif impose progressivement aux personnes en situation de handicap un mode de vie parmi une pluralité d'autres possibles. C'est à la compréhension de ce mécanisme de forclusion qu'est consacré ce court essai.
Ainsi qu'au dévoilement des principaux impensés de cette politique dans sa conception imparfaite de ce que pourrait être l'inclusion. Il propose enfin d'autres perspectives afin d'envisager l'habiter des personnes en situation de handicap comme l'opportunité de ne plus penser et agir en termes spécifiques pour des groupes de personnes tenues pour singuliers. Et de faire de l'habitat, une manière de s'appliquer à humaniser la vie pour tous, à partir du principe universel d'accessibilité et du concept de qualité de vie.

A l'épreuve du placement : des expériences minoritaires en protection de l'enfance

Livre de Sarra Chaïeb, édité par Presses universitaires de Rennes, publié en 2022.

Mots clés : Enfance en danger-Protection de l’enfance, Protection de l'enfance, Immigration, Minorité culturelle, Approche historique, Analyse comparative, Altérité, Récit de vie, Histoire familiale, Parcours institutionnel, Placement, Identité culturelle, Religion, Intergénérationnel, Transmission, Relation enfant-parents, Relation famille-institution, Identification, Affectivité, Filiation, OSE (Oeuvre de Secours aux Enfants), Apprentis d'Auteuil

Alors que les attentats de 2015 ont remis sur le devant de la scène médiatique les parcours de placement des jeunes issus de l'immigration tout autant que leur « intégration », cet ouvrage se propose de revenir sur les enjeux actuels et historiques qui traversent le champ de la protection de l'enfance, notamment dans son rapport aux populations minorisées. Il permet de documenter l'histoire de la protection de l'enfance qui a, par sa structure même, participé à déployer l'idéal républicain intégrateur tout en proposant un nouvel « enracinement » aux jeunes dont l'État a la charge.

Il s'agit ici de montrer que le champ de la protection de l'enfance continue d'être le lieu de construction et d'actualisation des origines des enfants, dans un contexte où les liens de filiation sont toujours considérés comme les plus forts. En abordant plus spécifiquement deux associations de protection de l'enfance imprégnées par le religieux (le judaïsme pour l'Œuvre de secours aux enfants et le catholicisme pour les Apprentis d'Auteuil), il ressort que les personnes anciennement placées mettent régulièrement à l'épreuve ces assignations, en s'identifiant tantôt au lieu de placement, tantôt à leur famille d'origine, réinventant de manière originale des auto-identifications. Quant à la dimension religieuse, de quelles manières est-elle mobilisée, tant par les individus que par les institutions ?

Sois acteur de ton parcours ! L'engagement des jeunes "en difficulté" au coeur des injonctions paradoxales

Livre de Maël Loquais, Mokhtar Kaddouri, Isabelle Houot, édité par Presses universitaires de Rennes, publié en 2022.

Mots clés : Travail-Emploi, Insertion professionnelle, Jeune, Jeune en difficulté, Implication personnelle, Discours, Contrainte, Émancipation, Projet professionnel, Conflit, Compétence professionnelle, Participation, Échec

Il est des paradoxes qui ont la peau dure : on sait depuis longue date que ce sont les publics dans les situations les plus précaires à qui l'on demande avec le plus d'insistance de se construire un projet professionnel. Lorsqu'un jeune, par exemple, s'engage dans un parcours d'insertion, ce n'est pas seulement de son fait, c'est aussi parce que tout son entourage (sa famille, ses conseillers...) l'incite à prendre cette voie.
Comment comprendre l'engagement en formation dans de tels contextes, lorsque le choix de s'engager est fortement contraint ? Comment est-ce que des jeunes inscrits dans un parcours d'insertion vivent ce paradoxe du projet ? Quelles pistes proposer dans les pratiques d'accompagnement pour dépasser le caractère parfois intenable de ces situations ? En s'appuyant sur un travail de recherche mené sur le terrain des Ecoles de la deuxième chance, cet ouvrage a pour ambition d'aborder ces questions en mettant en lumière la façon dont certains jeunes posent un regard aiguisé sur leur propre traversée des dispositifs de formation et d'insertion.
Il apporte une approche originale de l'engagement en proposant des passerelles pour (re)penser les parcours de formation et d'insertion.

