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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Violence et institutions

Livre de Didier Drieu, Jean Pierre Pinel, Serge Blondeau, René Kaës, et al., édité par Dunod, publié en 2016.

Mots clés : Violence institutionnelle, Violence, Institution, Évolution, Changement, Organisation, Établissement social et médicosocial, Accueil, Usager, Prise en charge, Accompagnement, Temps, Espace, Gestion, Procédure, Symbolique, Inconscient, Psychanalyse, Individu, Groupe, Communauté, Management, Libéralisme, Politique sociale, Équipe, limite

Dans un contexte de crises se condensant dans les institutions, cet ouvrage pense l'évolution de la violence au regard des transformations des organisateurs institutionnels. Plusieurs années après un ouvrage fondant une approche analytique des sources des dysfonctionnements institutionnels (L'institution et les institutions, études psychanalytiques), les auteurs contribuent à une réélaboration des enjeux et « espaces » de souffrance institutionnelle en prenant en compte les changements paradigmatiques se déroulant au niveau des méta-cadres organisationnels.

Violences dans la République : l'urgence d'une réconciliation

Livre de Charles Rojzman, édité par la Découverte, publié en 2015.

Mots clés : Violence, Lien social, Conflit, Besoin, Groupe, Institution, Socialisation, Sociabilité, Rencontre, Partenariat, Peur, Émotion, Souffrance psychique, Thérapie, Société, Banlieue, Ghetto, Crise, Chômage, Travail, Autorité, AUTORITE PARENTAL, Responsabilité, Exclusion sociale, Changement, Conscience collective, Démocratie

Dans cette nouvelle édition, actualisée et enrichie, de son ouvrage initialement intitulé Sortir de la violence par le conflit, paru en 2008, Charles Rojzman propose de prolonger la réflexion sur la thérapie sociale qu'il mène depuis de nombreuses années en France et à l'étranger, dans les banlieues et dans les milieux les plus divers, consistant à réhabiliter le conflit comme moyen de transformer la violence. Car, pour sortir de la violence, il ne s'agit pas d'éviter le conflit, mais au contraire de lui donner un cadre d'expression pour qu'il ne dégénère pas en haine. À partir de nombreuses expériences de terrain, l'auteur nous montre comment, en suscitant la rencontre, dans un cadre précis de thérapie sociale, entre des personnes, des groupes ou des institutions qui se haïssent, se méprisent ou s'ignorent, il est possible de sortir du sentiment d'impuissance, de restaurer les liens et de contribuer à l'émergence d'une démocratie forte. Les outils proposés visent à former des individus démocrates, capables de résister aux endoctrinements et aux psychoses collectives, et à modifier les fonctionnements institutionnels afin de favoriser l'exercice de la raison critique, de la responsabilité et de la sociabilité. Pour éviter le pire.