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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Violences et rapports de genre : enquête sur les violences de genre en France

Livre de Elizabeth Brown, Alice Debauche, Christelle Hamel, Magali Mazuy, et al., édité par INED, publié en 2021.

Mots clés : Justice-Délinquance, Violence, Genre, Enquête, Statistiques, Méthodologie, Questionnaire, Enfant, Femme, Victime, Violence conjugale, Législation, Université, Travail

Quinze ans après l'Enquête nationale sur les violences envers les femmes en France (l'Enveff), l'enquête Violences et rapports de genre (dite enquête Virage), réalisée par l'Institut national d'études démographiques (Ined), renouvelle les connaissances sur les violences à l'encontre des femmes. Elle apporte des connaissances détaillées sur les violences de genre. L'analyse des résultats permet une meilleure perception des processus de production de ces violences, des liens entre auteur·e·s et victimes, des rapports de domination et des facteurs déterminants dans l'exposition aux violences.
Afin de resituer ces expériences dans les parcours de vie des personnes, différentes sphères de vie ont été scrutées : la famille, le couple, les études, la sphère professionnelle et les espaces publics. En ayant interrogé, pour la première fois, les femmes et les hommes, l'enquête Virage a permis d'analyser l'impact des normes de genre sur l'expérience de la violence. Quels sont les types de faits, à quelle fréquence et dans quels espaces les violences sont-elles vécues par les femmes et les hommes ? Quelles réalités traduisent les faits de violence déclarés selon le sexe ? Les conséquences matérielles et psychologiques sont-elles semblables pour les deux sexes ? L'examen des déclarations des enquêté·e·s mène au constat, en ce qui concerne les femmes, d'un continuum de violences multiformes, tout au long de la vie, et pour les hommes, d'une expérience plus discontinue et différenciée de la violence.
L'élaboration des questionnaires, les relations des enquêteurs avec les personnes interrogées, les thématiques intimes et traumatiques, les contraintes particulières d'une production scientifique rigoureuse et de sa restitution constituent les différentes facettes d'un dispositif complexe. La description de leur mise en oeuvre et des difficultés rencontrées offrent ici le panorama complet d'une enquête hors normes.
Dans un contexte très médiatisé de libération de la parole et de recherche de solutions viables, les violences fondées sur les rapports de genre sont aujourd'hui au centre d'enjeux sociétaux majeurs. Cet ouvrage, état des lieux des expériences individuelles des violences, met à la disposition du plus grand nombre l'éclairage nécessaire et une meilleure connaissance de ces phénomènes qui touchent tous les niveaux de la société.
Il constitue un tournant dans l'appréhension des violences de genre.

Promenade en violence : et si l'agresseur était aussi une personne ?

Livre de Claudine Legueil Bourdiol, édité par l'Harmattan, publié en 2019.

Mots clés : Justice-Délinquance, Violence, Maltraitance, Violence conjugale, Infanticide, Inceste, Abus sexuel, Pédophilie, Passage à l'acte, Terrorisme, Psychisme, Pulsion, Criminalité

Les exigences de la clinique sont-elles compatibles avec les demandes sociales et avec les prescriptions judiciaires ? La dynamique psychique d'une personne s'articule autour des échanges avec son environnement : langage, famille, groupe. L'acte violent criminel est l'issue d'un enchaînement d'événements. Il engendre une rupture de l'auteur de violence avec lui-même et de cet auteur avec les autres. Il lui faut alors affronter les défenses du groupe qui assure sa survie en niant sa propre violence.

De l'incivilité au terrorisme : comprendre la violence sans l'excuser

Livre de Maurice Berger, édité par Dunod, publié en 2018.

Mots clés : Justice-Délinquance, Violence, Traumatisme, Violence conjugale, Maltraitance, Émotion, Échec scolaire, Jeu, Neurosciences, Incivilité, Sadisme, Trouble du comportement, Interdit, Sanction, Personne issue de l'immigration, Quartier, Parents

Notre société compte de plus en plus d’enfants, d’adolescents, et
d’adultes capables des pires violences. Enseignants, éducateurs,
policiers, le disent avec inquiétude : les comportements violents
sont plus fréquents, plus graves et plus précoces qu’autrefois – que
ce soit en crèche, en maternelle, au collège, au lycée ou dans la rue.

De fait, le passage à l’acte, de l’incivilité à la « radicalisation »,
trouve le plus souvent son origine dans la petite enfance. Comment
comprendre la violence, et répondre aux légitimes questions
que, victimes du « politiquement correct », nous osons à peine nous
poser ? Démarche d’autant plus urgente, qu’il ne s’agit plus désormais
d’excuser qui que ce soit, mais bien de prévenir la survenue
d’une situation sociale incontrôlable.

Maurice Berger, spécialiste internationalement reconnu dans ce
domaine, expose ici d’une manière accessible à tous, l’état des
connaissances sur ce sujet. Il propose des actions précises de prévention
de la violence, ainsi qu’une prise en charge spécifique des
sujets qui présentent ce comportement.

De l'incivilité au terrorisme : comprendre la violence sans l'excuser

Livre de Maurice Berger, édité par Dunod, publié en 2016.

Mots clés : Justice-Délinquance, Violence, Concept, Typologie, Violence conjugale, Traumatisme, Carence familiale, Maltraitance, Émotion, Empathie, Pulsion, Environnement social, Sadisme, Parentalité, Perversion, Responsabilité, Jeu, Prévention, Attachement, Sécurité, Affectivité, Justice, Sévice corporel, Éducation, Intégrisme, Immigration, Quartier, Banlieue, Groupe d'appartenance, Identité, Religion, Radicalisation, Terrorisme, Écoute, Relation, Protection de l'enfance, École, Famille, Société

Notre société compte de plus en plus d'enfants, d'adolescents, et d'adultes capables des pires violences. Enseignants, éducateurs, policiers, le disent avec inquiétude : les comportements violents sont plus fréquents, plus graves et plus précoces qu'autrefois, que ce soit en crèche, en maternelle, au collège, au lycée ou dans la rue. De fait, le passage à l'acte, de l'incivilité à la « radicalisation », trouve le plus souvent son origine dans la petite enfance. Comment comprendre la violence, et répondre aux légitimes questions que, victimes du « politiquement correct », nous osons à peine nous poser ? Démarche d'autant plus urgente, qu'il ne s'agit plus désormais d'excuser qui que ce soit, mais bien de prévenir la survenue d'une situation sociale incontrôlable.