Travail social et émancipation : "ça ne fait pas de bruit !"

Livre de Alice Dumoulin, édité par Chronique sociale, publié en 2022.

Mots clés : Travail social : Métiers, Travailleur social, Pratique professionnelle, Témoignage, Accompagnement social, Assistant de service social, Éducateur spécialisé, AEMO, Relation d'aide, Prévention spécialisée, Éducateur de jeunes enfants, PMI, Évaluation, Handicap, Parentalité, Assistant familial, Chef de service éducatif, Département, Usure professionnelle, Stage, Adolescent, Placement, CHRS, Récit de vie

La première intention de ce livre est d'ouvrir une fenêtre sur le travail social par le récit. Ces métiers sont souvent sous le joug du devoir de réserve, et toujours pris dans l'enjeu de la confidentialité voire du secret professionnel. Il est dont difficile d'en parler ouvertement. Or, le travail social est à la croisée des rapports sociaux et détient une précieuse connaissance sur notre société.
Les travailleurs sociaux souffrent de ce déni, d'un manque de reconnaissance certain, non pas seulement à travers un niveau de salaire insuffisant mais, plus profondément, concernant le sens même de leur métier. Ce n'est sans doute pas anodin. Ce recueil s'inscrit dans une forme d'éducation populaire qui consiste à partager des connaissances issues de vécus, mais qui parlent aussi de mécanismes à l’œuvre plus largement.
Les travailleurs sociaux ont eu à cœur de livrer des récits représentatifs de leur métier, souhaitant ainsi valoriser ce qui leur parait faire sens, mais aussi ce qui heurte leur professionnalité. Les joies et les enthousiasmes révèlent ainsi l'essence du travail social. Par ailleurs, les colères et les inquiétudes exprimées majoritairement par les travailleurs sociaux sont des émotions qui révèlent des frustrations, des décalages, de l'inconfort...
Elles ne viennent pas de nulle part et il semble particulièrement pertinent d'y prêter attention pour entendre ce qu'elles viennent dire. Nous verrons que l'agacement et les questionnements sont largement partagés, et constituent ainsi les indices d'un bouleversement en profondeur. C'est ce fil d'analyse que nous allons suivre pour aboutir à des pistes de réflexion, des perspectives sur nous-mêmes et notre société.

Prostitutions de mineures : trouver la juste distance

Livre de Bénédicte Lavaud Legendre, Gaëlle Encrenaz, Cécile Plessard, Pascal Roman, et al., édité par Chronique Sociale, publié en 2022.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Prostitution, Mineur, Adolescent, Fille, Enquête, Typologie, Réseau, Criminalité, Sanction pénale, Répression, Sexualité, Consentement, Accompagnement, Représentation sociale, Intervention sociale, Média, Travailleur social

