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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Parentalité : perspectives critiques

Livre de Laurence Bachmann, Pascal Eric Gaberel, Marianne Modak, Claire Ansermet, édité par EEESP, publié en 2016.

Mots clés : Enfance-Famille, Parentalité, Concept, Sociologie, Approche historique, Évolution, Rôle, Père, Mère, Identité, Famille, Modèle parental, Modèle familial, Soutien à la parentalité, Contrôle social, Travail social, Norme sociale, Bien-être, Indicateur, Travail ménager, Éducation familiale, Famille monoparentale, Précarité, Séparation, Divorce, Homoparentalité, Genre

Le travail social auprès des familles confronte souvent les professionnel-le-s à des évidences - "être parent, ça ne s'apprend pas", "une mère doit rester près de son enfant", "la famille monoparentale est un problème". Fondé sur des connaissances sociologiques récentes, ce livre dépasse ces à priori en questionnant la notion même de parentalité. Il est un outil indispensable pour la pratique sociale et éducative.

La bonne éducation - Parents, réappropriez-vous l'éducation de vos enfants !

Livre de Etienne Liebig, édité par Michalon, publié en 2016.

Mots clés : Enfance-Famille, Maintien du lien, Éducation, Éducation familiale, Approche historique, Génération, Norme sociale, École, Religion, Pédagogie, Psychanalyse, Relation enfant-parents

Votre enfant préfère jouer à des jeux idiots sur son smartphone plutôt que la saine lecture de L'Iliade et l'Odyssée ? Soyez rassurés : vous n'êtes pas les seuls à penser que vous payez vos erreurs éducatives puisque, comme chacun sait : « On a les enfants que l'on mérite » ! Et si le rôle parental n'était pas aussi déterminant qu'on le croit ? Fruit de trente ans d'observations et d'accompagnement au sein de son travail d'éducateur, le livre d'Étienne Liebig égratigne avec humour les dogmes et normes supposés éternels – Église, école, médecine, psychanalyse, pédagogie – et ouvre la réflexion sur ce que signifie aujourd'hui une « bonne éducation » au regard de ce qu'elle signifiait hier.
Le parent démissionnaire est un mythe et les règles sont à réinventer. Et si on autorisait les enfants à nous manquer de respect quand il le faut ? Et si les limites qu'on leur fixait n'avaient plus de sens ? Un essai un brin provocateur pour vous déculpabiliser : à vous, parents, de vous réapproprier l'éducation de vos enfants et d'accepter d'être en concurrence permanente avec une nouvelle forme de liberté qui leur est donnée.[présentation de l'éditeur]

La paix des ménages : histoire des violences conjugales : XIXe-XXIe siècle

Livre de Victoria Vanneau, édité par Anamosa, publié en 2016.

Mots clés : Enfance-Famille, Violence conjugale, Approche historique, Autorité, Patriarcat, Justice, Droit pénal, Victime, Parole, Système, Norme sociale, 19ème siècle-20ème siècle

Devenue un « fait de société », la question des violences conjugales avance aujourd'hui lestée de chiffres, mais aussi d'une « belle » mythologie : nous autres modernes serions les premiers à lutter contre elles, à les juger réprouvables et même à les punir. À l'heure où les historiens s'emploient à revisiter la place de l'État dans l'organisation des sociétés, ce livre est une contribution majeure à la compréhension historique de la place du droit et de la justice dans le processus de pacification des moeurs qui tenaille tant la France depuis le XIXe siècle. Nourri des centaines de cas de violences conjugales dont la justice n'a pas cessé d'être saisie, il plonge le lecteur au coeur des tribunaux et fait le pari de se placer au plus près des magistrats qui traitent ces affaires. En montrant comment on s'y prenait, jadis, pour punir les « maltraitements » domestiques, cet ouvrage entend alimenter les débats citoyens et lutter contre les idées reçues : non, le XIXe siècle ne fut pas que celui du « droit de correction » du mari sur son épouse et, sans doute, ayant su faire de ces violences un « fait de droit » et non pas un « fait de société », savait-il mieux les réprimer qu'aujourd'hui.