La prostitution des mineures, telle qu'elle est observée en ce début de XXIe siècle en France provoque une importante émotion et une mobilisation des services publics. Les professionnels confrontés à ces pratiques font état d'importantes difficultés dans l'accompagnement des mineures impliquées. Elles leur renvoient leur incapacité à comprendre ce qu'elles vivent, l'existence d'un fossé générationnel ou encore leur dramatisation d'une activité qu'elles considèrent comme anodine.
De leur côté, les professionnels disent la difficulté qui est la leur à prendre de la distance avec des pratiques qui peuvent être très violentes, mais également avec la réaction de rejet que peut susciter le discours souvent très cru des mineures, voire leurs multiples provocations et la mise en échec de toute proposition d'accompagnement. Dès lors, nous avons fait le choix d'approcher cette réalité par la voie académique en procédant à son analyse via les différents champs disciplinaires concernés.
Or ceux-ci sont nombreux, que l'on pense au droit, aux politiques publiques, à la psychologique, la sociologie, etc. L'expression "Trouver la juste distance" entend faire état de la difficulté de se situer entre les deux écueils auxquels pousse l'étude de cette activité. Le premier est celui d'une trop grande proximité avec les jeunes concernées, proximité qui peut conduire à un phénomène d'identification, de grande empathie.
L'identification est parfois évoquée par les professionnels qui confessent avoir une fille du même âge que celles qu'ils rencontrent dans leur activité professionnelle et qui ne peuvent s'empêcher de craindre pour cette dernière. En outre, les parcours de vie bien souvent très chaotiques, caractérisés par une succession de ruptures et d'abandon, peuvent également déclencher une profonde empathie et la volonté de réparer les failles auxquelles les intéressées doivent se confronter.
A l'inverse, une trop grande proximité peut générer une réaction de rejet face à celles qui revendiquent parfois s'épanouir dans la vente de leurs charmes et gagner dix fois plus d'argent que le professionnel qui tente laborieusement de créer avec elle une relation de confiance pour l'aider à faire un bout du chemin qui la conduira vers l'âge adulte. L'agressivité lorsqu'elle se retourne vers celui qui propose son aide, peut se traduire en violences, insultes et mise en échec des propositions éducatives.
Pour réagir aux différents écueils possiblement rencontrés par ceux qui sont au contact des mineures prostituées, l'intellectuel peut s'abriter derrière les concepts pour mettre à distance toute la violence renvoyée par de telles situations. Tels sont les différents éléments ayant présidé à l'ambition de cet ouvrage de "Trouver la juste distance". La quête de cette juste distance se fera, on l'a dit, par la mise en œuvre d'une approche pluridisciplinaire, qui tentera de rester toujours vigilante à l'impératif de maintenir ouvert le dialogue entre les approches et les disciplines afin de susciter le passage vers l'interdisciplinarité.

Dernière demeure fixe. Les SDF et leurs obsèques : une enquête sur les rites funéraires

Livre de Yann Benoist, Didier Sicard, édité par Hermann, publié en 2022.

Mots clés : Lien social-Précarité, SDF, Mort, Rite, Dignité, Inégalité, Statistiques, Mémoire, Respect, Symbolique, Politique sociale, Sociologie

Que se passe-t-il au moment du décès et des funérailles des personnes sans domicile ? La mort des sans-abri est en effet un point aveugle des politiques publiques. Statistiques imprécises et rareté des études concourent à l'invisibilité des sans-abri jusque dans leurs obsèques. Pourtant, des rites funéraires variés accompagnent le décès des sans-abris, mis en place par leur entourage de la rue, et qui ont beaucoup à nous dire sur la façon dont les communautés humaines savent prendre soin de leurs morts.
Basé sur une enquête de plusieurs mois auprès des SDF, le présent ouvrage explore à la fois l'anthropologie des rites funéraires des sans-abri et, sous un jour nouveau, la sociologie des inégalités.

Les frontières du privé : un travail du social

Livre de Charlène Arguence, Aziza Chihi, Fabienne Montmasson Michel, Guillaume Teillet, et al., édité par Presses universitaires de Limoges, publié en 2022.

Mots clés : Courants de pensée en sciences humaines, Vie privée, Concept, Sciences humaines et sociales, Approche historique, Service public, Privatisation, Enquête, Entretien, Éthique, Sociologie, Technologie numérique, Classe sociale, Genre, Travail ménager, Fonction publique, Éducation, Maltraitance, Relation enfant-parents, Fratrie, Logement, SDF, Intimité, Jeune, Ethnographie, Procréation médicalement assistée, Femme, Milieu rural, Pouvoir, France, Royaume-Uni, Sénégal

Nombre de transformations sociales récentes nourrissent des questionnements concernant le « privé » et ses frontières : nouvelles formes d'emploi, place des secteurs privés et publics dans l'organisation sociale, extension des technologies numériques à de plus en plus de domaines de la vie courante, demande accrue de protection de la vie privée, mais aussi dans la vie privée avec, notamment, les dénonciations des violences intrafamiliales. Aussi diverses soient-elles, ces évolutions ont en commun d'interroger le privé depuis ses frontières, qu'il s'agisse d'affirmer le besoin de les durcir, de les protéger, de les effacer ou encore de les déplacer. Le champ académique ne fait pas exception pour ses usages plurivoques du terme. Quand bien même l'expression « privé » renvoie à des registres différents, cet ouvrage fait le pari de fonder sa problématique sur les frontières en tant que lieu pertinent de questionnement du privé... ou plutôt des privés.

Quatorze chapitres issus d'enquêtes récentes sur des terrains et des objets diversifiés composent ainsi l'ouvrage : privatisation des services publics au Royaume-Uni ; pénétration de l'enseignement privé dans l'offre publique d'éducation secondaire en France ; différenciation historique des affaires « privées » et « publiques » ou du droit « public » et du droit « privé » ; reconfigurations des frontières du privé dans l'espace domestique des classes populaires ou chez les personnes mal-logées ; « espaces propres » de jeunes femmes en milieu rural ; régulation des désordres familiaux par la justice ; effets des technologies numériques sur la vie intime des femmes ; effet des technologies médicales sur leur vie professionnelle ; relations d'enquête façonnées par le privé des chercheurs, des chercheuses et celui des enquêté·e·s.

Manager dans le secteur sanitaire et médico-social. Pour les professionnels de santé : médecins, pharmaciens et cadres de santé

Livre de Christine Benoît, Christine Passerat, édité par Gereso éditions, publié en 2022.

Mots clés : Travail social : Établissements, Management, Action sociale et médicosociale, Directeur d'établissement, Cadre de l'intervention sociale, Projet d'établissement, Méthodologie, Projet, Équipe, Temps, Stress, Risques psychosociaux, Changement, Conflit, Démarche qualité, Projet individualisé, Qualité de la vie, Communication, Équipe pluridisciplinaire, Analyse de la pratique, Entretien professionnel, Évaluation

Etre un bon professionnel du secteur sanitaire et médico-social, médecin, pharmacien ou infirmier, ne fait pas nécessairement de vous un bon manager ! Le management s'apprend et cette discipline n'est pas innée ! Elle requiert de nouvelles compétences comme la gestion des ressources humaines, la gestion et la cohésion des équipes, la gestion économique et financière du service, du pôle ou de la pharmacie.
Si la priorité du médecin, de l'infirmière et du pharmacien est le patient - donner le bon traitement au bon patient et au bon moment - celle du manager est l'équipe qui prend en charge le patient. Le manager doit inspirer l'action au quotidien, c'est un facilitateur qui donne des moyens, un communicant qui favorise la qualité de la relation, un coach qui motive, un leader qui impulse une dynamique.
Cet ouvrage propose de nombreux outils et techniques pour prendre en charge le management avec efficacité. Parce que manager, c'est avant tout penser et agir en équipe pour passer du positionnement individuel au "faire ensemble".

Pour un travail social indiscipliné : participation des citoyens et révolution des savoirs

Livre de Jean Louis Laville, Anne Salmon, Marcel Jaeger, édité par Erès, publié en 2022.

Mots clés : Travail social : Métiers, Travail social, Relation éducative, Distance, Théorie, Pratique professionnelle, Intervention sociale, Savoir, Participation, Démocratie participative, Citoyenneté, Émancipation

Cet essai aborde les mutations théoriques qu'implique le passage d'une intervention sociale sur les publics à une intervention sociale avec les publics. Il propose aux professionnels ou aux futurs travailleurs sociaux un outillage réflexif pour mieux appréhender cette possible révolution du travail social.
« La question sur laquelle se penchent, avec un regard neuf, Jean-Louis Laville et Anne Salmon est de saisir les conditions de légitimité des savoirs expérientiels et de faire reconnaître des apports scientifiques résultant des “savoirs d'action”. Voilà ce qui donne tout son sens à cette réflexion épistémologique et constitue l'intérêt de ce livre, véritable leçon d'optimisme, au moment où tout le monde se plaint de la baisse d'attractivité du travail social.
Cet ouvrage peut être un levier bienvenu pour la formation des professionnels, à plus forte raison si l'on considère qu'elle n'est pas seulement affaire de transmission de savoirs établis, mais qu'elle aide à forger un esprit critique, favorise l'ouverture intellectuelle et contribue aux débats démocratiques que les étudiants, formateurs, chercheurs et personnes accompagnées sont fondés à approfondir. » Marcel Jaeger

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